SANAA, 30 Juin (Saba) - La coalition d'agression ‘US-saoudienne’ n'a pas fait de différence entre un enfant, un jeune homme, un homme et une femme, ses missiles ont récolté tous les quartiers du Yémen, et le crime contre les enfants était le plus sanglant.
Il était de coutume dans les guerres que les enfants aient une sainteté inviolable, mais la coalition d'agression contre le Yémen a dépassé toutes les limites, puisqu'il y a six ans elle a tué des enfants directement comme l'impact de l'embargo et d'autres domaines les tue de guerre avec la complicité des ‘Nations Unies’.
En paix, nous avons couru nos rires remplissant la vallée Comme un soleil d'été brillant, des années de vie et de rose rose. ..nous étions ici dans les rues dans les jardins de la cour d'école tout d'un coup il a été bombardé Les bourgeons de notre époque quand l'oiseau de la mort est venu avec une tragédie..
Le maillon faible parmi les victimes de l'ennemi
L'agression par la coalition ‘US’-‘israélienne’-soutenue ‘saoudienne’-‘EAU’-dirigée a exposé les enfants du Yémen à un large éventail de risques directs et indirects de violations, allant jusqu'à des massacres qui constituent des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité. violations, y compris la mort, l'orphelinat, les blessures, la détention dans les prisons d'agression, le déplacement, la séparation de la famille et l'arrêt À propos de l'étude et de l'incidence des maladies et des épidémies, ainsi que la dépression et divers effets psychologiques, qui sont médicalement classés comme post -stress traumatique.
Empoisonnement du sang et conventions internationales
L'agression contre le Yémen a été caractérisée par un caractère criminel, contournant toutes les lois et normes internationales, y compris le droit international humanitaire qui a été formé afin de l'observer dans les guerres. Ces lois sont venues affiner au minimum la pratique de la guerre, et il était un gain humanitaire et une volonté de ne pas répéter les atrocités des Première et Seconde Guerres mondiales.
Les Conventions de Genève de 1949 et leurs Protocoles additionnels de 1977 énoncent une série de règles qui accordent aux enfants une protection spéciale. Les Conventions de Genève et leurs Protocoles additionnels contiennent pas moins de 25 articles qui font spécifiquement référence aux enfants.
Au premier rang des lois violées par la coalition d'agression dans notre pays se trouvaient les articles relatifs à la protection des enfants dans les guerres. Au cours des six années d'agression, 3 816 enfants ont été tués et 4 183 autres ont été blessés, et les meurtres et les blessures sont considérés comme le degré le plus élevé de violation des droits de l'enfant dans les guerres.
Les chiffres publiés par le ministère yéménite des droits de l'homme à l'occasion de la Journée nationale de la Résilience de l'année 2021, révèlent que le ciblage des enfants était un acte systématique mené par la coalition d'agression et non des erreurs accidentelles.
‘Nations Unies’ sont une couverture pour le crime
Les ‘Nations Unies’ ont formé une couverture politique et des droits de l'homme pour la criminalité de la coalition d'agression ‘américano-saoudienne’. Les interventions saoudiennes et le silence des ‘Nations Unies’ dans le dossier des enfants yéménites se sont manifestés de manière évidente, alors que le "Royaume d'Arabie ‘saoudite’" exerce une influence financière sur les ‘Nations Unies’ à fermer les yeux sur les crimes d'agression contre les enfants yéménites. C'est ce qui pousse les enfants du Yémen à faire don de l'argent de leur école aux ‘Nations Unies’ en guise de message de protestation et de rejet de cette approche inhumaine.
La coalition d'agression a commis d'horribles massacres contre les enfants du Yémen, supérieurs à la capacité des ‘saoudiens’ à se cacher. Sous cette pression des droits de l'homme, les pays d'agression ont été inclus dans la liste des violateurs des droits de l'enfant en 2016, et seulement une courte période passé pour l'ancien secrétaire général des ‘Nations Unies’ Ban Ki-moon d'exclure les pays de la coalition agressive de cette liste, puis Ban Ki-moon a admis que le Royaume d' ‘Arabie saoudite’ exerçait des pressions financières sur eux et a menacé de couper son financement pour cette organisation des ‘Nations Unies’.
Cela s'est répété dans les deux années 2018 et dans l'année 2020, lorsque le "Royaume d'Arabie ‘saoudite’" a exercé une influence financière en ne le plaçant pas sur la liste des tueurs d'enfants, et en cette année 2021, l'influence financière ‘saoudienne’ et la pression ‘américaine’ sur le Les ‘Nations Unies’ en sont arrivées au point d'inscrire les forces nationales sur la liste des violateurs des droits de l'enfant, transformant la victime en bourreau.
C'est un paradoxe que le poète palestinien Mahmoud Darwich avait immortalisé lors de l'invasion sioniste de Beyrouth en 1982 dans son poème Praise the High Shadow.
Les personnages du théâtre sanglant se mêlaient :
Il n'y a pas de juge mais les morts
La main du tueur était mêlée aux dépositions des témoins.
Les morts ont été amenés dans le royaume de leur tueur
Et le juge a été soudoyé, alors il a donné son visage au tueur en pleurant pour quelque chose
Nous déconcerte...
Tu as volé nos larmes, loup
Tuez-moi et entrez dans mon corps et vendez-le !
Prends un peu de mon sang pour que la nuit te voie le plus sombre !
Et sortir pour qu'on puisse marcher jusqu'à la table des négociations, clair.
Comme la vérité :
Un tueur brandissant un couteau.
Et mort
Noms : Sabra,
Kafr Kassem'
Deir Yassine,
Chatila"
Récoltez des crânes !
Six ans de tueries quotidiennes, entraînant la mort de 3 816 enfants et la blessure de 4 183 autres, dans des massacres séparés sur toute la longueur et la largeur de la carte yéménite. Depuis le premier raid de l'agression sur notre pays, le sang des civils a été et d'horribles massacres d'enfants ont été commis, des massacres qui n'auraient pas continué pendant six ans si les ‘organisations internationales’ étaient sincères Pour la cause de l'homme et de l'enfant, comme elle le prétend, au premier rang desquels sont les ‘Nations Unies’, qui ont plus d'une fois retiré le nom de l'Arabie saoudite de la liste de la honte contre les contrevenants de l'enfance.
Un enfant et son père emprisonné
Le 22 avril 2018, l'agression a déclenché un raid aérien sur le mariage de Yahya Jaafar dans le district de Bani Qais al-Tur du gouvernorat de Hajjah. Le raid a causé la mort de plus de 30 civils, pour la plupart des femmes et des enfants. La première frappe a provoqué l'explosion du mariage, puis les avions américains ont continué le survol de la zone a empêché les familles et le personnel médical de porter secours aux victimes. L'image de l'enfant qui s'est accroché au corps de son père martyr et a dormi à côté de lui toute la soirée a été immortalisée de ce massacre.
Je ne veux pas me lever seul, je veux que mon père se lève et marche ensemble, comme nous le faisons tous les jours, sur le chemin du marché, de la maison et de l'école. Un jeune garçon dit que l'avion a tué son père, je ne veux pas partir seul, m'accrochant au cadavre, le lavant avec des larmes innocentes, ne croyant pas qu'il ne verra pas son père demain et que leur maison est en ruines. Je ne veux pas partir, le garçon a dormi sur la poitrine de son père jusqu'au matin, c'était une longue nuit, et une marche amère jusqu'au cimetière.
C’est une vivante description seulement suffisante pour exprimer la situation.
Massacre des étudiants de Dahyan
Des enfants chantent dans un bus scolaire, des étudiants s'amusent lors d'un voyage d'été, imaginant le lieu et ce qu'ils diront à leurs frères le soir.. Les enfants de Sa'ada ont oublié la guerre dans un voyage sans fin, dans la salle de guerre un général sent leur sang au loin, dans les airs un avion de guerre exauce un désir fatal, sur terre des étudiants Ils jouent, le soir approche, les maisons s'éteignent à Dahyan, il n'en reste plus un sourire.
Le 9 août 2018, des avions ont bombardé un bus scolaire dans un marché bondé de Dahyan, dans le gouvernorat de Saada. Un massacre horrible qui a tué plus de 50 enfants et en a blessé 70. Les enfants portaient des sacs portant le logo de ‘l'UNICEF’, qui se contentait d'exprimer son inquiétude et de faire des sermons sur le caractère sacré du sang des enfants.
Buthaina est les yeux de l'humanité contre les forces de mal d'agression
Je n'aime pas le noir, s'écria une enfant en tenant les mains du docteur et en bandant son œil qui saignait..Une enfant effrayée, résistant à la solitude de la nuit, étirant ses doigts pour ouvrir une paupière à la lumière pour ouvrir une fenêtre sur la vie.
Le 25 août 2017, la coalition d'agression a commis un massacre dans le quartier de Faj Attan, au sud-ouest de la capitale, Sanaa. Lors de ce raid, Buthaina al-Raymi, huit ans, a perdu ses parents, son oncle, quatre sœurs et un frère et l’un des ses deux yeux et regarde avec un œil, qui étaient tous les yeux des enfants.
Buthaina a suscité une grande sympathie après son apparition en essayant d'ouvrir son œil droit blessé alors que l'enflure et le sang ont fermé son œil gauche durement. La tragédie de Buthaina ne s'est pas arrêtée là. Elle a été transportée en ‘Arabie saoudite’ après avoir trompé l'oncle de Buthaina par l'intermédiaire d'une institution affiliée à des traîtres qui prétendaient qu'elle tournerait avec eux un documentaire sur la paix.
Buthaina est retournée dans la capitale, Sanaa, cette année 2021, après que l'équipe de négociation yéménite a fait figurer son nom parmi la liste des prisonniers. L' ‘Arabie saoudite’ a donc évité l'embarras et l'a relâchée un jour avant la libération des prisonniers. Lors de sa rencontre, le président Mahdi Al-Mashat a ordonné l'approbation d'un logement et d'un salaire pour la fille Buthaina et son oncle.
Éclat insatiable
A huit heures du matin, le mardi 10 janvier 2017, des avions de combat ont bombardé l'école élémentaire Al-Falah dans le district de Nehm, dans le gouvernorat de Sanaa. le raid est venu. 3 enfants ont été tués dans le raid, dont la petite fille Ishraq, qui gisait par terre dans son uniforme scolaire et à côté de son cartable. Outre elle, trois hommes, dont le directeur de l'école, ont également été tués, ainsi que 4 autres enfants ont été blessés.
En route vers une école primaire, des cahiers déchirés, de l'encre et du sang, un rêve et la mort, une boîte de couleur et un avion de guerre, en route vers l'école. Ishraq sautait comme un joyeux lézard, s'arrêtant aux fleurs, ses vêtements rapiécés, ses bottes vieilles mais heureuses, sautant comme un joyeux lézard sur la route de l'école, près d'une école primaire, elle a intercepté un raid d'enfant, a déchiré son rêve, dispersé ses papiers, près d'une école de filles, elle a tué un enfant sans culpabilité.
Sanaa-Saba : Anas Al-Qadhi
Traduit par
A. A. Mohammed
