Gaza - Saba :
Le journal sioniste Yedioth Ahronoth a révélé hier, le jeudi, un nouvel incident dans les rangs de l'armée d'occupation ‘israélienne’ "épuisée", lié au suicide d'un soldat sioniste après son retour du combat.
Le journal a déclaré dans un article : « Le corps d’un soldat de réserve a été retrouvé lors de ce qui semble être un suicide. »
Selon le témoignage de son épouse, le militaire n'a pas bénéficié d'un traitement psychologique adapté, ce qui l'a « majoritairement » poussé au suicide.
Hier mercredi, le soi-disant chef du « Conseil national » pour la prévention du suicide dans l’entité d’occupation a mis en garde contre un « tsunami de santé mentale » et la crainte d’une augmentation du nombre de cas de suicide avec la fin de la guerre.
Des rapports récents indiquent que l'année dernière, les visites dans les centres de crise et de santé mentale ont augmenté de 40 pour cent.
Le 22 novembre, le journal sioniste Yedioth Ahronoth a annoncé le suicide d'au moins six soldats ayant participé aux combats prolongés à Gaza et au Liban au cours des derniers mois.
Le journal ajoute : L'armée sioniste refuse actuellement de révéler le nombre total de soldats qui se sont suicidés pendant la guerre, indiquant que les véritables effets psychologiques sur les soldats apparaîtront à la fin de la guerre.
Elle a souligné l'augmentation du nombre de soldats demandant un traitement psychologique au cours des dernières semaines. Des rapports de sécurité sionistes avaient suggéré que le nombre de personnes infectées par des crises psychologiques dans les rangs de l'armée d'occupation augmenterait de 172 pour cent d'ici 2030, le pourcentage de handicaps psychologiques a été enregistré à 61 pour cent.
Les mêmes données indiquent que le Département de réadaptation des soldats handicapés de l'armée sioniste prend en charge environ 62 000 personnes handicapées, dont 11 000 souffrant de handicaps psychologiques.
Pour la première fois, et selon les attentes du ministère de la Guerre, le nombre de personnes handicapées s'élèvera à 78 000 d'ici la fin de cette année, dont 15 000 gravement handicapés, et ce nombre s'élèvera à 100 000 en 2030, enregistrant une augmentation de 61 pour cent, dont 30 000 avec des handicaps graves avec des handicaps psychologiques, soit une augmentation du nombre de personnes handicapées psychologiquement de 172 pour cent.
