SANAA Janvier 23.2024 (Saba) – Les chiffres s'accélèrent au fur et à mesure de chaque instant de douleur et d'histoire d'absence que vit la femme palestinienne. Ces chiffres résument les vies perdues, en commençant par le mari, le frère et la sœur, en passant par les pères et les enfants, pour finir avec l'ensemble de la vie et famille. Il est difficile de décrire la fermeté et la fermeté de la femme palestinienne dans les lignes parce qu'elle est dans une bataille quotidienne remplie d'absence, de perte et de séparation. C'est la douleur qu'elle a créée. L'ennemi sioniste a payé en plusieurs versements, mais le défi et la fermeté vient tout à coup.
Et maintenant, l’opération Inondations d’Al-Aqsa a permis au monde de connaître l’identité de la mère, de l’épouse, de la sœur et de la fille palestiniennes.
La femme palestinienne et son histoire ancienne, surtout depuis 74 ans, vivent dans un état de fermeté et de fermeté qui n'a pas changé jusqu'à aujourd'hui. Elle prouve à chaque fois qu'elle est celle qui se bat et se dresse comme les montagnes qui se dressent dans le face à son oppression, et à l'oppression de son peuple et de sa terre. Sans la conscience et la foi de la femme palestinienne envers son ennemi méprisable (l'occupation sioniste), il n'y aurait pas de cela.
Et maintenant, l’opération Al-Aqsa Flood a prouvé et fait connaître au monde qui est cette mère, cette épouse, cette sœur et cette fille palestiniennes.
École de rédemption d'Al-Ghazawiya
Le rôle des femmes palestiniennes dans le soutien au « déluge d’Al-Aqsa » se distingue à plus d’un niveau réel, résultat de la patience et du sacrifice de cette grande femme. Le premier d’entre eux est la phase de préparation, car il n’y a plus aucun doute sur sa préparation militaire en termes d'entraînement à l'utilisation des armes et à la participation aux manœuvres, voire à l'acquisition de la capacité de se cacher et d'affronter si nécessaire, mais avant cela c'est une préparation pédagogique et psychologique et ma croyance en sa cause fondamentale.
Ces femmes ont été élevées dès leur plus jeune âge pour ne pas se soumettre, se soumettre ou abandonner, et pour accepter le statu quo.
Toutes les significations de la fermeté, de la résistance, de l’amour de la patrie et de la volonté de sacrifice et de sacrifice étaient enracinées dans leur sang.
*Les femmes palestiniennes, la grande école
La femme palestinienne a des caractéristiques et des caractéristiques qui ne ressemblent à aucune autre - à savoir qu'elle ne permet pas à ses sentiments sensibles de s'infiltrer dans l'âme de la résistance et de ses membres, de sorte qu'elle les renforce, affaiblit leur enthousiasme et augmente leur adhésion à leur cause et l'effort pour se sauver. Elle a été l'énergie énorme et illimitée qui a poussé les fils de la résistance à se rendre sans crainte pour remporter des victoires et des championnats sur des championnats dans des batailles pour la fierté et la dignité qui ne s'arrêteront que lorsque la patrie reviendra libre.
*Le rôle des femmes palestiniennes dans le « déluge d’Al-Aqsa »
Les femmes palestiniennes sont habituées à ce que chaque opération militaire visant l’occupation soit suivie d’une réaction.
Cela nécessite une préparation psychologique, morale et militaire, de sorte que le rôle de la femme palestinienne est évident à chaque étape, la dernière et la plus importante étant l'opération « Inondation d'Al-Aqsa », qui a pris de multiples formes, dont chacune devrait être un phare. de lumière pour toutes les femmes du monde entier.
Du côté de la foi, il est rare de trouver une femme palestinienne, en particulier une femme gazaouie, désespérée ou brisée, ou qui n'a pas confiance en Dieu.
De l'autre côté, nous trouvons les héros de la résistance et la fermeté des hommes - qui, dès le premier jour du déluge d'Al-Aqsa, ont consenti les plus grands sacrifices et abus envers l'entité sioniste - qui, à ce jour, restent en difficulté, non croyant que cette bataille est sur le terrain et non un rêve.
Parmi la fermeté légendaire d'Al-Ghazawiyya figure : Dès qu'elle apprend le martyre de son fils, de son mari, de son frère, de son père ou de l'un de ses proches, sa voix s'élève avec louange, satisfaction et fierté du martyre.
Ce statut élevé n'est atteint que par ceux qui sont honnêtes envers Dieu parmi le peuple de notre nation arabe et islamique, et qui mettent l'accent sur le contentement du décret de Dieu Tout-Puissant.
*Des sacrifices sans précédent
* La faim et les estomacs vides ont une histoire à Gaza, avec un ennemi plein de haine et de méchanceté, et le plaisir de voir des enfants, des femmes et des personnes âgées mourir de faim et de soif. Chercher un morceau de pain et des gouttes d'eau est une tâche difficile qui a accablé la mère, la sœur et l'épouse. Après avoir blessé Gaza, la femme palestinienne inébranlable a parlé à l'agence Saba des tragédies que l'ennemi du mal a semées dans leur psychisme, leurs maisons et leurs terres, les lignes sont venues près d'Abeer Abu Amra..........
Et quand on parle de sacrifices, la conversation dure ici longtemps : la femme palestinienne et l'enfant palestinien sont devenus une cible majeure pour l'ennemi israélien, et c'est une conséquence naturelle des défaites successives de l'ennemi israélien révélées devant le monde entier. Nous voyons l'énorme quantité de massacres commis par l'ennemi haineux et maudit, et ses terribles crimes en ciblant les camps, les hôpitaux et les écoles depuis le premier jour de l'opération Déluge d'Al-Aqsa jusqu'à nos jours. Laissons la conversation avec les sœurs palestiniennes pour expliquer davantage la souffrance des femmes palestiniennes en général et des femmes gazaouies en particulier :
Et du pays de la fermeté et du pays de la douleur, Gaza - Abeer Abu Amra nous a parlé depuis la bande de Gaza, la ville de Deir Al-Balah, et elle souffrait pour sa famille, qui a tous été martyrisée à Au début de cette agression terroriste, il ne restait plus qu'elle, car ils ont bombardé sa maison pendant qu'ils dormaient et un de ses frères est resté indemne, ils ont retrouvé son corps et le reste de sa famille est réduit en morceaux.
Abeer a décrit sa tragédie et a poursuivi en disant que depuis le début de l'agression terrestre contre la bande de Gaza, ils ont quitté leurs maisons pour se rendre aux écoles - parce que les écoles sont le seul endroit sûr pour eux et que lorsque le soleil se lève tôt le matin, ils retourneraient chez eux s'ils n'avaient pas été la cible de l'occupation usurpatrice.
En ce qui concerne leurs souffrances nutritionnelles en termes de nourriture et de boissons, la plupart des habitants de la bande de Gaza ne pouvaient pas acheter de farine parce que les prix étaient très élevés : il n'y avait pas de légumes du tout, les légumineuses étaient épuisées sur le marché et il n'y avait plus de légumes. de l'eau potable du tout. Même l'eau pour une utilisation normale n'est pas présente. Nous souffrons énormément de cette situation grave et effrayante.
Mais si on parlait des enfants et de ce qu'ils mangent ?! La mère devait préparer la nourriture pour ses enfants, et les enfants ne supportent pas la faim, d'autant plus qu'il fait froid et qu'il n'y a rien à manger ni à boire pour réchauffer leur corps petit et faible. Bref, il n’y a aucun des éléments essentiels de la vie.
Mon message au peuple du Yémen et au peuple yéménite est que nous les remercions sans cesse, ce sont les seuls Arabes qui nous ont soutenus en tout.
Nous les remercions pour leur position qui découle de leurs sentiments vraiment sincères : ils sont les frères des Arabes et leurs maîtres.
Mon dernier mot : nous voulons vivre en paix.
Nous avons également eu une conversation avec le Dr Tamara Haddad, chercheuse universitaire et politique sur la question palestinienne... où elle a été honorée par ses frères et sœurs yéménites et a eu une réunion dans une agence officielle telle que l'agence de presse Saba.
Premièrement, le médecin a salué les positions honorables des Yéménites et ce qui se passe actuellement en termes de détention de navires israéliens en mer Rouge par les forces navales yéménites et du soutien des Yéménites à la résistance palestinienne. le chef de la révolution, Sayyid Abdul Malik al-Houthi, et ses braves hommes, seront immortalisés dans l'histoire et enseigneront à leurs générations que le Yémen et ses dirigeants, la foi, étaient aux côtés de la Palestine à une époque où aucun pays n'était capable d'argent et d'armes. je suis resté avec.
Ici, le Dr Tamara nous a expliqué la situation des femmes palestiniennes en général et des femmes de Gaza en particulier suite à l'agression sioniste contre elles. Elle a dit qu'elle vit dans une réalité très difficile, douloureuse, injuste et sombre dans le Bande de Gaza.
Elle souffre de conditions difficiles qu'elle n'a jamais connues auparavant, et il n'y a pas de minimum vital en raison des bombardements aériens et de la politique de famine utilisée par l'occupation israélienne contre la bande de Gaza, qui a gravement affecté les femmes et les enfants.
Tamara poursuit en disant : Près de soixante-dix pour cent des victimes et des martyrs sont des femmes et des enfants en raison de leur présence à l'intérieur des maisons - et l'occupation bombarde ces maisons sur la tête. Ainsi, les femmes souffrent du manque de maisons ou de logements en tant que conséquence. suite aux bombardements de l'occupation, elles vivent désormais hors de chez elles, certaines vivent dans des centres. Les déplacements incluent des écoles et des institutions affiliées aux organisations des Nations Unies, et certaines femmes vivent encore sous des tentes, et ces tentes ne fournir les nécessités minimales de la vie humaine, c'est-à-dire la disponibilité de toilettes et d'autres choses.
Sur le plan sanitaire - il y a des femmes qui, lorsqu'elles accouchent, ne peuvent pas aller à l'hôpital parce que ces hôpitaux ont été bombardés sur le terrain - donc les femmes enceintes qui ont accouché pendant la période d'agression - accouchent dans leurs camps où les fournitures médicales pour l'accouchement ne sont pas disponibles, même un morceau de papier. Le mouchoir n'est pas disponible dans la bande de Gaza en raison du siège et de la fermeture des points de passage à l'entrée de la nourriture et de l'aide sanitaire, et si c'est le cas entrez, c'est très rare - c'est seulement suffisant pour un très, très petit groupe.
Quant aux femmes qui allaitent, certaines ne peuvent pas allaiter leurs enfants naturellement - en raison du manque de nourriture et de boisson.
Du point de vue alimentaire et agricole, le chercheur en affaires palestiniennes a déclaré que l'occupation sioniste usurpatrice a brûlé des arbres pour que les femmes de Gaza ne puissent pas cuisiner dans ces arbres - parce que l'ennemi israélien sait qu'il n'y a ni gaz ni carburant dans ces camps pour cuisiner la nourriture, s'il y a de la nourriture.
La femme se dirigera donc vers les arbres pour nourrir ses enfants.
Le Dr Tamara a également ajouté que l'aspect familial des femmes de Gaza est douloureux et pénible. Il y a beaucoup de femmes dont les maris ont été martyrisés et qui se retrouvent sans soutien de famille et qui n'ont pas la capacité de subvenir aux besoins de leurs enfants. des membres de leur famille ont été martyrisés et dont les enfants ont été tués sous leurs yeux. Ainsi, la femme de Gaza souffre de deux choses : la pression psychologique due aux événements douloureux, car elle est psychologiquement fatiguée, et l'autre chose est la situation de vie - sa condition est très mauvaise et elle vit non seulement dans la pauvreté, mais est également privée de tout cela à cause des effets désastreux de cette agression.
La bande de Gaza a une population d'environ deux millions trois cents citoyens, et lorsque le processus de déplacement a eu lieu à l'intérieur de la bande de Gaza vers la région sud, environ un million huit cents personnes déplacées ont commencé à vivre dans des abris et des centres de déplacement.
En conclusion, mes frères et sœurs yéménites, peu importe combien je parle de la réalité de la femme et de l’enfant de Gaza et de leurs souffrances, cela ne suffira pas et je ne le transmettrai pas de manière vraie, tragique et déchirante. Bref, les femmes sont engagées dans une course contre la mort.
Nous avons également eu l'occasion de nous entretenir, et en conclusion, avec la personnalité médiatique palestinienne, Reham Mansour Rashid Al-Qiq, qui nous a déclaré : Les femmes palestiniennes en général ont beaucoup apporté pendant la période de lutte et de résistance contre l'occupation. - ils sont une usine à hommes et c'est elle qui les a élevés à aimer la patrie, à défendre et à lutter pour la libération, et elle a été sa participation depuis le début de la révolution, aux côtés des hommes, en plus de son rôle éducatif et dans la récente guerre contre Gaza.
La personnalité médiatique Reham a décrit la situation de la famille gazaouie en raison de l'agression continue contre Gaza : l'occupation usurpatrice a délibérément exterminé des familles palestiniennes entières dans la bande de Gaza, puis s'est tournée vers l'extermination de places résidentielles entières sans avertissement, ce qui a conduit à une augmentation du nombre de martyrs au quotidien.
Al-Qiq a continué à décrire la femme de Gaza - bien sûr, il y a la femme martyre, qu'il s'agisse de l'enfant, de la mère ou de l'épouse, et c'est une des raisons de l'impact sur la société, et je ne parlerai pas ici de l'état psychologique. de la femme, qu'elle ait perdu son mari, son fils, son enfant ou sa maison. Vous savez tous combien cette affaire est difficile, mais cela a été prouvé. La femme est sa force et sa fermeté malgré la douleur qui saigne. Elle est tente de préserver ce qui reste de sa famille et lutte pour la protéger et subvenir aux besoins fondamentaux devenus inexistants, voire inexistants, à cause de l'occupation. Depuis le premier jour de la guerre, l'électricité et l'eau ont été coupées, et l'on retrouve cette Palestinienne parcourant de longues distances pour aller chercher de l'eau et transporter des jerrycans, que l'eau soit potable ou destinée à l'usage domestique. pour recharger les batteries, et il y a ceux qui font la queue pour obtenir du pain ou de l'eau... Et il y a ceux qui allument un feu pour cuisiner et préparer du pain pour leur famille. c'est très, très fatiguant. À d'autres moments, elle a constamment peur de perdre ses enfants, et sa mission est de les soulager face à cette guerre effrénée.
La journaliste a poursuivi son discours sur le rôle des femmes en disant : Il y a celles qui travaillent dans le domaine de la santé et soignent les patients, et il y a celles qui travaillent dans le domaine des médias et dénoncent les crimes de l'occupation, et il y a celles qui travaillent dans le domaine des médias et dénoncent les crimes de l'occupation. qui jouent leur rôle naturel de mère face aux difficultés dont elles souffrent. Il n’y a pas de femme qui ne travaille pas : elles ont toutes un rôle à jouer dans cette agression dévastatrice.
Al-Qeeq a poursuivi : Il y a une forte augmentation des prix, atteignant dix fois le prix réel, et cela a honnêtement créé une crise - d'autant plus que la plupart des habitants de Gaza ont perdu leur emploi et n'ont aucun revenu - d'autant plus qu'ils sont à bas prix, travailleurs, et certains d'entre eux vivent de l'aide qui arrive, et celle-ci suffit à peine à couvrir les besoins du pays. Besoins - En raison du grand nombre de personnes déplacées, dont le nombre, selon les documents de l'UNRWA, a atteint 1 900 000 citoyens.
Les répliques de Sheba concluent sa tournée avec une phrase d'un écrivain qui dit dans son livre : « Nous courons vers les balles parce que nous aimons la vie, et nous allons en prison parce que nous aimons la liberté. » Une idée difficile à comprendre pour le geôlier, mais Ce que les tyrans ne comprennent pas, c'est que lutter pour la liberté et la vie n'est pas un choix réservé aux courageux, mais plutôt un chemin qu'il faut suivre.
Sanaa - Saba : Mona Al-Muayyad
traduit par
A.A.A.
resource : Saba
