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La position du Yémen confond les calculs américains et la décision de classification est un parti pris flagrant en faveur des crimes de l'entité sioniste.
La position du Yémen confond les calculs américains et la décision de classification est un parti pris flagrant en faveur des crimes de l'entité sioniste.
La position du Yémen confond les calculs américains et la décision de classification est un parti pris flagrant en faveur des crimes de l'entité sioniste.
[21/Janvier/2024]

SANAA Janvier 21.2024 (Saba) – La position du Yémen et son mouvement courageux accompagnant l'opération des Déluge d'Al-Aqsa à travers les opérations menées par les forces armées pour soutenir le peuple palestinien ont représenté un facteur de confusion pour l'administration américaine et ont doublé la confusion de sa décision politique et son parti pris grossier en faveur du crimes terroristes commis par l'entité sioniste dans la bande de Gaza. Cela a également clairement révélé la vérité de la position américaine dans ses relations avec la région arabe.




Cette confusion et l'ampleur de la chute scandaleuse de cette administration qui parraine les plus grandes organisations terroristes du monde sont devenues clairement évidentes dans l'imposition continue de ses décisions soutenant les intérêts de l'ennemi sioniste et intervenant pour empêcher la fin de la guerre de génocide. qu'il s'emploie depuis plus de 100 jours à tuer et à déplacer des Palestiniens dans la bande de Gaza.



Alors que l’administration Biden n’a pas réussi à dissuader le Yémen de s’acquitter de son devoir religieux, moral et humanitaire envers ce que le peuple palestinien est confronté dans toute la géographie des territoires occupés, l’Amérique a eu recours à de nombreuses mesures qui peuvent être qualifiées de folie et de faillite politique. Parmi ces mesures figurent l'escalade en mer Rouge et le lancement d'une agression, une barbarie injustifiée contre le peuple yéménite.



Dans une démarche qui révèle l'ampleur de la situation difficile et l'impossibilité d'arrêter les opérations des forces armées yéménites, ce qui se traduit par l'interdiction du passage des navires de l'entité sioniste se dirigeant vers ses ports, l'administration américaine a décidé d'annoncer une décision politisée de classifier Ansar Allah comme groupe terroriste, dans une tentative ouverte de protéger Israël et de lui fournir une couverture pour poursuivre son agression brutale contre le peuple palestinien.



À la lumière de ces développements, les observateurs estiment que l’Amérique s’est impliquée au Yémen dans les mesures d’escalade qu’elle prend, et qu’elle va se mordre les doigts de remords et prier pour ses défaites en Afghanistan, en Irak et au Vietnam, par rapport à ce qu’elle pourrait être. auquel est confronté le Yémen, dont le peuple a réussi à transformer neuf années d'agression américano-saoudienne et de siège injuste en fierté, dignité et force.



La position yéménite a abandonné tous les prétextes fragiles par lesquels l'Amérique a trébuché en mobilisant le plus grand nombre de pays au monde pour soutenir la coalition visant à protéger les navires d'occupation sionistes et la tendance à la militarisation de la mer Rouge sous prétexte de protéger la sécurité et la sûreté de la mer Rouge et navigation internationale. Le témoin oculaire de cette position est que le Yémen n’intercepte aucun navire, à l’exception de ceux qui se dirigent vers Israël.



À une époque où l’Amérique était habituée à combattre ses adversaires avec ses outils, elle s’est retrouvée orpheline dans la région car ses alliés, fatigués des diktats, n’étaient plus en mesure de mener une autre guerre contre le Yémen après l’échec de leur agression qui a duré. pendant près de neuf ans, au point que Washington a demandé l'aide de petits États comme Bahreïn et les Seychelles, pour se voir incapable de mener une guerre. Une véritable guerre contre le peuple yéménite, et bientôt il reprendra son bâton et quittera la région. , comme la Grande-Bretagne l’a fait auparavant.



L'équation sur laquelle Washington a basé ses calculs, concernant la soi-disant défense de la liberté de navigation maritime en mer Rouge, s'est heurtée au refus des pays arabes, dont l'Arabie Saoudite et l'Égypte, de se joindre à une telle alliance, comme une position considérée comme par les observateurs pour exprimer une prise de conscience arabe de la justesse de la position du Yémen qui a commencé à prévaloir à un horizon pressant. L'Amérique doit, même au minimum, se retirer de sa politique visant à protéger Israël et à en faire l'épouse des conflits dans la région. et un foyer de conflits et de corruption.



En raison du déclin de sa position, l'Amérique s'est retrouvée à l'avant-garde. Elle a eu recours à l'exagération médiatique sur ses forces militaires et à l'envoi de navires de guerre et de destroyers pour lancer des frappes sur le Yémen. Elle est apparue dans un état de confusion quant au mouvement yéménite observé. en raison de sa certaine connaissance de la gravité de ce qui résulterait de la bataille avec le Yémen, d'autant plus que cette agression s'est heurtée à une réponse plus forte et toujours croissante de la part des forces navales yéménites en ciblant les navires se dirigeant vers les ports israéliens, aux côtés des Américains et des Britanniques. des navires, dont le gouvernement yéménite a annoncé qu'ils étaient devenus des cibles légitimes depuis le début de l'agression de ces deux pays contre le Yémen.



En réponse à l'imprudence de l'ennemi américano-britannique, après avoir pris pour cible les patrouilles navales yéménites et lancé des raids sur plusieurs gouvernorats, les places yéménites se sont unies par un grand rassemblement populaire et une manifestation exceptionnelle de millions de marches sans précédent, pour confirmer leur volonté de participer à la bataille et envoyer le message que le Yémen et son peuple ne sont pas préoccupés par les menaces ou l'agression, et qu'ils vont affronter l'influence américaine et briser son prestige dans la région.

Les réactions dénonçant l'agression contre le Yémen ne se sont pas limitées aux affaires intérieures, mais plutôt au niveau régional et international, qui a mis en garde contre les conséquences de la guerre au Yémen et l'élargissement du cercle de conflit dans la région, et face à l'option de guerre et éludant les faits de la confrontation, la décision américaine s'est dirigée vers un nouveau piège en déclarant Ansar Allah groupe terroriste, de sorte que le mécontentement se tourne vers Washington, derrière lequel se tient le lobby sioniste, et le masque du sponsor numéro un du terrorisme. dans le monde est exposé.



Selon les observateurs, le lobby sioniste, qui pénètre dans les principales institutions américaines, a réussi à faire de l'administration Biden une administration de sécurité pour protéger Israël des menaces auxquelles il est confronté du fait de ses crimes contre les Palestiniens, notamment à l'approche des élections présidentielles et de la déclin de la popularité de Biden, qui fait l'objet de nombreuses critiques en raison de ses décisions qui ont prouvé que l'Amérique est une entité fragile, qui n'a ni pouvoir ni valeur sans ses outils bon marché dans la région.



Plusieurs organisations locales et étrangères ont ridiculisé la classification de l'administration américaine et ont eu recours à de telles mesures, qui se sont révélées infructueuses à maintes reprises, indiquant qu'elle exerce une hégémonie et une tyrannie sur les peuples et pratique un véritable terrorisme pour les soumettre, et se positionne en position de classification. le reste des peuples selon leurs intérêts.



Elle a considéré que la classification américaine du mouvement Ansar Allah sur les listes terroristes est un signe d'honneur et une preuve supplémentaire qu'il est sur la bonne voie et exprime la véritable volonté de la nation, soulignant que cette classification n'est pas étrangère à l'Amérique, qui conduit l'injustice et le terrorisme dans le monde.



Les réponses à la politique américaine irresponsable ont montré que le comportement américain à l'égard du Yémen n'a pas changé et que l'agression et le siège que connaît le Yémen pour la neuvième année consécutive ne sont qu'une extension de la politique américaine à l'égard du Yémen et de ses positions de principe visant à à s’opposer au projet sioniste-américain dans la région.



Il considère que cette classification représente la confusion et la poursuite de la politique américaine soutenant le terrorisme sioniste contre le peuple palestinien, et une tentative misérable de décourager le Yémen d'accomplir son devoir et sa position humanitaire honorable envers ce à quoi le peuple palestinien est confronté en termes de guerre. du génocide, à la suite duquel plus de 25 000 martyrs et 63 000 blessés, pour la plupart des enfants et des femmes, depuis le 7 octobre dernier.



Il a également considéré la désignation américaine du groupe Ansar Allah sur les listes terroristes comme une chute scandaleuse dans la gestion du terrorisme mondial par Washington, notant que la position courageuse adoptée par le Yémen en empêchant les navires sionistes de passer par la mer Rouge est une décision populaire unanimement acceptée. par tous les Yéménites libres, pas seulement par la composante Ansar Allah.



Elle a souligné que le terrorisme américain qui se propage dans la région doit être classifié, condamné et jugé, appelant les peuples libres du monde arabe et islamique à briser la barrière de la peur et à rejoindre la position islamique et morale du Yémen en faveur de l'option de résistance palestinienne et dissuader l’ennemi sioniste qui commet les crimes de massacre les plus odieux dans la bande de Gaza.



Elle a souligné que la politique américaine ne dissuadera pas le Mouvement des peuples libres de se solidariser avec le peuple palestinien et sa juste cause, indiquant que cette classification immorale et politisée prouve une fois de plus l'identification de l'administration du président Biden avec le programme sioniste, occupationnel et expansionniste en Palestine. et la région.



L'état de confusion stratégique entre l'Amérique, la Grande-Bretagne et Israël, qui a déclenché la mèche d'une bataille directe et en a élargi la portée, a été évoqué par le leader de la révolution dans son discours de jeudi dernier, dans son discours sur les frappes américano-britanniques au Yémen et sur la Classification américaine, qu'il qualifie de ridicule.



Les données du discours se sont concentrées sur l'essence et le contenu du message, que le leader de la révolution a souligné avec fierté et certitude de foi, que cette classification et ces frappes n'affecteront pas notre position aux côtés de notre peuple à Gaza et en Palestine, et il a souligné en même temps que le Yémen a des obligations de soutenir la cause palestinienne en échange de ce que fait l'Amérique, des engagements à soutenir l'entité sioniste.



Les implications de sa position et de son message étaient évidentes dans les visions et les faits qu'il a présentés en exposant la vérité sur l'Amérique et son histoire noire pleine de terrorisme, de meurtres, de destruction, de sang et de crime, soulignant que le peuple yéménite est devenu plus déterminé à poursuivre sa politique. voie djihadiste, pour soutenir Gaza et la Palestine, avec tous les moyens et armes dont elles disposent, et avec tout ce que Dieu leur a donné : de détermination, de volonté, de force et de courage extrême.



Face à la justesse, au sérieux et à la solidité de la position historique du Yémen et à la sagesse et au courage de ses dirigeants dans leur soutien au peuple palestinien opprimé, toutes les options des États-Unis dans leur guerre contre le Yémen et leurs objectifs affichés sont devenues claires, et son prestige dans la région et dans le monde est devenu en jeu, ce qui laisse présager le déclin de ses intérêts dans la péninsule arabique et la disparition à jamais de sa présence militaire.
Sanaa - Saba : Rapport par Jamil Al-Qashm



A.A.A.



resource : Saba

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Mis a jour le: Dimanche 28 Avril 2024 18:09:59 +0300