AL-QODS Avril 30. 2023 (Saba) - Il semble que l'escalade des cyber-attaques ces derniers temps soit devenue une bataille féroce qui ronge l'entité arrogante de l'ennemi sioniste, et n'est pas moins chaude et importante que les batailles militaires habituelles.
Dans les dernières cyberattaques continues qui dérangent l'entité ennemie, les médias de l'ennemi sioniste ont révélé aujourd'hui, samedi, qu'une cyberattaque visait le site Web de la société sioniste (Evigilo) spécialisée dans le fonctionnement des alarmes, en plus de la (IWI) site spécialisé dans la fabrication d'armes.
Depuis le début du mois d'avril, de nombreux sites Internet sionistes ont fait l'objet d'attaques électroniques, menées par des pirates en solidarité avec la Palestine et sa juste cause.
Selon le journal Yedioth Ahronoth, l'attaque a provoqué la perturbation des sites Web de dix universités sionistes après qu'ils aient été soumis à des attaques électroniques par un groupe se faisant appeler « Soudan anonyme », qui a clairement indiqué que l'attaque était en représailles à la Palestine.
La semaine dernière, des hackers ont réussi à pénétrer la page du chef du gouvernement extrémiste sioniste, Benjamin Netanyahu, sur Facebook.
Et la chaîne sioniste 7 a rapporté que des pirates avaient réussi à pirater le compte du Premier ministre Netanyahu via Facebook et Instagram, et à y publier des textes et des clips vidéo en persan, dans le cadre de la cyberguerre qui s'est intensifiée ces derniers jours.
Le groupe de hackers "Anonymous Sudan" poursuit, pour la troisième journée consécutive, ses cyberattaques contre des sites sionistes, dont des sites sensibles appartenant aux services de sécurité de l'entité ennemie.
Selon les médias sionistes, "Anonymous Sudan" a attaqué les sites des sociétés "Israel Ports" et "Haifa Port", et a également attaqué plusieurs sites Web sionistes sur Internet, et a provoqué l'annulation du travail de ces sites.
« Soudan anonyme » a indiqué que ses attaques venaient en réponse aux crimes sionistes contre le peuple palestinien, à la veille de la célébration par l'ennemi sioniste de l'anniversaire du soi-disant « Jour de l'indépendance », au cours duquel les forces ennemies ont occupé les territoires palestiniens. en 1948.
Des sites Web appartenant à l'ennemi sioniste ont révélé que cette organisation utilise des bots partout dans le monde, ainsi que l'entité d'occupation pour créer une pression et un engorgement sur les réseaux et provoquer l'indisponibilité du service.
Il est à noter que cette semaine, le même groupe a attaqué les sites Web du "Mossad" et de la "Assurance nationale", ainsi qu'un grand groupe de sites Web qui s'élevait à plus de 15 sites Web, dont les sociétés de télécommunications Cellcom et Partner, le site Web de "Tel Aviv University", la société Mekorot et le journal "Jerusalem Post", dont les sites Internet ont été suspendus. Service après avoir été la cible d'une attaque par déni de service.
Ce groupe de piratage a également annoncé avoir suspendu le service du diffuseur officiel "Kan", de la société de transport "Egged" et de "Discount Bank".
Le journal sioniste Maariv a estimé que ce groupe de hackers a récemment joué un rôle actif dans les cyberattaques contre l'entité sioniste, travaillant aux côtés de deux hackers russes, un groupe d'attaque malaisien, un groupe d'attaque indonésien et un certain nombre d'autres petits groupes.
Ainsi, les cyberattaques contre l'entité ennemie sioniste usurpatrice se poursuivent de toutes parts, et les outils de guerre utilisés aujourd'hui ne sont plus les mêmes que ceux d'autrefois, le domaine cyber, l'un des nouveaux champs de concurrence, s'étant transformé en un arme efficace comme les armes militaires, et est devenue une menace pour la sécurité nationale des États.
Le directeur général du Zionist Cyber Directorate (INCD), Gabi Portnoy, confirme que bien que de nombreuses entreprises 'israéliennes' travaillent dans le domaine du cyber, Tel-Aviv n'a pas été en mesure de faire face aux cyberattaques, qui se sont multipliées ces derniers temps.
Le site Web sioniste "Tech Monitor" a déclaré qu'au cours du premier trimestre de l'année dernière, les tentatives de cyberattaques contre l'entité ennemie sioniste ont bondi de 137 %, et l'armée ennemie a identifié une augmentation de 70 % de la "cyberactivité hostile" ces dernières années.
Il a souligné que cette énorme augmentation du nombre de cyberattaques avait incité la Direction de la cybersécurité 'israélienne' (INCD) à commencer à travailler sur un réseau de systèmes électroniques similaire au système de défense aérienne "Iron Dome".
Portnoy a déclaré: "Le soi-disant" cyberdôme "est" essentiel pour repousser les cyberattaques soutenues par l'Iran ", selon ses dires.
Il a ajouté : "Mais le "cyber dôme" à lui seul n'a pas réussi à défendre l'entité, et les attaques se sont poursuivies. Par conséquent, le renseignement sioniste a travaillé pour étendre "l'unité 8200", qui est une unité du renseignement sioniste responsable de l'espionnage électronique. .
Selon les médias de l'ennemi sioniste, la cyber-bataille est devenue une véritable menace et une attaque contre l'économie sioniste, qui a récemment déclaré qu'il y avait des craintes de tentatives de diverses parties, dirigées par l'Iran, de cibler le front intérieur avec des cyber-attaques , en cas de guerre et d'affrontement direct.
Il semble que l'ennemi sioniste soit confronté à une nouvelle guerre, cette fois différente des guerres précédentes, c'est-à-dire qu'elle n'est pas de nature militaire.
Il convient de noter que la guerre technologique électronique a pu surpasser de nombreuses capacités de combat militaires, car les ordinateurs et les claviers qu'elle contient constituent les derniers champs de bataille contre l'entité sioniste, car elle est considérée comme l'une des batailles et des pertes les plus coûteuses en raison de son ciblage des éléments vitaux. et les institutions stratégiques de l'entité.
Les "hackers, cyberattaques, Anonymous... et autres noms inconnus" ont pu cibler l'entité ennemie sioniste occupante, afin de frapper toutes les nécessités de la vie en exploitant les failles de sécurité dans ses programmes, systèmes et sites Web.
Récemment, il y a eu de nombreuses brèches dans le système de sécurité de l'entité sioniste, et les cybermenaces ont constitué une menace pour toutes ses installations d'infrastructure, y compris le ciblage des sites de sécurité et gouvernementaux, y compris le Mossad et l'Institut national d'assurance sioniste, et la pénétration de des milliers d'ordinateurs et des centres de commandement et de contrôle de la Water and Electricity Authority, des banques, des banques et des universités.
Il convient de mentionner que l'entité ennemie sioniste est soumise à de nombreuses et multiples attaques de la part des partis de l'axe de la résistance, comme le département de cybersécurité des Brigades Al-Qassam a attaqué, plus tôt, à grande échelle, des bases, des sites militaires, des sites de sécurité installations et cibles sensibles de cette entité occupante, et a piraté les téléphones de nombreux soldats sionistes, et a pu identifier des moyens innovants de contourner et de perturber les "capacités de sécurité sionistes" afin d'accéder à des informations militaires importantes par l'intermédiaire de soldats.
Et les médias de l'ennemi sioniste 'israélien' ont rapporté que plus de 60 sites de l'entité usurpatrice ont été endommagés en seulement deux jours lors d'une cyberattaque, la plus importante depuis des années.
L'entité ennemie sioniste pointe toujours du doigt l'Iran pour son implication derrière l'escalade des cyberattaques contre lui. Mais, d'un autre côté, les médias sionistes ont révélé qu'un groupe appelé « Soudan anonyme » a mené une cyberattaque massive contre plusieurs sionistes. les sites Web du gouvernement, au-dessus desquels se trouve le site Web du "Device Mossad".
Selon les statistiques, une étude récente indique que les États-Unis d'Amérique occupent la première place en nombre d'entreprises travaillant dans le domaine de la cyber, puisqu'ils contiennent 354 entreprises, suivis des entreprises sionistes, qui sont au nombre de 42, puis des Britanniques entreprises, qui sont au nombre de 21 entreprises, selon une étude réalisée par le magazine "Cyber Security Fantron".
L'étude a indiqué qu'en plus des 42 entreprises sionistes, il y a 40 entreprises sionistes enregistrées aux États-Unis d'Amérique pour des raisons fiscales, et donc le nombre réel de cyberentreprises sionistes est de 82 sur 500, soit 16,4 %.
Malgré le grand nombre d'entreprises sionistes opérant dans le domaine du cyber, Tel-Aviv n'a pas et ne pourra pas faire face aux cyberattaques, qui se sont multipliées ces derniers temps.
Sanaa - Saba : Mirzah Al-Asal
traduit par
A.A.A.
resource : saba
