SANAA, 20 Juin (Saba) – Le Politburo d'Ansar Allah (PBAA) a confirmé le samedi que le Secrétaire général des Nations Unies (ONU), Antonio Guterres, a décidé de classer Ansar Allah dans ce qu'il appelle une liste de violateurs des droits de l'enfant, lui-même et son organisation internationale classés sur la liste de la honte.
Dans un communiqué publié, l'agence de presse yéménite (Saba) en a reçu une copie, le bureau politique d'Ansar Allah a déclaré que Guterres a fourni la preuve tangible que l'organisation des Nations Unies (ONU) n'est qu'une plate-forme exploitée par des pays influents pour déformer les faits et confisquer les droits des personnes vulnérables.
Le PBAA a dénoncé avec force cette classification injuste, et l'a considérée comme invalide et non fondée sur aucun prétexte... Constatant que les Nations Unies, en la classant, ont coupé ce qui restait de son lien avec le peuple yéménite et se sont déclarées partie à la coalition de l’agression US-sioniste-soutenue saoudienne-EAU-dirigée.
Il a déclaré: « Il aurait été préférable que les Nations Unies restent neutres et ne se transforment pas en une trompette bon marché répétant les absurdités et les absurdités de la coalition d'agression.
Le Politburo d'Ansar Allah a précisé que la coalition d'agression est condamnée par des milliers de vidéos qui documentent les terribles massacres d'enfants yéménites au cours des dernières années, en plus des répercussions du siège et des milliers de victimes qui en résultent, en particulier des enfants.
Il a ajouté : « Si le Secrétaire général des Nations Unies avait eu un iota d'humanité, il aurait refusé de le renouveler pour un second mandat si le retour devait porter la disgrâce et vendre sa conscience à bas prix.
La déclaration a souligné que les enfants du Yémen savent qui les a tués par avion, ils savent qui les tue par siège, et ils savent qui occupe des postes à l'ONU en échange de leur sang et de leur enfance... Le PBAA a ajouté : "Malgré l'innocence de Enfants du Yémen, ils ont pitié du Secrétaire général des Nations Unies pour sa dégénérescence psychologique et morale."
A. A. Mohammed