Le Bureau des médias du gouvernement à Gaza a déclaré hier que l’ennemi israélien avait lamentablement échoué dans son projet de distribution d’aide dans les zones « racialement isolées », sur fond d’effondrement du processus humanitaire et d’escalade du crime de famine.

Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a qualifié hier mardi de « mensonges » les déclarations faites hier par son homologue français, Jean-Noël Barrot, selon lesquelles son pays ne menait pas de guerre contre la Russie, expliquant que Kiev utilisait des missiles français lors de ses attaques contre la Russie.

Le porte-parole du Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies (OCHA), Jens Laerke, a déclaré hier que le travail de la Fondation Gaza Relief, soutenu par Israël et les États-Unis, n’est qu’une diversion, et que ce qui est nécessaire, c’est l’ouverture des points de passage de la bande de Gaza.

Les médias israéliens ont révélé hier mardi une forte augmentation des demandes d'assistance psychologique parmi les soldats de l'occupation israélienne et leurs familles, en particulier les réservistes, alors que la guerre à Gaza se poursuit.

Le gouvernement irakien a condamné mardi la « douloureuse politique d'affamer » à laquelle est confronté le peuple palestinien dans la bande de Gaza, appelant à l'acheminement de l'aide.

L’ancien commandant de la marine israélienne, le général de division (réserviste) Eliezer Marom, a mis en garde hier mardi contre le danger de rater toute occasion de parvenir à un accord d’échange de prisonniers, soulignant que « les occasions ne se présentent pas deux fois » et que « faire des concessions est devenu une nécessité si l’intention de récupérer les prisonniers est sincère ».

Brigades ​ al-Quds, la branche armée du Jihad islamique palestinien, ont confirmé hier mardi avoir fait exploser un engin explosif visant un véhicule militaire israélien à l’est de Khan Younis et une maison piégée abritant plusieurs soldats israéliens dans le quartier de Shuja'iyya, dans la bande de Gaza.

Le président iranien Massoud Pezeshkian est arrivé mardi à Mascate, la capitale omanaise, pour une visite officielle de deux jours, à l'invitation du sultan Haitham bin Tariq d'Oman.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a qualifié hier mardi d’« acte odieux » le bombardement israélien d’une école abritant des personnes déplacées à Gaza, mardi, lors d’un entretien téléphonique avec le roi Abdallah II de Jordanie.

Dans un article publié hier, mardi, le journal hébreu Haaretz évoque l'échec des frappes aériennes israéliennes sur le Yémen pour dissuader les Yéménites, qui continuent de lancer des roquettes et des drones en soutien à Gaza.

Le ministre allemand des Affaires étrangères, Johann David Wadephul, a déclaré hier mradi que Berlin ne manifesterait pas sa solidarité avec Israël par la force, critiquant les conditions catastrophiques auxquelles sont confrontés les civils palestiniens dans la bande de Gaza, les qualifiant d'« insupportables ».

Trois cents écrivains français ont appelé hier mardi à décrire clairement et précisément les événements dans la bande de Gaza, soulignant que qualifier les massacres d'« horreur » ou d'« atrocités » ne suffit plus et qu'il est temps d'appeler les choses par leur nom : « génocide ».

Le Mouvement de la Résistance islamique (Hamas) a démenti hier les informations d'Al Arabiya concernant des désaccords entre ses dirigeants politiques et militaires à Gaza au sujet de l'affaire du prisonnier Alexander, soulignant qu'il s'agissait d'une pure invention et d'un mensonge infondé.

La Colombie a annoncé mardi la nomination de son premier ambassadeur dans les Territoires palestiniens, près d'un an après avoir annoncé la rupture de ses relations diplomatiques avec Israël.

L'agression israélienne a lancé aujourd'hui une série de raids sur la capitale, Sanaa.

Des colons sionistes ont attaqué le village de Qaryut, au sud de Naplouse, dans le nord de la Cisjordanie occupée, le mardi après-midi. Ils ont incendié sept véhicules et attaqué des citoyens palestiniens chez eux.

L'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) a révélé mardi une grave crise alimentaire dans la bande de Gaza. Environ 250 000 Palestiniens souffrent de faim extrême, en phase 5 d'insécurité alimentaire, le stade le plus grave, tandis qu'environ 950 000 personnes sont menacées de famine en phases 4 et 5.

Le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) a affirmé aujourd’hui mardi que l’annonce par l’ennemi israélien de l’ouverture de « centres de distribution d’aide humanitaire » dans différentes zones de la bande de Gaza, sous sa supervision directe et avec le financement et le parrainage américains, constitue des pièges mortels, un moyen de détention et une consolidation des politiques racistes, promues sous couvert « humanitaire ».

La Commission de résistance au mur et à la colonisation a révélé hier mardi que les autorités israéliennes ont saisi 35 dunums de terres appartenant à des citoyens dans les gouvernorats de Naplouse et de Qalqilya, en vertu de six ordres militaires.

Le Mouvement des Moudjahidines palestiniens a réaffirmé hier mardi son rejet du mécanisme israélien de distribution de l'aide, qui constitue une nouvelle facette de la politique de famine et de siège et vise à briser la volonté de notre peuple et à l'humilier.