GAZA Octobre 29. 2023 (Saba) - Le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a condamné hier, le samedi, « l’escalade sans précédent » des bombardements sionistes sur la bande de Gaza, réitérant son appel à un « cessez-le-feu humanitaire immédiat ».
Guterres a déclaré lors d’une visite à Doha : « Malheureusement, au lieu d’une trêve, j’ai été surpris par une escalade sans précédent des bombardements et ses résultats dévastateurs, qui sapent les objectifs humanitaires », selon l’agence de presse palestinienne WAFA.
Il a exprimé son inquiétude concernant la panne de communication dans la bande de Gaza, ainsi que son inquiétude concernant les employés des Nations Unies qui sont à Gaza pour fournir une aide humanitaire.
Guterres a ajouté : « Je réitère mon appel fort à un cessez-le-feu humanitaire immédiat et à fournir une aide humanitaire d'un niveau qui correspond aux besoins urgents de la population de Gaza, où une catastrophe humanitaire se déroule sous nos yeux. »
La bande de Gaza s'est transformée en flammes depuis hier soir en raison de la perturbation complète des réseaux de communication et Internet, provoquant une paralysie complète des capacités du système de santé et de la circulation des ambulances et des équipes médicales.
La bande de Gaza est soumise à un siège étouffant depuis 2007, mais le gouvernement ennemi a renforcé le siège sur la bande depuis le début de l'agression il y a 22 jours, notamment en coupant l'électricité et l'eau, et en empêchant l'entrée de matériaux de base et carburant.
Les avions de guerre ennemis ont continué de lancer des raids sur la bande de Gaza depuis le 7 octobre, entraînant le martyre de 7 650 citoyens, dont 3 195 enfants et 1 863 femmes, en plus de blesser environ 20 000 personnes, selon des statistiques infinies.
Des sources médicales ont indiqué que depuis hier soir et samedi à l'aube, les forces ennemies ont commis 53 massacres dans la bande de Gaza, lors des bombardements les plus violents et les plus intenses depuis le début de l'agression il y a 22 jours.
A.A.A.
