SANAA, 2 Avril (SABA) - Le ministre des Affaires étrangères, Hisham Sharaf, a appelé lundi le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, Président et membres du Conseil de sécurité et l'envoyé de l'ONU au Yémen, Martin
Griffiths, à la reprise de l'octroi de permis pour les navires chargés avec dérivés du pétrole et denrées alimentaires pour entrer dans les ports yéménites.
Dans ses messages urgents, le ministre des Affaires étrangères a confirmé que l'équipe du mécanisme de vérification et d'inspection des Nations Unies pour le Yémen (UNVIM) au Yémen avait cessé d'octroyer des permis aux navires pour entrer dans les ports yéménites.
Il a souligné que cela contredit la tâche principale du mécanisme supervisé par les Nations Unies, qui consiste à faciliter les restrictions à l'entrée de produits de base au Yémen, et que la suspension des permis délivrés aura des répercussions négatives importantes, notamment que la République du Yémen importe la plupart de ses besoins en produits alimentaires, en médicaments et en produits dérivés du pétrole en provenance de l'étranger, sans oublier de souffrir du pire désastre humanitaire au monde provoqué par la coalition d'agressions américano-saoudienne et leurs mercenaires qui jouent le rôle de marchands et de chefs de guerre.
Le ministre des Affaires étrangères a ajouté dans ses lettres qu'une telle décision aurait un impact négatif sur les efforts de paix et la mise en œuvre des accords de Stockholm.
AA
SABA
Griffiths, à la reprise de l'octroi de permis pour les navires chargés avec dérivés du pétrole et denrées alimentaires pour entrer dans les ports yéménites.
Dans ses messages urgents, le ministre des Affaires étrangères a confirmé que l'équipe du mécanisme de vérification et d'inspection des Nations Unies pour le Yémen (UNVIM) au Yémen avait cessé d'octroyer des permis aux navires pour entrer dans les ports yéménites.
Il a souligné que cela contredit la tâche principale du mécanisme supervisé par les Nations Unies, qui consiste à faciliter les restrictions à l'entrée de produits de base au Yémen, et que la suspension des permis délivrés aura des répercussions négatives importantes, notamment que la République du Yémen importe la plupart de ses besoins en produits alimentaires, en médicaments et en produits dérivés du pétrole en provenance de l'étranger, sans oublier de souffrir du pire désastre humanitaire au monde provoqué par la coalition d'agressions américano-saoudienne et leurs mercenaires qui jouent le rôle de marchands et de chefs de guerre.
Le ministre des Affaires étrangères a ajouté dans ses lettres qu'une telle décision aurait un impact négatif sur les efforts de paix et la mise en œuvre des accords de Stockholm.
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