ANAA, 9 Mars (SABA) - La société du Yemen Petroleum a samedi appelé la communauté internationale et les organisations humanitaires à faire pression sur la coalition d'agression soutenue par les saoudiens pour qu'elle mette un terme à la détention de navires transportant des dérivés du pétrole et permette l'accès aux installations de Ras Issa.
Elle a également appelé à neutraliser les installations de la société, en tant qu'établissement civil, qui sert la communauté sans exception, afin d'alléger les souffrances du peuple yéménite du fait de l'embargo qui lui est imposé même dans les éléments simples de la vie.
La société a indiqué que ses pertes directes et indirectes dues à l'agression et au siège s'élevaient à 800823 527 dollars entre 2015 et 2018.
Le directeur exécutif adjoint de la société pour les affaires commerciales, M. Rami Hanab, a déclaré lors d'une conférence de presse organisée dans la capital Sanaa que la société pétrolière avait un rôle essentiel à jouer dans la fourniture de produits pétroliers à tous les segments de la société de manière neutre et responsable au moindre coût possible.
Il a souligné que, malgré l'agression et le siège, la société continuait à s'acquitter de sa tâche et s'efforçait de maintenir la stabilité et de répondre aux besoins de divers secteurs essentiels à la subsistance des citoyens.
M. Hanab a également évoqué le ciblage systématique de la société, ses stations et ses installations administratives, qui a entraîné la perte de nombreux travailleurs et employés de la société, ainsi que des dommages matériels directs et indirects.
Il a souligné que, depuis le début de l'agression, les forces de la coalition d'agression soutenue par les États-Unis ont empêché et arrêté tous les navires pétroliers de la société, ce qui a conduit à l'épuisement du capital de la société en raison d'amendes pour retard de ces navires et l’émergence de crises et de nouveaux goulots d’étranglement.
Il a déclaré: "Les forces d'agression ont non seulement agi de la sorte, mais elles ont également stoppé l'activité de la société.
M. Hanab a révélé que six navires de dérivés du pétrole étaient toujours sous le contrôle des forces de la coalition depuis environ un mois et qu’ils n’avaient pas le droit d’y entrer malgré les permis délivrés par l’ONU.
Il a souligné que la continuation des activites menées par la société est une continuation du travail de divers secteurs vitaux associés aux moyens de subsistance du citoyen.
AA
SABA
Elle a également appelé à neutraliser les installations de la société, en tant qu'établissement civil, qui sert la communauté sans exception, afin d'alléger les souffrances du peuple yéménite du fait de l'embargo qui lui est imposé même dans les éléments simples de la vie.
La société a indiqué que ses pertes directes et indirectes dues à l'agression et au siège s'élevaient à 800823 527 dollars entre 2015 et 2018.
Le directeur exécutif adjoint de la société pour les affaires commerciales, M. Rami Hanab, a déclaré lors d'une conférence de presse organisée dans la capital Sanaa que la société pétrolière avait un rôle essentiel à jouer dans la fourniture de produits pétroliers à tous les segments de la société de manière neutre et responsable au moindre coût possible.
Il a souligné que, malgré l'agression et le siège, la société continuait à s'acquitter de sa tâche et s'efforçait de maintenir la stabilité et de répondre aux besoins de divers secteurs essentiels à la subsistance des citoyens.
M. Hanab a également évoqué le ciblage systématique de la société, ses stations et ses installations administratives, qui a entraîné la perte de nombreux travailleurs et employés de la société, ainsi que des dommages matériels directs et indirects.
Il a souligné que, depuis le début de l'agression, les forces de la coalition d'agression soutenue par les États-Unis ont empêché et arrêté tous les navires pétroliers de la société, ce qui a conduit à l'épuisement du capital de la société en raison d'amendes pour retard de ces navires et l’émergence de crises et de nouveaux goulots d’étranglement.
Il a déclaré: "Les forces d'agression ont non seulement agi de la sorte, mais elles ont également stoppé l'activité de la société.
M. Hanab a révélé que six navires de dérivés du pétrole étaient toujours sous le contrôle des forces de la coalition depuis environ un mois et qu’ils n’avaient pas le droit d’y entrer malgré les permis délivrés par l’ONU.
Il a souligné que la continuation des activites menées par la société est une continuation du travail de divers secteurs vitaux associés aux moyens de subsistance du citoyen.
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