SANAA, 27 Fév. (SABA) - Le Conseil norvégien pour les réfugiés (CNR) a confirmé que les engagements pris lors de la conférence des donateurs pour le Yémen à Genève étaient bien insuffisants pour aider 80% de la population au Yémen qui ont le plus besoin de l'aide.
"Nous constatons que des milliards sont dépensés en bombes et en armes qui entraînent la mort et la destruction dans ce pays, et en contrepartie, peu de ressources sont allouées pour répondre aux besoins de la vie des civils au Yémen", a déclaré Mohamed Abdi, directeur de pays à Conseil norvégien pour les réfugiés au Yémen, dans une déclaration à l'issue de la conférence des donateurs.
Il s'est félicité des contributions croissantes du Canada et de l'Allemagne, soulignant la nécessité d'un plus grand nombre de gouvernements non impliqués dans la guerre.
"Nous devons voir la fin du blocus, la réouverture de tous les ports et aéroports, fin des restrictions bureaucratiques et des retards dans les importations commerciales et les services publics, l'amélioration de l'économie et des moyens de subsistance, le paiement des salaires des fonctionnaires et un cessez-le-feu complet pour que les pourparlers puissent mettre fin à cette guerre brutale.
C’est le seul moyen de briser le cercle vicieux de la violence et de la souffrance au Yémen, at-il affirmé.
AA
SABA
"Nous constatons que des milliards sont dépensés en bombes et en armes qui entraînent la mort et la destruction dans ce pays, et en contrepartie, peu de ressources sont allouées pour répondre aux besoins de la vie des civils au Yémen", a déclaré Mohamed Abdi, directeur de pays à Conseil norvégien pour les réfugiés au Yémen, dans une déclaration à l'issue de la conférence des donateurs.
Il s'est félicité des contributions croissantes du Canada et de l'Allemagne, soulignant la nécessité d'un plus grand nombre de gouvernements non impliqués dans la guerre.
"Nous devons voir la fin du blocus, la réouverture de tous les ports et aéroports, fin des restrictions bureaucratiques et des retards dans les importations commerciales et les services publics, l'amélioration de l'économie et des moyens de subsistance, le paiement des salaires des fonctionnaires et un cessez-le-feu complet pour que les pourparlers puissent mettre fin à cette guerre brutale.
C’est le seul moyen de briser le cercle vicieux de la violence et de la souffrance au Yémen, at-il affirmé.
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