
New York – Saba :
La session d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU sur le plan israélien d'occupation de l'ensemble de Gaza, initialement prévue samedi, a été reportée à demain dimanche.
L'agence Anadolu a cité des sources diplomatiques indiquant que la session, initialement prévue aujourd'hui samedi, a été reportée d'un jour, sans fournir de motif.
Les sources ont précisé que la session d'urgence débuterait à 10h00, heure de New York.
La demande de réunion d'urgence émanait de tous les membres du Conseil de sécurité de l'ONU, à l'exception des États-Unis et du Panama, tandis que Washington a insisté pour ne pas la tenir.
Avec le soutien américain et européen, l'armée ennemie israélienne continue de commettre des crimes génocidaires dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023, causant la mort de 61 369 civils palestiniens, dont une majorité d'enfants et de femmes, et blessant 152 850 autres. À ce jour, il ne s'agit que d'un bilan préliminaire, des milliers de victimes étant toujours ensevelies sous les décombres et dans les rues, inaccessibles aux ambulances et aux équipes de secours.
La session d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU sur le plan israélien d'occupation de l'ensemble de Gaza, initialement prévue samedi, a été reportée à demain dimanche.
L'agence Anadolu a cité des sources diplomatiques indiquant que la session, initialement prévue aujourd'hui samedi, a été reportée d'un jour, sans fournir de motif.
Les sources ont précisé que la session d'urgence débuterait à 10h00, heure de New York.
La demande de réunion d'urgence émanait de tous les membres du Conseil de sécurité de l'ONU, à l'exception des États-Unis et du Panama, tandis que Washington a insisté pour ne pas la tenir.
Avec le soutien américain et européen, l'armée ennemie israélienne continue de commettre des crimes génocidaires dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023, causant la mort de 61 369 civils palestiniens, dont une majorité d'enfants et de femmes, et blessant 152 850 autres. À ce jour, il ne s'agit que d'un bilan préliminaire, des milliers de victimes étant toujours ensevelies sous les décombres et dans les rues, inaccessibles aux ambulances et aux équipes de secours.