Gaza – Saba :
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a déclaré lundi qu'Israël continuait de lui refuser l'accès aux détenus palestiniens dans ses prisons, appelant Tel-Aviv à autoriser les visites.
Cette déclaration intervient au lendemain de l'appel du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, criminel de guerre recherché par la Cour pénale internationale, au chef de la délégation du CICR en Israël et dans les territoires palestiniens occupés, Julien Lerichon, à fournir de la nourriture et des soins médicaux aux prisonniers israéliens détenus par le Hamas.
Le CICR a ajouté dans sa déclaration : « L'accès aux détenus (palestiniens) en Israël est toujours refusé au CICR », selon l'agence Anadolu.
Le CICR a réitéré l'importance de « connaître les noms des Palestiniens détenus (par l'armée israélienne) et de leur permettre d'y accéder ».
Il a également indiqué avoir facilité lundi la libération de sept détenus palestiniens des prisons israéliennes et leur transfert du poste de contrôle israélien de Kissufim, dans le centre de la bande de Gaza, vers l'hôpital gouvernemental des martyrs d'Al-Aqsa.
Il a expliqué : « Notre équipe a facilité leur contact avec leurs familles afin de les rencontrer et de les réunir. »
Une source médicale a indiqué que les sept détenus avaient été libérés par l'ennemi israélien après de longs mois de détention, marqués par la torture, la négligence médicale et la famine.
Selon le CICR, il a facilité la libération de 217 détenus palestiniens, dont cinq femmes, depuis mars dernier.
Le Comité de la Croix-Rouge a souligné la nécessité de traiter les détenus « avec humanité, de leur offrir des conditions de détention décentes et de leur permettre de communiquer avec leurs familles ».
Il a indiqué poursuivre le dialogue avec les autorités israéliennes afin de reprendre les visites à tous les détenus palestiniens.
La demande du criminel de guerre Netanyahou de fournir de la nourriture aux prisonniers israéliens détenus par le Hamas fait suite à la diffusion par les Brigades al-Qassam, la branche armée du mouvement, d'une vidéo montrant le prisonnier israélien Eviatar David, qui avait perdu beaucoup de poids en raison de la politique de famine menée par l'ennemi israélien à Gaza.
Le Hamas a déclaré à plusieurs reprises sa volonté de libérer les prisonniers israéliens « en une seule fois » en échange de la fin du génocide, du retrait de son armée de Gaza et de la libération des prisonniers palestiniens.
Mais Netanyahou, recherché par la Cour pénale internationale pour crimes de guerre, élude cette offre en proposant de nouvelles conditions, notamment le désarmement des factions de la résistance palestinienne, et insiste actuellement sur la réoccupation de Gaza.
Avec le soutien des États-Unis et de l'Europe, l'armée israélienne continue de commettre des crimes génocidaires dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023. Ces crimes ont causé la mort de 60 933 civils palestiniens, dont une majorité d'enfants et de femmes, et blessé 150 027 autres. Il s'agit d'un bilan préliminaire, des milliers de victimes étant toujours ensevelies sous les décombres et dans les rues, inaccessibles aux ambulances et aux équipes de secours.
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a déclaré lundi qu'Israël continuait de lui refuser l'accès aux détenus palestiniens dans ses prisons, appelant Tel-Aviv à autoriser les visites.
Cette déclaration intervient au lendemain de l'appel du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, criminel de guerre recherché par la Cour pénale internationale, au chef de la délégation du CICR en Israël et dans les territoires palestiniens occupés, Julien Lerichon, à fournir de la nourriture et des soins médicaux aux prisonniers israéliens détenus par le Hamas.
Le CICR a ajouté dans sa déclaration : « L'accès aux détenus (palestiniens) en Israël est toujours refusé au CICR », selon l'agence Anadolu.
Le CICR a réitéré l'importance de « connaître les noms des Palestiniens détenus (par l'armée israélienne) et de leur permettre d'y accéder ».
Il a également indiqué avoir facilité lundi la libération de sept détenus palestiniens des prisons israéliennes et leur transfert du poste de contrôle israélien de Kissufim, dans le centre de la bande de Gaza, vers l'hôpital gouvernemental des martyrs d'Al-Aqsa.
Il a expliqué : « Notre équipe a facilité leur contact avec leurs familles afin de les rencontrer et de les réunir. »
Une source médicale a indiqué que les sept détenus avaient été libérés par l'ennemi israélien après de longs mois de détention, marqués par la torture, la négligence médicale et la famine.
Selon le CICR, il a facilité la libération de 217 détenus palestiniens, dont cinq femmes, depuis mars dernier.
Le Comité de la Croix-Rouge a souligné la nécessité de traiter les détenus « avec humanité, de leur offrir des conditions de détention décentes et de leur permettre de communiquer avec leurs familles ».
Il a indiqué poursuivre le dialogue avec les autorités israéliennes afin de reprendre les visites à tous les détenus palestiniens.
La demande du criminel de guerre Netanyahou de fournir de la nourriture aux prisonniers israéliens détenus par le Hamas fait suite à la diffusion par les Brigades al-Qassam, la branche armée du mouvement, d'une vidéo montrant le prisonnier israélien Eviatar David, qui avait perdu beaucoup de poids en raison de la politique de famine menée par l'ennemi israélien à Gaza.
Le Hamas a déclaré à plusieurs reprises sa volonté de libérer les prisonniers israéliens « en une seule fois » en échange de la fin du génocide, du retrait de son armée de Gaza et de la libération des prisonniers palestiniens.
Mais Netanyahou, recherché par la Cour pénale internationale pour crimes de guerre, élude cette offre en proposant de nouvelles conditions, notamment le désarmement des factions de la résistance palestinienne, et insiste actuellement sur la réoccupation de Gaza.
Avec le soutien des États-Unis et de l'Europe, l'armée israélienne continue de commettre des crimes génocidaires dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023. Ces crimes ont causé la mort de 60 933 civils palestiniens, dont une majorité d'enfants et de femmes, et blessé 150 027 autres. Il s'agit d'un bilan préliminaire, des milliers de victimes étant toujours ensevelies sous les décombres et dans les rues, inaccessibles aux ambulances et aux équipes de secours.