
Islamabad – SABA :
Le président iranien Massoud Pezeshkian a appelé dimanche les institutions internationales et le Conseil de sécurité de l’ONU à abandonner la politique du deux poids, deux mesures et à assumer leurs responsabilités pour prévenir les attaques contre les États membres, stopper l’expansion des guerres et mettre fin aux massacres de civils innocents.
Lors d’une conférence de presse conjointe avec le Premier ministre pakistanais Shehbaz Sharif, M. Pezeshkian a souligné la convergence de vues entre l’Iran et le Pakistan sur les questions régionales et internationales, soulignant que la sécurité des nations est interdépendante et que le développement des relations ne peut se faire que dans un environnement de paix, de stabilité et de tranquillité, selon l’agence de presse iranienne Tasnim.
Il a déclaré que parmi les points les plus importants abordés lors des rencontres avec la partie pakistanaise figuraient la condamnation des crimes inhumains commis par l’entité sioniste en Palestine, au Liban et en Syrie, le génocide en cours à Gaza et les attaques flagrantes dans la région, ainsi que la nécessité de leur cessation immédiate.
Il a déclaré : « Nous et le Pakistan sommes convaincus de la nécessité d'établir une coopération concrète et efficace entre les pays de la région, en particulier les pays islamiques, pour faire face à l'entité sioniste, et nous avons discuté d'initiatives pour activer cette coopération. »
Le président iranien a souligné que les attaques répétées de l'entité israélienne réaffirment l'urgence d'un consensus régional pour faire face aux transgressions de cette entité hors-la-loi.
De son côté, le Premier ministre pakistanais a condamné la récente agression israélienne sur le territoire iranien, déclarant : « En juin dernier, Israël a commis une agression illégale sur le territoire iranien, et nous la condamnons non seulement au nom du gouvernement, mais aussi au nom de l'ensemble du peuple pakistanais. »
Sharif a insisté sur le droit de l'Iran à un programme nucléaire pacifique, soulignant que son pays soutenait fermement les droits légitimes de l'Iran à cet égard.
Le président iranien Massoud Pezeshkian a appelé dimanche les institutions internationales et le Conseil de sécurité de l’ONU à abandonner la politique du deux poids, deux mesures et à assumer leurs responsabilités pour prévenir les attaques contre les États membres, stopper l’expansion des guerres et mettre fin aux massacres de civils innocents.
Lors d’une conférence de presse conjointe avec le Premier ministre pakistanais Shehbaz Sharif, M. Pezeshkian a souligné la convergence de vues entre l’Iran et le Pakistan sur les questions régionales et internationales, soulignant que la sécurité des nations est interdépendante et que le développement des relations ne peut se faire que dans un environnement de paix, de stabilité et de tranquillité, selon l’agence de presse iranienne Tasnim.
Il a déclaré que parmi les points les plus importants abordés lors des rencontres avec la partie pakistanaise figuraient la condamnation des crimes inhumains commis par l’entité sioniste en Palestine, au Liban et en Syrie, le génocide en cours à Gaza et les attaques flagrantes dans la région, ainsi que la nécessité de leur cessation immédiate.
Il a déclaré : « Nous et le Pakistan sommes convaincus de la nécessité d'établir une coopération concrète et efficace entre les pays de la région, en particulier les pays islamiques, pour faire face à l'entité sioniste, et nous avons discuté d'initiatives pour activer cette coopération. »
Le président iranien a souligné que les attaques répétées de l'entité israélienne réaffirment l'urgence d'un consensus régional pour faire face aux transgressions de cette entité hors-la-loi.
De son côté, le Premier ministre pakistanais a condamné la récente agression israélienne sur le territoire iranien, déclarant : « En juin dernier, Israël a commis une agression illégale sur le territoire iranien, et nous la condamnons non seulement au nom du gouvernement, mais aussi au nom de l'ensemble du peuple pakistanais. »
Sharif a insisté sur le droit de l'Iran à un programme nucléaire pacifique, soulignant que son pays soutenait fermement les droits légitimes de l'Iran à cet égard.