
New York – Saba :
Le Commissaire général de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA), Philippe Lazzarini, a confirmé samedi que « la marginalisation et l’affaiblissement de l’UNRWA n’ont rien à voir avec les allégations de détournement d’aide au profit de groupes armés », expliquant qu’il s’agit « d’une mesure délibérée visant à faire pression sur les Palestiniens et à les punir collectivement pour leur présence à Gaza ».
Il a ajouté, dans un message publié sur son compte X, suivi par l’agence de presse yéménite (Saba), que la famine à Gaza était largement due à des tentatives délibérées de remplacer le système d’aide humanitaire coordonné de l’ONU par un système « responsable de la mort de près de 1 400 personnes par famine ».
Il a ajouté : « La famine s’est aggravée à Gaza car l’UNRWA, pilier de la réponse humanitaire, a été empêchée d’acheminer de l’aide à Gaza pendant cinq mois. »
Il a poursuivi : « Il n’y a plus de temps à perdre, et une décision politique doit être prise pour ouvrir les points de passage sans condition. »
Il a souligné que l'UNRWA « dispose de l'expertise, du personnel et des ressources nécessaires pour contribuer à grande échelle ».
Depuis le 7 octobre 2023, l'ennemi israélien, avec le soutien des États-Unis, commet un génocide à Gaza, notamment des meurtres, la famine, des destructions et des déplacements, ignorant les appels internationaux et les injonctions de la Cour internationale de justice visant à y mettre un terme.
Les Palestiniens de la bande de Gaza sont confrontés à une vague de faim sans précédent depuis que l'ennemi israélien a fermé les points de passage de la bande début mars et imposé de sévères restrictions à l'entrée de nourriture, d'aide humanitaire, de carburant et de médicaments.
Le Commissaire général de l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA), Philippe Lazzarini, a confirmé samedi que « la marginalisation et l’affaiblissement de l’UNRWA n’ont rien à voir avec les allégations de détournement d’aide au profit de groupes armés », expliquant qu’il s’agit « d’une mesure délibérée visant à faire pression sur les Palestiniens et à les punir collectivement pour leur présence à Gaza ».
Il a ajouté, dans un message publié sur son compte X, suivi par l’agence de presse yéménite (Saba), que la famine à Gaza était largement due à des tentatives délibérées de remplacer le système d’aide humanitaire coordonné de l’ONU par un système « responsable de la mort de près de 1 400 personnes par famine ».
Il a ajouté : « La famine s’est aggravée à Gaza car l’UNRWA, pilier de la réponse humanitaire, a été empêchée d’acheminer de l’aide à Gaza pendant cinq mois. »
Il a poursuivi : « Il n’y a plus de temps à perdre, et une décision politique doit être prise pour ouvrir les points de passage sans condition. »
Il a souligné que l'UNRWA « dispose de l'expertise, du personnel et des ressources nécessaires pour contribuer à grande échelle ».
Depuis le 7 octobre 2023, l'ennemi israélien, avec le soutien des États-Unis, commet un génocide à Gaza, notamment des meurtres, la famine, des destructions et des déplacements, ignorant les appels internationaux et les injonctions de la Cour internationale de justice visant à y mettre un terme.
Les Palestiniens de la bande de Gaza sont confrontés à une vague de faim sans précédent depuis que l'ennemi israélien a fermé les points de passage de la bande début mars et imposé de sévères restrictions à l'entrée de nourriture, d'aide humanitaire, de carburant et de médicaments.