
Jéricho - Saba :
Les habitants de la communauté arabe d'al-Malihat, dans la région d'al-Mu'arrajat, au nord-ouest de Jéricho, ont appelé hier les autorités locales et internationales, ainsi que les organismes de défense des droits de l'homme, à intervenir immédiatement et à mettre un terme à ce qu'ils qualifient de crime de déplacement forcé organisé, perpétré par des groupes de colons sous la protection des forces ennemies.
L'Organisation Al-Baydar pour la défense des droits des Bédouins a expliqué dans un communiqué publié vendredi que la communauté avait été victime d'une série d'attaques et de violations ces derniers mois, notamment des raids, des destructions de biens, des intimidations contre les résidents, des empoisonnements et des vols de bétail, ainsi que des fermetures de routes.
Elle a indiqué que ces pratiques avaient contraint plus de la moitié de la population à être déplacée de force début juillet.
Elle a ajouté que 27 jours après le déplacement forcé, plusieurs familles sont retournées sur leurs terres dans la communauté le 31 juillet, avec le soutien du ministère de la Résistance au mur et à la colonisation, de l'Autorité foncière, du gouvernorat de Jéricho et d'autres institutions nationales. Les conditions minimales de stabilité, telles que des tentes, de l'eau et de l'électricité, ont été fournies pour assurer la résilience des résidents.
Après leur retour, les colons ont assiégé les habitants de la zone, et l'armée israélienne leur a imposé un siège, sous des menaces constantes et en l'absence de garanties réelles de non-répétition des attaques.
Les habitants craignent que ces mesures s'inscrivent dans un plan plus vaste visant à déplacer les communautés bédouines de la vallée du Jourdain, dans le cadre d'une politique systématique de vidage des terres pour l'expansion des colonies.
Les habitants de la communauté arabe d'al-Malihat, dans la région d'al-Mu'arrajat, au nord-ouest de Jéricho, ont appelé hier les autorités locales et internationales, ainsi que les organismes de défense des droits de l'homme, à intervenir immédiatement et à mettre un terme à ce qu'ils qualifient de crime de déplacement forcé organisé, perpétré par des groupes de colons sous la protection des forces ennemies.
L'Organisation Al-Baydar pour la défense des droits des Bédouins a expliqué dans un communiqué publié vendredi que la communauté avait été victime d'une série d'attaques et de violations ces derniers mois, notamment des raids, des destructions de biens, des intimidations contre les résidents, des empoisonnements et des vols de bétail, ainsi que des fermetures de routes.
Elle a indiqué que ces pratiques avaient contraint plus de la moitié de la population à être déplacée de force début juillet.
Elle a ajouté que 27 jours après le déplacement forcé, plusieurs familles sont retournées sur leurs terres dans la communauté le 31 juillet, avec le soutien du ministère de la Résistance au mur et à la colonisation, de l'Autorité foncière, du gouvernorat de Jéricho et d'autres institutions nationales. Les conditions minimales de stabilité, telles que des tentes, de l'eau et de l'électricité, ont été fournies pour assurer la résilience des résidents.
Après leur retour, les colons ont assiégé les habitants de la zone, et l'armée israélienne leur a imposé un siège, sous des menaces constantes et en l'absence de garanties réelles de non-répétition des attaques.
Les habitants craignent que ces mesures s'inscrivent dans un plan plus vaste visant à déplacer les communautés bédouines de la vallée du Jourdain, dans le cadre d'une politique systématique de vidage des terres pour l'expansion des colonies.