Le leader de la révolution dénonce les réseaux de collusion... Un discours qui met à l'épreuve les régimes et mobilise le peuple : rapport


https://www.saba.ye/fr/news3526742.htm

Agence de Presse Yéménite
Le leader de la révolution dénonce les réseaux de collusion... Un discours qui met à l'épreuve les régimes et mobilise le peuple : rapport
[02/ Ao˚t/2025]
Sanaa - Saba - Jamil Al-Qasham :


Le discours du leader de la révolution, Sayyed Abdul-Malik Badr al-Din al-Houthi, est intervenu à un moment charnière, transformant la prise de conscience publique des souffrances du peuple palestinien à Gaza. Il a exposé avec justesse les aspects de la complicité arabe dans le soutien à l'entité sioniste. Son discours a transmis des messages concis, transcendant les clivages politiques, religieux et culturels, soulignant que la position agressive est indissociable de la position de la nation entre le camp de la trahison et la ligne du djihad.

Le Guide de la Révolution a mis en lumière les réalités amères qui se dessinent en coulisses dans les relations entre certaines capitales arabes et l'ennemi israélien, de la fourniture d'avions de combat à la mise en place de corridors commerciaux, en passant par l'accueil continu de délégations sionistes sous couvert de normalisation et d'ouverture. Ces capitales sont ainsi devenues des instruments directs de soutien à la machine meurtrière et génocidaire.


Conscient, le Guide de la Révolution a décidé d'attribuer une responsabilité majeure au peuple, soulignant que l'initiative lui appartient et que les possibilités d'influence existent tant que la conscience est présente et que la volonté populaire est libre. Il a offert une analyse approfondie du rôle des masses comme force de pression, soulignant que leur marginalisation n'est pas une fatalité, mais plutôt le résultat de la tromperie médiatique et des méthodes d'asservissement qui prévalent depuis des décennies.


L'analyse s'est étendue aux mosquées, aux établissements d'enseignement et aux plateformes médiatiques, qui ont été asservis pour devenir des outils de tromperie et d'apaisement, plutôt que des plateformes de mobilisation et de revitalisation. Le silence de ces institutions, malgré l’ampleur des massacres, a été considéré comme une expression flagrante de détachement des problèmes de la nation et un retrait suspect du devoir de soutien.

Ce discours reflétait une approche coranique consciente, reliant la trahison interne aux crimes externes et confrontant le peuple à la responsabilité d'une renaissance incontournable. Il a également établi une vision stratégique qui place la résistance au centre de l'action et rejette toute justification contraire aux exigences de dignité et d'appartenance.


Le Guide a débuté son discours par une description très précise de la phase actuelle, où les visages de la trahison se révèlent à travers les portes de l'économie, de l'armement et de la politique, et où les intérêts de certains régimes arabes croisent le projet sioniste. Il a dressé un bilan franc des péchés commis au nom de l'impuissance, alors qu'en réalité il s'agit d'une soumission volontaire à la volonté de Washington et de Tel-Aviv, présentée comme des options politiques.

Le discours du Guide a critiqué directement Al-Azhar pour son retrait rapide après sa première déclaration. Cela a révélé le déséquilibre des valeurs au sein de certaines des institutions religieuses les plus vénérables et leur inaptitude à assurer un leadership moral dans une période aussi sensible. Cette critique s'est accompagnée d'un appel à la réforme, et non à la diffamation, dans le cadre d'une réorientation de la morale.


Le discours du Guide a mis en lumière une mise en garde décisive contre les conséquences divines de l'inaction, citant des versets du Saint Coran qui appellent à la crainte des conséquences et mettent en garde contre le châtiment qui frappera ceux qui échouent, ici-bas comme dans l'au-delà. Ce rappel n'est pas seulement moralisateur, mais sert également d'outil pour éveiller la conscience collective et repositionner moralement les esprits dans l'arène de la confrontation.


Il a lancé un appel explicite à repenser le djihad comme une responsabilité globale de résistance au projet sioniste – politiquement, culturellement et médiatiquement – comme un projet visant à démanteler la nation, à dissoudre son identité, à piller ses ressources et à contrôler son chemin civilisationnel sous couvert de normalisation et de coopération.

Le discours du Guide a critiqué directement Al-Azhar pour son retrait rapide après sa première déclaration. Cela a révélé le déséquilibre des valeurs au sein de certaines des institutions religieuses les plus vénérables et leur inaptitude à assurer un leadership moral dans une période aussi sensible. Cette critique s'est accompagnée d'un appel à la réforme, et non à la diffamation, dans le cadre d'une réorientation de la morale.


Le discours du Guide a mis en lumière une mise en garde décisive contre les conséquences divines de l'inaction, citant des versets du Saint Coran qui appellent à la crainte des conséquences et mettent en garde contre le châtiment qui frappera ceux qui échouent, ici-bas comme dans l'au-delà. Ce rappel n'est pas seulement moralisateur, mais sert également d'outil pour éveiller la conscience collective et repositionner moralement les esprits dans l'arène de la confrontation.


Il a lancé un appel explicite à repenser le djihad comme une responsabilité globale de résistance au projet sioniste – politiquement, culturellement et médiatiquement – comme un projet visant à démanteler la nation, à dissoudre son identité, à piller ses ressources et à contrôler son chemin civilisationnel sous couvert de normalisation et de coopération.


Le langage de ce discours était unique, alliant un ton ferme et religieux à une lecture politique précise. Chaque paragraphe comportait une incitation à la prise de conscience, un appel à l'action et une dénonciation discrète de positions honteuses, dissimulées sous des prétextes de justification et de dérobade. Le Guide de la Révolution y présentait un projet de mobilisation global, partant de la prise de conscience et se terminant par l'action.


Le Guide de la Révolution cherchait à redéfinir la relation entre la nation et Jérusalem, entre les peuples et les lieux saints, entre les slogans et les positions, et entre le Coran et la réalité. Il y est parvenu en associant l'échec au dysfonctionnement éducatif, les positions politiques au déclin moral, et le silence des régimes à l'absence de foi.


Le discours se concluait par un appel ouvert à l'axe de résistance, un appel au resserrement des rangs et au rassemblement des peuples autour des fronts de la fermeté. Il a également réaffirmé son soutien total au peuple palestinien, politiquement et sur le terrain, dans le cadre de la lutte pour l'honneur arabe et islamique.


Le Guide de la Révolution a présenté une carte des positions qui ne tolérait aucune ambiguïté, fermant la porte à la neutralité et tenant chaque partie responsable : rejoindre le Front al-Nosra ou être considéré comme un traître. Le discours était sans fioritures. L’équation est aujourd’hui claire, et le terrain ne peut tolérer le flou.


Dans son intégralité, le discours du Guide constitue un document de position qui consolide une orientation claire et décrit les caractéristiques de la phase actuelle, fondées sur des normes coraniques et éthiques strictes. Ce discours a présenté une vision globale qui soutient la vérité, place chacun à sa place et tient chaque partie responsable des conséquences de ses choix et de la responsabilité de sa voix. Il restitue avec audace et équilibre les dimensions religieuses, historiques et politiques de la scène.