New York - Saba :
Les agences humanitaires des Nations Unies ont alerté jeudi sur le risque de famine dans la bande de Gaza, selon les dernières données du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC).
Elles ont constaté que 96 % des ménages interrogés au cours des deux premières semaines de juillet ont connu une insécurité hydrique modérée à élevée, soit une augmentation de 3 % par rapport à juin.
Ces chiffres figurent dans le dernier point sur la situation humanitaire dans la bande de Gaza, publié jeudi.
L’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) a confirmé que la famine à Gaza est entièrement d’origine humaine.
Elle a souligné la nécessité de permettre aux Nations Unies, notamment à l'UNRWA, de mener à bien leur mission afin que l'aide puisse parvenir en toute sécurité à ceux qui en ont le plus besoin, notamment un million d'enfants affamés.
La directrice de la communication et de l'information de l'UNRWA, Juliette Touma, a souligné que l'acheminement de l'aide par voie terrestre est le moyen le plus sûr et le plus rapide, et préserve la dignité humaine.
Elle a déclaré que les Nations Unies, notamment l'UNRWA, ont pu acheminer entre 500 et 600 camions par jour pendant le cessez-le-feu en début d'année.
Le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies a signalé que les forces ennemies israéliennes ont poursuivi leurs bombardements aériens, terrestres et maritimes intensifs sur la bande de Gaza au cours de la semaine écoulée, parallèlement aux opérations terrestres en cours.
Selon des sources médicales, 640 citoyens ont été tués et 3 224 autres blessés entre le 23 et le 30 juillet. Le nombre total de martyrs depuis le 7 octobre s'élève à au moins 60 138 citoyens, en plus de 146 269 autres blessés.
Depuis le début de l'agression contre la bande de Gaza, l'Organisation mondiale de la santé a fait état de l'évacuation de 7 460 malades et blessés de la bande, dont 5 160 enfants, pour être soignés à l'étranger.
Les agences humanitaires des Nations Unies ont alerté jeudi sur le risque de famine dans la bande de Gaza, selon les dernières données du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC).
Elles ont constaté que 96 % des ménages interrogés au cours des deux premières semaines de juillet ont connu une insécurité hydrique modérée à élevée, soit une augmentation de 3 % par rapport à juin.
Ces chiffres figurent dans le dernier point sur la situation humanitaire dans la bande de Gaza, publié jeudi.
L’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) a confirmé que la famine à Gaza est entièrement d’origine humaine.
Elle a souligné la nécessité de permettre aux Nations Unies, notamment à l'UNRWA, de mener à bien leur mission afin que l'aide puisse parvenir en toute sécurité à ceux qui en ont le plus besoin, notamment un million d'enfants affamés.
La directrice de la communication et de l'information de l'UNRWA, Juliette Touma, a souligné que l'acheminement de l'aide par voie terrestre est le moyen le plus sûr et le plus rapide, et préserve la dignité humaine.
Elle a déclaré que les Nations Unies, notamment l'UNRWA, ont pu acheminer entre 500 et 600 camions par jour pendant le cessez-le-feu en début d'année.
Le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations Unies a signalé que les forces ennemies israéliennes ont poursuivi leurs bombardements aériens, terrestres et maritimes intensifs sur la bande de Gaza au cours de la semaine écoulée, parallèlement aux opérations terrestres en cours.
Selon des sources médicales, 640 citoyens ont été tués et 3 224 autres blessés entre le 23 et le 30 juillet. Le nombre total de martyrs depuis le 7 octobre s'élève à au moins 60 138 citoyens, en plus de 146 269 autres blessés.
Depuis le début de l'agression contre la bande de Gaza, l'Organisation mondiale de la santé a fait état de l'évacuation de 7 460 malades et blessés de la bande, dont 5 160 enfants, pour être soignés à l'étranger.