
Gaza –
Saba :
Amjad Shawa, directeur du Réseau des ONG palestiniennes, a confirmé mercredi que le volume d’aide entrant à Gaza ne dépassait pas 70 à 80 camions par jour, alors que la bande de Gaza avait un besoin urgent de 1 000 camions de tous types par jour pour endiguer la famine qui sévit au sein de la population.
Shawa a déclaré à l’agence de presse Sanad que l’aide humanitaire entrant dans la bande de Gaza ne répondait pas aux besoins minimaux de la population, compte tenu de l’escalade de la crise humanitaire et de la famine persistante, soulignant que « chaque instant qui passe à Gaza est pire que le précédent ». Shawa a expliqué que la majorité de ces camions n'atteignent pas les entrepôts ni les organisations internationales en raison des couloirs d'entrée imposés par les autorités israéliennes qui traversent des zones en proie au chaos et contrôlées par des gangs armés et des voleurs. Cela conduit au pillage de l'aide et l'empêche d'atteindre les personnes dans le besoin.
Il a également souligné que l'aggravation de la catastrophe à Gaza n'est qu'une question de temps, compte tenu de la pénurie alimentaire, de l'insécurité et de l'effondrement quasi total du secteur de la santé. Il a averti que des « morts massives » pourraient se produire si la communauté internationale n'agit pas rapidement et efficacement.
Shawa a appelé la communauté internationale à intensifier la pression sur les autorités israéliennes afin qu'elles ouvrent les points de passage et mettent en place des couloirs sûrs pour l'entrée de l'aide humanitaire, garantissant son arrivée aux centres de distribution sans pillage ni obstruction.
Il a souligné l'importance du rôle des agences des Nations Unies dans l'organisation d'une distribution rapide et fiable de l'aide, garantissant ainsi la préservation de la dignité des citoyens palestiniens dans ce contexte de l'une des pires catastrophes humanitaires des temps modernes.
Amjad Shawa, directeur du Réseau des ONG palestiniennes, a confirmé mercredi que le volume d’aide entrant à Gaza ne dépassait pas 70 à 80 camions par jour, alors que la bande de Gaza avait un besoin urgent de 1 000 camions de tous types par jour pour endiguer la famine qui sévit au sein de la population.
Shawa a déclaré à l’agence de presse Sanad que l’aide humanitaire entrant dans la bande de Gaza ne répondait pas aux besoins minimaux de la population, compte tenu de l’escalade de la crise humanitaire et de la famine persistante, soulignant que « chaque instant qui passe à Gaza est pire que le précédent ». Shawa a expliqué que la majorité de ces camions n'atteignent pas les entrepôts ni les organisations internationales en raison des couloirs d'entrée imposés par les autorités israéliennes qui traversent des zones en proie au chaos et contrôlées par des gangs armés et des voleurs. Cela conduit au pillage de l'aide et l'empêche d'atteindre les personnes dans le besoin.
Il a également souligné que l'aggravation de la catastrophe à Gaza n'est qu'une question de temps, compte tenu de la pénurie alimentaire, de l'insécurité et de l'effondrement quasi total du secteur de la santé. Il a averti que des « morts massives » pourraient se produire si la communauté internationale n'agit pas rapidement et efficacement.
Shawa a appelé la communauté internationale à intensifier la pression sur les autorités israéliennes afin qu'elles ouvrent les points de passage et mettent en place des couloirs sûrs pour l'entrée de l'aide humanitaire, garantissant son arrivée aux centres de distribution sans pillage ni obstruction.
Il a souligné l'importance du rôle des agences des Nations Unies dans l'organisation d'une distribution rapide et fiable de l'aide, garantissant ainsi la préservation de la dignité des citoyens palestiniens dans ce contexte de l'une des pires catastrophes humanitaires des temps modernes.