
Paris –
Saba :
Le président français Emmanuel Macron a admis mercredi que l'accord commercial entre l'Union européenne et les États-Unis démontrait que l'Europe avait perdu son « prestige » pour obtenir de meilleures conditions.
Dans des déclarations diffusées par BFM TV, Macron a affirmé que l'accord commercial entre l'Union européenne et les États-Unis, qui prévoit l'application d'un droit de douane d'environ 15 % sur toutes les exportations de l'UE vers les États-Unis, démontre que l'Europe n'a pas su se faire suffisamment craindre pour obtenir de meilleures conditions.
Macron a déclaré : « Pour être libres, nous devons susciter la peur. Personne ne nous craint plus suffisamment. La France a toujours adopté une position ferme et exigeante, et elle continuera de l'être. L'histoire ne s'arrête pas là, et nous ne nous arrêterons pas là.»
Il a ajouté que l'UE pourrait obtenir de « nouvelles concessions » lors des discussions visant à définir les modalités de la « formalisation » de l'accord.
Il a appelé à « un travail acharné pour rééquilibrer nos échanges commerciaux, notamment dans le secteur des services ».
Cependant, Macron a souligné que « l'avantage de l'accord réside dans sa transparence et sa prévisibilité à court terme » et qu'il « protège les intérêts de la France et de l'Europe dans des secteurs d'exportation importants, comme l'aéronautique ».
Selon Macron, l'UE a également « garanti » qu'aucune mesure susceptible de nuire au secteur agricole ne serait prise et qu'« aucune remise en cause de notre indépendance ou de nos normes sanitaires et environnementales ne serait faite ».
Le président français Emmanuel Macron a admis mercredi que l'accord commercial entre l'Union européenne et les États-Unis démontrait que l'Europe avait perdu son « prestige » pour obtenir de meilleures conditions.
Dans des déclarations diffusées par BFM TV, Macron a affirmé que l'accord commercial entre l'Union européenne et les États-Unis, qui prévoit l'application d'un droit de douane d'environ 15 % sur toutes les exportations de l'UE vers les États-Unis, démontre que l'Europe n'a pas su se faire suffisamment craindre pour obtenir de meilleures conditions.
Macron a déclaré : « Pour être libres, nous devons susciter la peur. Personne ne nous craint plus suffisamment. La France a toujours adopté une position ferme et exigeante, et elle continuera de l'être. L'histoire ne s'arrête pas là, et nous ne nous arrêterons pas là.»
Il a ajouté que l'UE pourrait obtenir de « nouvelles concessions » lors des discussions visant à définir les modalités de la « formalisation » de l'accord.
Il a appelé à « un travail acharné pour rééquilibrer nos échanges commerciaux, notamment dans le secteur des services ».
Cependant, Macron a souligné que « l'avantage de l'accord réside dans sa transparence et sa prévisibilité à court terme » et qu'il « protège les intérêts de la France et de l'Europe dans des secteurs d'exportation importants, comme l'aéronautique ».
Selon Macron, l'UE a également « garanti » qu'aucune mesure susceptible de nuire au secteur agricole ne serait prise et qu'« aucune remise en cause de notre indépendance ou de nos normes sanitaires et environnementales ne serait faite ».