Moscou-Saba :
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a souligné lundi que l’accord entre les États-Unis et l’Union européenne n’était pas rentable pour l’Europe, notant que cette décision entraînerait un déclin de l’industrie manufacturière en Europe.
Selon l’agence de presse Sputnik, Lavrov a déclaré lundi lors du Forum russe pour l’éducation de la jeunesse « Iqlim al-Ma’ani » (La Région des Sens) : « Il est clair que les ressources énergétiques américaines seront beaucoup plus chères que les ressources russes. Il est clair qu’une telle approche entraînera un nouveau déclin de l’industrie manufacturière en Europe et un afflux d’investissements européens vers les États-Unis.»
Il a ajouté : « Bien sûr, ce sera un coup très dur, en premier lieu pour les prix de l’énergie, les flux d’investissement, l’industrie et l’agriculture européennes.»
Lavrov a souligné que des personnalités comme la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, étaient fières de suivre cette voie.
Il a souligné que la Russie était ouverte au dialogue avec tous les pays, y compris les pays européens.
Il a poursuivi : « La question ukrainienne est bien sûr une manifestation de la politique occidentale visant à infliger une défaite stratégique à la Russie. Ils n'hésitent pas à affirmer qu'ils s'y préparent depuis longtemps.»
Selon lui, l'Europe s'efforce de vaincre la Fédération de Russie, et cela se confirme quotidiennement.
Lavrov a poursuivi : « La volonté sérieuse des Européens de nous vaincre se confirme chaque jour. Le nouveau chancelier allemand, M. (Friedrich) Merz, a déclaré : “Nous sommes tenus de faire de l'Allemagne la première puissance militaire d'Europe.” Elle était la première puissance militaire à la veille de la Première Guerre mondiale, lorsqu'elle l'a déclenchée, et à la veille de la Seconde Guerre mondiale, lorsqu'elle l'a également déclenchée. Aujourd'hui, il veut faire de l'Allemagne la première puissance militaire d'Europe. »
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le président américain, Donald Trump, ont conclu un accord commercial le 27 juillet, prévoyant l'application de droits de douane de 15 % sur la quasi-totalité des exportations de l'UE vers les États-Unis. Par ailleurs, l'UE s'est engagée à acheter du gaz naturel liquéfié, du combustible nucléaire et des armes aux États-Unis.
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a souligné lundi que l’accord entre les États-Unis et l’Union européenne n’était pas rentable pour l’Europe, notant que cette décision entraînerait un déclin de l’industrie manufacturière en Europe.
Selon l’agence de presse Sputnik, Lavrov a déclaré lundi lors du Forum russe pour l’éducation de la jeunesse « Iqlim al-Ma’ani » (La Région des Sens) : « Il est clair que les ressources énergétiques américaines seront beaucoup plus chères que les ressources russes. Il est clair qu’une telle approche entraînera un nouveau déclin de l’industrie manufacturière en Europe et un afflux d’investissements européens vers les États-Unis.»
Il a ajouté : « Bien sûr, ce sera un coup très dur, en premier lieu pour les prix de l’énergie, les flux d’investissement, l’industrie et l’agriculture européennes.»
Lavrov a souligné que des personnalités comme la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, étaient fières de suivre cette voie.
Il a souligné que la Russie était ouverte au dialogue avec tous les pays, y compris les pays européens.
Il a poursuivi : « La question ukrainienne est bien sûr une manifestation de la politique occidentale visant à infliger une défaite stratégique à la Russie. Ils n'hésitent pas à affirmer qu'ils s'y préparent depuis longtemps.»
Selon lui, l'Europe s'efforce de vaincre la Fédération de Russie, et cela se confirme quotidiennement.
Lavrov a poursuivi : « La volonté sérieuse des Européens de nous vaincre se confirme chaque jour. Le nouveau chancelier allemand, M. (Friedrich) Merz, a déclaré : “Nous sommes tenus de faire de l'Allemagne la première puissance militaire d'Europe.” Elle était la première puissance militaire à la veille de la Première Guerre mondiale, lorsqu'elle l'a déclenchée, et à la veille de la Seconde Guerre mondiale, lorsqu'elle l'a également déclenchée. Aujourd'hui, il veut faire de l'Allemagne la première puissance militaire d'Europe. »
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le président américain, Donald Trump, ont conclu un accord commercial le 27 juillet, prévoyant l'application de droits de douane de 15 % sur la quasi-totalité des exportations de l'UE vers les États-Unis. Par ailleurs, l'UE s'est engagée à acheter du gaz naturel liquéfié, du combustible nucléaire et des armes aux États-Unis.