
Ramallah - Saba :
Le Club des prisonniers palestiniens a estimé que la décision du tribunal israélien de libérer le colon accusé du meurtre du martyr Odeh al-Hathalin, de Masafer Yatta, constituait un message public d'incitation aux colons à tuer davantage de Palestiniens.
Dans un communiqué publié mercredi, le Club a déclaré que cette décision de libérer le colon assassin est une preuve supplémentaire du rôle essentiel joué par le système judiciaire israélien, l'un des principaux leviers de l'instauration du système brutal d'Israël.
Le Club a expliqué que cette décision perpétue la politique d'impunité et offre une protection juridique aux auteurs de crimes contre le peuple palestinien.
Il a souligné que le système judiciaire israélien, y compris les tribunaux militaires, a été et continue d'être l'un des principaux outils utilisés par l'ennemi pour légitimer ses crimes, consolider son contrôle sur les terres et le peuple palestiniens, et porter atteinte à leur existence et à leurs droits fondamentaux par le biais de procédures judiciaires apparemment « légales », mais qui sont en réalité discriminatoires, oppressives et racistes.
Le Club des Prisonniers a ajouté que la libération du meurtrier et la scène de la comparution du colon devant le tribunal constituent un message public d'incitation à l'assassinat de nouveaux Palestiniens par les colons.
Il a souligné que cette décision n'était pas surprenante au vu des dizaines, voire des centaines, d'exécutions sur le terrain et de meurtres délibérés perpétrés par des soldats et des colons ennemis sans aucune responsabilité, ce qui renforce la politique d'impunité et crée un environnement propice à la commission de nouveaux crimes.
Dans ce contexte, le Club des Prisonniers a réitéré son appel au mouvement national palestinien à poursuivre sérieusement la décision stratégique de boycotter le système judiciaire israélien, qui perpétue une brutalité sans précédent depuis le début de la guerre d'extermination.
Il a également souligné la nécessité de renforcer les efforts internationaux en matière de droits humains et de justice afin de traduire en justice les auteurs de violations graves et de mettre fin à l'impunité exceptionnelle dont jouit l'ennemi.
Le club a appelé la communauté internationale à imposer des sanctions claires aux autorités ennemies, ce qui les placerait dans un état d'isolement juridique et politique, soulignant que le génocide continu et les crimes généralisés contre le peuple palestinien représentent une menace directe pour les valeurs humaines universelles.
Le Club des prisonniers palestiniens a estimé que la décision du tribunal israélien de libérer le colon accusé du meurtre du martyr Odeh al-Hathalin, de Masafer Yatta, constituait un message public d'incitation aux colons à tuer davantage de Palestiniens.
Dans un communiqué publié mercredi, le Club a déclaré que cette décision de libérer le colon assassin est une preuve supplémentaire du rôle essentiel joué par le système judiciaire israélien, l'un des principaux leviers de l'instauration du système brutal d'Israël.
Le Club a expliqué que cette décision perpétue la politique d'impunité et offre une protection juridique aux auteurs de crimes contre le peuple palestinien.
Il a souligné que le système judiciaire israélien, y compris les tribunaux militaires, a été et continue d'être l'un des principaux outils utilisés par l'ennemi pour légitimer ses crimes, consolider son contrôle sur les terres et le peuple palestiniens, et porter atteinte à leur existence et à leurs droits fondamentaux par le biais de procédures judiciaires apparemment « légales », mais qui sont en réalité discriminatoires, oppressives et racistes.
Le Club des Prisonniers a ajouté que la libération du meurtrier et la scène de la comparution du colon devant le tribunal constituent un message public d'incitation à l'assassinat de nouveaux Palestiniens par les colons.
Il a souligné que cette décision n'était pas surprenante au vu des dizaines, voire des centaines, d'exécutions sur le terrain et de meurtres délibérés perpétrés par des soldats et des colons ennemis sans aucune responsabilité, ce qui renforce la politique d'impunité et crée un environnement propice à la commission de nouveaux crimes.
Dans ce contexte, le Club des Prisonniers a réitéré son appel au mouvement national palestinien à poursuivre sérieusement la décision stratégique de boycotter le système judiciaire israélien, qui perpétue une brutalité sans précédent depuis le début de la guerre d'extermination.
Il a également souligné la nécessité de renforcer les efforts internationaux en matière de droits humains et de justice afin de traduire en justice les auteurs de violations graves et de mettre fin à l'impunité exceptionnelle dont jouit l'ennemi.
Le club a appelé la communauté internationale à imposer des sanctions claires aux autorités ennemies, ce qui les placerait dans un état d'isolement juridique et politique, soulignant que le génocide continu et les crimes généralisés contre le peuple palestinien représentent une menace directe pour les valeurs humaines universelles.