
Rabat - Saba :
Des dizaines de Marocains ont manifesté hier, vendredi, pour protester contre les pratiques israéliennes de famine contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza assiégée.
Les manifestants se sont rassemblés devant le Parlement (nord), à Rabat, la capitale, à l'invitation du Groupe d'action pour la Palestine (une organisation non gouvernementale), selon l'agence Anadolu.
Les participants ont dénoncé le blocus imposé à Gaza, qui aggrave la crise sociale et humanitaire dans la bande.
Ils ont brandi des banderoles condamnant le crime de génocide commis par Israël contre le peuple palestinien de Gaza, avec notamment les slogans suivants : « Le peuple marocain est solidaire de l'unité de la nation contre l'agression, de la résistance jusqu'à la libération et au renversement de la normalisation.» Depuis le 2 mars, les forces israéliennes ont fermé les points de passage de Gaza aux camions d'aide entassés le long de la frontière, ne permettant l'entrée que de quelques dizaines de camions, alors que les Palestiniens de la bande de Gaza ont besoin d'au moins 500 camions par jour.
Des dizaines de Marocains ont manifesté hier, vendredi, pour protester contre les pratiques israéliennes de famine contre le peuple palestinien dans la bande de Gaza assiégée.
Les manifestants se sont rassemblés devant le Parlement (nord), à Rabat, la capitale, à l'invitation du Groupe d'action pour la Palestine (une organisation non gouvernementale), selon l'agence Anadolu.
Les participants ont dénoncé le blocus imposé à Gaza, qui aggrave la crise sociale et humanitaire dans la bande.
Ils ont brandi des banderoles condamnant le crime de génocide commis par Israël contre le peuple palestinien de Gaza, avec notamment les slogans suivants : « Le peuple marocain est solidaire de l'unité de la nation contre l'agression, de la résistance jusqu'à la libération et au renversement de la normalisation.» Depuis le 2 mars, les forces israéliennes ont fermé les points de passage de Gaza aux camions d'aide entassés le long de la frontière, ne permettant l'entrée que de quelques dizaines de camions, alors que les Palestiniens de la bande de Gaza ont besoin d'au moins 500 camions par jour.