
Gaza – Saba :
L'Observatoire euro-méditerranéen des droits de l'homme, basé à Genève, a estimé hier, mercredi, que le projet de l'entité israélienne d'isoler les zones à l'est de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, constitue une « manière coloniale de fragmenter Gaza et de la remodeler géographiquement et démographiquement ».
L'Observatoire a déclaré dans un communiqué de presse publié sur son site web que le nouvel axe militaire constitue une dangereuse escalade dans le cadre d'un vaste projet de colonisation visant à fragmenter le territoire et à le remodeler géographiquement et démographiquement pour servir les objectifs à long terme de l'entité israélienne.
L'Observatoire euro-méditerranéen des droits de l'homme a expliqué que la création du nouvel axe confirme le mépris d'Israël pour toute tentative de désescalade susceptible de conduire à la cessation de ses opérations militaires ou à la fin de son occupation illégale de la bande de Gaza.
La déclaration de l'Observatoire euro-méditerranéen des droits de l'homme a expliqué que les zones isolées par le nouvel axe israélien s'étendent sur une superficie estimée à 45 % du gouvernorat de Khan Younis, soit environ 12 % de la superficie totale de la bande de Gaza.
L'Observatoire a souligné qu'« Israël considère la présence civile palestinienne comme une menace à éliminer et qualifie les installations et les civils de structures « terroristes » simplement parce qu'ils se trouvent dans des zones ciblées, car sa guerre est principalement dirigée contre le peuple palestinien. »
L'Observatoire a souligné que la destruction complète n'était pas nécessaire à des fins militaires, mais visait plutôt à détruire et à effacer complètement le patrimoine matériel et culturel palestinien, en violation grave du droit international.
Auparavant, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, criminel de guerre recherché par la Cour pénale internationale, avait annoncé le contrôle de l'axe Morag (région de Tel al-Sultan) par son armée, soulignant qu'il constituerait le deuxième axe de la stratégie de Philadelphie visant à diviser la bande de Gaza et à exercer une pression accrue sur elle.
Cette annonce s'inscrit dans le contexte de l'agression israélienne visant à démembrer Gaza et à intensifier la pression sur la population pour la contraindre à des concessions, notamment la remise de prisonniers israéliens.
Par ces opérations, l'ennemi israélien cherche à imposer de nouvelles réalités sur le terrain, visant à affaiblir la détermination des Palestiniens de la bande de Gaza et à garantir la réalisation des objectifs militaires et politiques d'Israël dans la guerre en cours.
Avec le soutien des États-Unis et de l'Europe, l'armée ennemie israélienne continue de commettre des crimes de génocide dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023, causant la mort de 58 573 civils palestiniens, dont une majorité d'enfants et de femmes, et blessant 139 607 autres. Il ne s'agit pour l'instant que d'un bilan préliminaire, des milliers de victimes étant toujours ensevelies sous les décombres et dans les rues, inaccessibles aux ambulances et aux équipes de secours.
L'Observatoire euro-méditerranéen des droits de l'homme, basé à Genève, a estimé hier, mercredi, que le projet de l'entité israélienne d'isoler les zones à l'est de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, constitue une « manière coloniale de fragmenter Gaza et de la remodeler géographiquement et démographiquement ».
L'Observatoire a déclaré dans un communiqué de presse publié sur son site web que le nouvel axe militaire constitue une dangereuse escalade dans le cadre d'un vaste projet de colonisation visant à fragmenter le territoire et à le remodeler géographiquement et démographiquement pour servir les objectifs à long terme de l'entité israélienne.
L'Observatoire euro-méditerranéen des droits de l'homme a expliqué que la création du nouvel axe confirme le mépris d'Israël pour toute tentative de désescalade susceptible de conduire à la cessation de ses opérations militaires ou à la fin de son occupation illégale de la bande de Gaza.
La déclaration de l'Observatoire euro-méditerranéen des droits de l'homme a expliqué que les zones isolées par le nouvel axe israélien s'étendent sur une superficie estimée à 45 % du gouvernorat de Khan Younis, soit environ 12 % de la superficie totale de la bande de Gaza.
L'Observatoire a souligné qu'« Israël considère la présence civile palestinienne comme une menace à éliminer et qualifie les installations et les civils de structures « terroristes » simplement parce qu'ils se trouvent dans des zones ciblées, car sa guerre est principalement dirigée contre le peuple palestinien. »
L'Observatoire a souligné que la destruction complète n'était pas nécessaire à des fins militaires, mais visait plutôt à détruire et à effacer complètement le patrimoine matériel et culturel palestinien, en violation grave du droit international.
Auparavant, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, criminel de guerre recherché par la Cour pénale internationale, avait annoncé le contrôle de l'axe Morag (région de Tel al-Sultan) par son armée, soulignant qu'il constituerait le deuxième axe de la stratégie de Philadelphie visant à diviser la bande de Gaza et à exercer une pression accrue sur elle.
Cette annonce s'inscrit dans le contexte de l'agression israélienne visant à démembrer Gaza et à intensifier la pression sur la population pour la contraindre à des concessions, notamment la remise de prisonniers israéliens.
Par ces opérations, l'ennemi israélien cherche à imposer de nouvelles réalités sur le terrain, visant à affaiblir la détermination des Palestiniens de la bande de Gaza et à garantir la réalisation des objectifs militaires et politiques d'Israël dans la guerre en cours.
Avec le soutien des États-Unis et de l'Europe, l'armée ennemie israélienne continue de commettre des crimes de génocide dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023, causant la mort de 58 573 civils palestiniens, dont une majorité d'enfants et de femmes, et blessant 139 607 autres. Il ne s'agit pour l'instant que d'un bilan préliminaire, des milliers de victimes étant toujours ensevelies sous les décombres et dans les rues, inaccessibles aux ambulances et aux équipes de secours.