
Téhéran-Saba :
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a souligné hier mardi que la responsabilité historique de la majorité des défis environnementaux mondiaux incombe aux pays développés, en raison de leurs pratiques.
L’agence de presse iranienne Tasnim a rapporté que les propos d’Araghchi ont été prononcés lors de son discours au sommet des BRICS organisé par le Brésil, consacré à l’environnement et à la santé mondiale.
Araghchi a déclaré : « Les BRICS représentent un symbole important de la coopération Sud-Sud et une voix indépendante pour les peuples. Nous nous réunissons aujourd’hui à un moment où l’humanité est confrontée à une série de crises interconnectées, allant des profonds impacts du changement climatique et de la destruction de l’environnement aux menaces croissantes pour la santé mondiale, et enfin aux structures injustes qui entravent le progrès des pays en développement. »
Le ministre iranien des Affaires étrangères a souligné que les sanctions et les tensions géopolitiques avaient affaibli la coopération climatique et entravé la coordination internationale. Il a déclaré : « Les sanctions injustes et les mesures coercitives unilatérales imposées par certains pays développés à des pays en développement, dont la République islamique d’Iran, sous des prétextes politiques, constituent un obstacle majeur aux efforts de ces pays.» Ces mesures sont également en contradiction avec les objectifs de la communauté internationale en matière de lutte contre les effets du changement climatique et de développement durable, notamment l’éradication de la pauvreté et de la faim.
Araghchi a évoqué les récentes attaques lancées par l’entité sioniste, soutenue par les États-Unis, contre les installations nucléaires iraniennes, considérant ces attaques comme une violation du droit international, de la Charte des Nations Unies et du Statut de l’Agence internationale de l’énergie atomique.
Il a déclaré : « Nous sommes confrontés à une situation préoccupante : deux États dotés d’armes nucléaires attaquent un État non doté d’armes nucléaires, membre du Traité de non-prolifération nucléaire, dont les activités nucléaires sont soumises à la surveillance complète de l’AIEA.» Ces attaques irresponsables et agressives représentent de graves risques humanitaires et environnementaux, ainsi que des dommages écologiques irréparables.
En conclusion, le ministre des Affaires étrangères a souligné que l'Iran, fort de ses vastes ressources naturelles, de son capital humain et de sa situation géopolitique stratégique, affirme que les décisions doivent être prises de manière participative et équitable, sur la base du principe de « responsabilité commune mais différenciée ». Il a appelé les pays BRICS à devenir la voix unifiée des pays du Sud sur les questions environnementales et climatiques.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a souligné hier mardi que la responsabilité historique de la majorité des défis environnementaux mondiaux incombe aux pays développés, en raison de leurs pratiques.
L’agence de presse iranienne Tasnim a rapporté que les propos d’Araghchi ont été prononcés lors de son discours au sommet des BRICS organisé par le Brésil, consacré à l’environnement et à la santé mondiale.
Araghchi a déclaré : « Les BRICS représentent un symbole important de la coopération Sud-Sud et une voix indépendante pour les peuples. Nous nous réunissons aujourd’hui à un moment où l’humanité est confrontée à une série de crises interconnectées, allant des profonds impacts du changement climatique et de la destruction de l’environnement aux menaces croissantes pour la santé mondiale, et enfin aux structures injustes qui entravent le progrès des pays en développement. »
Le ministre iranien des Affaires étrangères a souligné que les sanctions et les tensions géopolitiques avaient affaibli la coopération climatique et entravé la coordination internationale. Il a déclaré : « Les sanctions injustes et les mesures coercitives unilatérales imposées par certains pays développés à des pays en développement, dont la République islamique d’Iran, sous des prétextes politiques, constituent un obstacle majeur aux efforts de ces pays.» Ces mesures sont également en contradiction avec les objectifs de la communauté internationale en matière de lutte contre les effets du changement climatique et de développement durable, notamment l’éradication de la pauvreté et de la faim.
Araghchi a évoqué les récentes attaques lancées par l’entité sioniste, soutenue par les États-Unis, contre les installations nucléaires iraniennes, considérant ces attaques comme une violation du droit international, de la Charte des Nations Unies et du Statut de l’Agence internationale de l’énergie atomique.
Il a déclaré : « Nous sommes confrontés à une situation préoccupante : deux États dotés d’armes nucléaires attaquent un État non doté d’armes nucléaires, membre du Traité de non-prolifération nucléaire, dont les activités nucléaires sont soumises à la surveillance complète de l’AIEA.» Ces attaques irresponsables et agressives représentent de graves risques humanitaires et environnementaux, ainsi que des dommages écologiques irréparables.
En conclusion, le ministre des Affaires étrangères a souligné que l'Iran, fort de ses vastes ressources naturelles, de son capital humain et de sa situation géopolitique stratégique, affirme que les décisions doivent être prises de manière participative et équitable, sur la base du principe de « responsabilité commune mais différenciée ». Il a appelé les pays BRICS à devenir la voix unifiée des pays du Sud sur les questions environnementales et climatiques.