
Tulkarem - Saba :
Les forces ennemies sionistes ont harcelé hier dimanche les citoyens palestiniens qui s'étaient rassemblés au camp de Tulkarem pour tenter de récupérer leurs biens dans leurs maisons menacées de démolition. Ce plan s'inscrit dans le dernier plan israélien visant à démolir 104 bâtiments à l'intérieur du camp sous prétexte d'objectifs militaires.
L'agence de presse palestinienne (WAFA) a rapporté que les soldats ennemis ont délibérément entravé l'accès des résidents à leurs domiciles en vérifiant leurs papiers d'identité, en arrêtant plusieurs d'entre eux et en soumettant d'autres à des enquêtes et des perquisitions sur le terrain, dans un climat de tension et de provocation.
Pendant les heures imparties, des familles ont été vues se précipiter pour évacuer leurs maisons, escortées par des bénévoles du Croissant-Rouge palestinien. Pendant ce temps, les forces ennemies ont encerclé la zone et déployé massivement leurs forces aux entrées du camp, dans les ruelles et les maisons qu'elles avaient transformées en casernes militaires. Elles ont poursuivi les habitants, tirant à balles réelles et à l'explosif pour les intimider.
Hier soir, l'armée ennemie a annoncé que ce qu'elle a décrit comme un « deuxième groupe » de familles n'ayant pas pu évacuer leurs maisons plus tôt serait autorisé à entrer dans le camp pour récupérer ses biens, cet après-midi de 14 h 30 à 18 h 30.
L'armée a expliqué que l'évacuation ne concernerait que 54 maisons prévues pour la démolition. Seules trois entrées et sorties étaient réservées au passage des habitants : l'entrée du quartier de la Muqata'a, l'entrée de la place Hanoun et l'entrée adjacente à l'école de filles Zenobia, qui mène aux écoles de l'UNRWA.
Cette mesure s'inscrit dans le cadre d'une politique de répression contre les habitants du camp, qui font l'objet d'ordres d'évacuation forcée depuis le début de l'agression israélienne contre la ville et son camp, qui en est à son 161e jour consécutif. Ils sont sous le choc et accablés par la menace persistante de perdre leurs maisons et leurs biens. Parallèlement, les forces ennemies imposent un siège serré au camp et à ses environs, notamment la démolition massive de dizaines de bâtiments résidentiels ces derniers jours.
Par ailleurs, les forces ennemies maintiennent un siège serré sur le camp de Nour Shams et ses environs pour le 148e jour consécutif, avec des unités d'infanterie et des véhicules militaires déployés dans les ruelles et les entrées. Ce déploiement fait suite à la récente démolition de maisons et de bâtiments résidentiels, qui a créé de larges rues séparant les quartiers.
Par ailleurs, la ville a été le théâtre aujourd'hui d'un déploiement de véhicules ennemis, sillonnant ses rues principales, notamment la rue Naplouse, le marché central, les places Martyr Thabet Thabet et Jamal Abdel Nasser. Ils ont entravé la circulation des citoyens et des véhicules, klaxonnant de manière provocatrice, roulant à contresens et percutant plusieurs véhicules stationnés sur les trottoirs, mettant en danger la vie des citoyens.
Les forces ennemies ont également pris d'assaut les banlieues de Shuweika, Artah et Dhenaba, se déployant dans leurs rues et quartiers, installant des points de contrôle volants et arrêtant et détenant des jeunes hommes après les avoir fouillés et contrôlés leurs papiers.
Les forces ennemies continuent de transformer la rue de Naplouse en caserne militaire, poursuivant la prise de plusieurs immeubles résidentiels, ainsi que de certaines parties du quartier nord de la ville, notamment celles faisant face au camp de réfugiés de Tulkarem, et de certaines parties du quartier est, à proximité du camp. Ces opérations ont été menées après l'évacuation forcée des habitants, dont certains étaient sous contrôle ennemi depuis plus de quatre mois. Cette opération s'est accompagnée du déploiement d'engins lourds et de bulldozers à proximité.
Cette rue, qui relie les camps de Tulkarem et de Nur Shams, a subi d'importants dégâts en raison des monticules de terre posés par les forces ennemies il y a plusieurs mois. À cela s'ajoute une forte présence ennemie, qui érige des points de contrôle volants et surprises, entravant la circulation des véhicules et aggravant les souffrances des civils.
L'agression en cours a jusqu'à présent causé la mort de 14 civils, dont un enfant et deux femmes, dont l'une était enceinte de huit mois. Elle a également fait des dizaines de blessés et d'arrestations, ainsi que la destruction massive d'infrastructures, d'habitations, de commerces et de véhicules.
L'escalade a entraîné le déplacement forcé de plus de 5 000 familles des deux camps, soit plus de 25 000 habitants. Elle a également entraîné la destruction complète de plus de 600 habitations et l'endommagement partiel de 2 573 autres. Les entrées des camps restent fermées par des monticules de terre, les transformant en zones presque sans vie.
Les forces ennemies sionistes ont harcelé hier dimanche les citoyens palestiniens qui s'étaient rassemblés au camp de Tulkarem pour tenter de récupérer leurs biens dans leurs maisons menacées de démolition. Ce plan s'inscrit dans le dernier plan israélien visant à démolir 104 bâtiments à l'intérieur du camp sous prétexte d'objectifs militaires.
L'agence de presse palestinienne (WAFA) a rapporté que les soldats ennemis ont délibérément entravé l'accès des résidents à leurs domiciles en vérifiant leurs papiers d'identité, en arrêtant plusieurs d'entre eux et en soumettant d'autres à des enquêtes et des perquisitions sur le terrain, dans un climat de tension et de provocation.
Pendant les heures imparties, des familles ont été vues se précipiter pour évacuer leurs maisons, escortées par des bénévoles du Croissant-Rouge palestinien. Pendant ce temps, les forces ennemies ont encerclé la zone et déployé massivement leurs forces aux entrées du camp, dans les ruelles et les maisons qu'elles avaient transformées en casernes militaires. Elles ont poursuivi les habitants, tirant à balles réelles et à l'explosif pour les intimider.
Hier soir, l'armée ennemie a annoncé que ce qu'elle a décrit comme un « deuxième groupe » de familles n'ayant pas pu évacuer leurs maisons plus tôt serait autorisé à entrer dans le camp pour récupérer ses biens, cet après-midi de 14 h 30 à 18 h 30.
L'armée a expliqué que l'évacuation ne concernerait que 54 maisons prévues pour la démolition. Seules trois entrées et sorties étaient réservées au passage des habitants : l'entrée du quartier de la Muqata'a, l'entrée de la place Hanoun et l'entrée adjacente à l'école de filles Zenobia, qui mène aux écoles de l'UNRWA.
Cette mesure s'inscrit dans le cadre d'une politique de répression contre les habitants du camp, qui font l'objet d'ordres d'évacuation forcée depuis le début de l'agression israélienne contre la ville et son camp, qui en est à son 161e jour consécutif. Ils sont sous le choc et accablés par la menace persistante de perdre leurs maisons et leurs biens. Parallèlement, les forces ennemies imposent un siège serré au camp et à ses environs, notamment la démolition massive de dizaines de bâtiments résidentiels ces derniers jours.
Par ailleurs, les forces ennemies maintiennent un siège serré sur le camp de Nour Shams et ses environs pour le 148e jour consécutif, avec des unités d'infanterie et des véhicules militaires déployés dans les ruelles et les entrées. Ce déploiement fait suite à la récente démolition de maisons et de bâtiments résidentiels, qui a créé de larges rues séparant les quartiers.
Par ailleurs, la ville a été le théâtre aujourd'hui d'un déploiement de véhicules ennemis, sillonnant ses rues principales, notamment la rue Naplouse, le marché central, les places Martyr Thabet Thabet et Jamal Abdel Nasser. Ils ont entravé la circulation des citoyens et des véhicules, klaxonnant de manière provocatrice, roulant à contresens et percutant plusieurs véhicules stationnés sur les trottoirs, mettant en danger la vie des citoyens.
Les forces ennemies ont également pris d'assaut les banlieues de Shuweika, Artah et Dhenaba, se déployant dans leurs rues et quartiers, installant des points de contrôle volants et arrêtant et détenant des jeunes hommes après les avoir fouillés et contrôlés leurs papiers.
Les forces ennemies continuent de transformer la rue de Naplouse en caserne militaire, poursuivant la prise de plusieurs immeubles résidentiels, ainsi que de certaines parties du quartier nord de la ville, notamment celles faisant face au camp de réfugiés de Tulkarem, et de certaines parties du quartier est, à proximité du camp. Ces opérations ont été menées après l'évacuation forcée des habitants, dont certains étaient sous contrôle ennemi depuis plus de quatre mois. Cette opération s'est accompagnée du déploiement d'engins lourds et de bulldozers à proximité.
Cette rue, qui relie les camps de Tulkarem et de Nur Shams, a subi d'importants dégâts en raison des monticules de terre posés par les forces ennemies il y a plusieurs mois. À cela s'ajoute une forte présence ennemie, qui érige des points de contrôle volants et surprises, entravant la circulation des véhicules et aggravant les souffrances des civils.
L'agression en cours a jusqu'à présent causé la mort de 14 civils, dont un enfant et deux femmes, dont l'une était enceinte de huit mois. Elle a également fait des dizaines de blessés et d'arrestations, ainsi que la destruction massive d'infrastructures, d'habitations, de commerces et de véhicules.
L'escalade a entraîné le déplacement forcé de plus de 5 000 familles des deux camps, soit plus de 25 000 habitants. Elle a également entraîné la destruction complète de plus de 600 habitations et l'endommagement partiel de 2 573 autres. Les entrées des camps restent fermées par des monticules de terre, les transformant en zones presque sans vie.