
New York - Saba :
L'administration du président américain Donald Trump a déposé une demande officielle auprès des Nations Unies pour démettre Francesca Albanese de ses fonctions de rapporteuse spéciale sur les territoires palestiniens occupés, l'accusant d'« antisémitisme et de soutien au terrorisme ».
Cette demande fait suite à la publication par Mme Albanese d'un rapport accusant plus de 60 entreprises, dont de grands fabricants d'armes et des entreprises technologiques comme Microsoft et Amazon, d'être impliquées dans le soutien aux colonies israéliennes et le crime de génocide (par ‘Israël’ soutenu par US et des pays européens) à Gaza.
Le rapport d'Albanese doit être présenté jeudi à Genève.
La Mission des États-Unis auprès des Nations Unies a publié une déclaration condamnant un nouveau rapport préparé par la rapporteuse spéciale de l'ONU Francesca Albanese, l'accusant de mener une « guerre économique » contre des entreprises américaines et internationales. Cette décision fait suite au rapport d'Albanese qui a révélé l'implication de ces entreprises dans le soutien aux crimes de l'occupation dans les territoires palestiniens.
La mission a déclaré mardi dans un communiqué qu'Albanese avait envoyé des « lettres de menaces à des dizaines d'entités à travers le monde, dont de grandes entreprises américaines », les accusant de complicité dans « de graves violations des droits humains, l'apartheid et le génocide ». Le communiqué ajoute que « ces lettres constituent également une campagne inacceptable de guerre politique et économique contre l'économie américaine et mondiale », accusant les rapports d'Albanese contre Israël d'être « faux et offensants ».
Le communiqué ajoute : « Les États-Unis ont averti que l'inaction persistante non seulement porterait atteinte à la crédibilité des Nations Unies, mais nécessiterait également des mesures importantes en réponse aux fautes commises par Mme Albanese.»
Malgré les objections de l'administration américaine, l'ONU a reconduit Mme Albanese dans ses fonctions plus tôt cette année. Mme Albanese est connue pour ses critiques virulentes envers Israël.
La France a condamné mercredi le bombardement israélien d'une zone densément peuplée du centre de la bande de Gaza, qui a entraîné la mort de deux employés d'ONG le 26 juin.
La France a présenté ses condoléances aux familles des victimes et a appelé à l'identification rapide des circonstances de cet incident et des responsables.
Elle a souligné la nécessité d'assurer la protection des civils et des travailleurs humanitaires en toutes circonstances, conformément au droit international humanitaire.
La France a salué l'immense courage des travailleurs humanitaires qui, au péril de leur vie, viennent en aide aux civils, et a réaffirmé son soutien constant à leur action.
La Ligue des États arabes, l'Organisation de la coopération islamique et l'Union africaine ont lancé mercredi un appel humanitaire urgent pour mettre fin à l'agression israélienne en cours sur la bande de Gaza, lors d'une réunion consultative conjointe tenue au Caire, la capitale égyptienne.
Selon Quds Press, les trois organisations ont affirmé que les actions des forces ennemies à Gaza constituent un véritable génocide et nécessitent une intervention internationale immédiate pour y mettre fin. Elles ont souligné que le recours à la famine et au blocus comme armes de guerre contre les civils constitue un crime au regard du droit international.
Elles ont averti que la bande de Gaza pourrait devenir inhabitable compte tenu de l'effondrement de la situation humanitaire.
Elles ont exigé que l'aide humanitaire soit autorisée à entrer de manière sûre, adéquate et durable.
Elles ont fermement rejeté le mécanisme actuel de distribution de l'aide, qui est devenu un « champ de massacres pour les civils et les travailleurs humanitaires ».
Les organisations ont également réaffirmé leur rejet absolu de toute tentative de déplacer les Palestiniens de leurs terres, soulignant que cela constitue un crime grave au regard du droit international.
Les organisations ont appelé à la formation urgente d'une commission d'enquête internationale indépendante et impartiale pour enquêter sur les crimes de guerre, les violations graves et les crimes de génocide commis à Gaza, et pour déterminer les responsabilités juridiques individuelles et collectives.
Elles ont également appelé à permettre à l’UNRWA de mener à bien ses missions dans la bande de Gaza sans entrave et à rejeter toute tentative visant à saper son rôle ou à transférer ses pouvoirs à d’autres parties, soulignant la nécessité de la soutenir politiquement, financièrement et juridiquement.
L'administration du président américain Donald Trump a déposé une demande officielle auprès des Nations Unies pour démettre Francesca Albanese de ses fonctions de rapporteuse spéciale sur les territoires palestiniens occupés, l'accusant d'« antisémitisme et de soutien au terrorisme ».
Cette demande fait suite à la publication par Mme Albanese d'un rapport accusant plus de 60 entreprises, dont de grands fabricants d'armes et des entreprises technologiques comme Microsoft et Amazon, d'être impliquées dans le soutien aux colonies israéliennes et le crime de génocide (par ‘Israël’ soutenu par US et des pays européens) à Gaza.
Le rapport d'Albanese doit être présenté jeudi à Genève.
La Mission des États-Unis auprès des Nations Unies a publié une déclaration condamnant un nouveau rapport préparé par la rapporteuse spéciale de l'ONU Francesca Albanese, l'accusant de mener une « guerre économique » contre des entreprises américaines et internationales. Cette décision fait suite au rapport d'Albanese qui a révélé l'implication de ces entreprises dans le soutien aux crimes de l'occupation dans les territoires palestiniens.
La mission a déclaré mardi dans un communiqué qu'Albanese avait envoyé des « lettres de menaces à des dizaines d'entités à travers le monde, dont de grandes entreprises américaines », les accusant de complicité dans « de graves violations des droits humains, l'apartheid et le génocide ». Le communiqué ajoute que « ces lettres constituent également une campagne inacceptable de guerre politique et économique contre l'économie américaine et mondiale », accusant les rapports d'Albanese contre Israël d'être « faux et offensants ».
Le communiqué ajoute : « Les États-Unis ont averti que l'inaction persistante non seulement porterait atteinte à la crédibilité des Nations Unies, mais nécessiterait également des mesures importantes en réponse aux fautes commises par Mme Albanese.»
Malgré les objections de l'administration américaine, l'ONU a reconduit Mme Albanese dans ses fonctions plus tôt cette année. Mme Albanese est connue pour ses critiques virulentes envers Israël.
La France a condamné mercredi le bombardement israélien d'une zone densément peuplée du centre de la bande de Gaza, qui a entraîné la mort de deux employés d'ONG le 26 juin.
La France a présenté ses condoléances aux familles des victimes et a appelé à l'identification rapide des circonstances de cet incident et des responsables.
Elle a souligné la nécessité d'assurer la protection des civils et des travailleurs humanitaires en toutes circonstances, conformément au droit international humanitaire.
La France a salué l'immense courage des travailleurs humanitaires qui, au péril de leur vie, viennent en aide aux civils, et a réaffirmé son soutien constant à leur action.
La Ligue des États arabes, l'Organisation de la coopération islamique et l'Union africaine ont lancé mercredi un appel humanitaire urgent pour mettre fin à l'agression israélienne en cours sur la bande de Gaza, lors d'une réunion consultative conjointe tenue au Caire, la capitale égyptienne.
Selon Quds Press, les trois organisations ont affirmé que les actions des forces ennemies à Gaza constituent un véritable génocide et nécessitent une intervention internationale immédiate pour y mettre fin. Elles ont souligné que le recours à la famine et au blocus comme armes de guerre contre les civils constitue un crime au regard du droit international.
Elles ont averti que la bande de Gaza pourrait devenir inhabitable compte tenu de l'effondrement de la situation humanitaire.
Elles ont exigé que l'aide humanitaire soit autorisée à entrer de manière sûre, adéquate et durable.
Elles ont fermement rejeté le mécanisme actuel de distribution de l'aide, qui est devenu un « champ de massacres pour les civils et les travailleurs humanitaires ».
Les organisations ont également réaffirmé leur rejet absolu de toute tentative de déplacer les Palestiniens de leurs terres, soulignant que cela constitue un crime grave au regard du droit international.
Les organisations ont appelé à la formation urgente d'une commission d'enquête internationale indépendante et impartiale pour enquêter sur les crimes de guerre, les violations graves et les crimes de génocide commis à Gaza, et pour déterminer les responsabilités juridiques individuelles et collectives.
Elles ont également appelé à permettre à l’UNRWA de mener à bien ses missions dans la bande de Gaza sans entrave et à rejeter toute tentative visant à saper son rôle ou à transférer ses pouvoirs à d’autres parties, soulignant la nécessité de la soutenir politiquement, financièrement et juridiquement.