Téhéran - Saba :
L'agence de presse Reuters a affirmé hier merecredi que l'Iran avait mené des préparatifs dans le Golfe pour fermer le détroit d'Ormuz, dans le cadre d'une guerre avec l'entité sioniste.
L'agence de presse iranienne Mehr a rapporté que deux responsables américains, interrogés par Reuters, ont affirmé que « l'armée iranienne avait chargé des mines marines sur des navires dans le Golfe le mois dernier », une initiative qui a renforcé les inquiétudes de Washington quant aux préparatifs de Téhéran pour fermer le détroit d'Ormuz suite à l'agression terroriste israélienne contre l'Iran.
Les deux responsables ont indiqué que « ces préparatifs, jusqu'alors non signalés et découverts par les services de renseignement américains (selon eux), ont eu lieu peu après le lancement par l'entité sioniste de sa première attaque de missiles contre l'Iran le 13 juin ».
Reuters a affirmé, citant des responsables américains, que « nous n'excluons pas la possibilité que les mines soient un stratagème de l'Iran pour nous convaincre de sa volonté de fermer le détroit ».
Le 13 juin, l'entité sioniste, avec le soutien des États-Unis, a lancé une agression flagrante contre l'Iran qui a duré 12 jours, incluant des attaques contre des sites militaires et nucléaires, des installations civiles, et l'assassinat de dirigeants militaires, de scientifiques nucléaires et de civils. L'Iran a riposté en ciblant le quartier général de l'armée et des services de renseignement israéliens avec des missiles balistiques et des drones.
Le détroit d'Ormuz est la seule entrée maritime du Golfe, séparant l'Iran d'un côté du Sultanat d'Oman et des Émirats arabes unis de l'autre. Il relie le Golfe au golfe d'Oman et à la mer d'Arabie dans l'océan Indien.
Selon l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA), environ 20 % du pétrole mondial transite par le détroit, que l'agence décrit comme « la voie de transit pétrolière la plus importante au monde ». À son point le plus étroit, il mesure 33 kilomètres (21 miles) de large, mais les voies de navigation sont encore plus étroites, ce qui le rend vulnérable aux attaques et aux menaces de fermeture.
L'agence de presse Reuters a affirmé hier merecredi que l'Iran avait mené des préparatifs dans le Golfe pour fermer le détroit d'Ormuz, dans le cadre d'une guerre avec l'entité sioniste.
L'agence de presse iranienne Mehr a rapporté que deux responsables américains, interrogés par Reuters, ont affirmé que « l'armée iranienne avait chargé des mines marines sur des navires dans le Golfe le mois dernier », une initiative qui a renforcé les inquiétudes de Washington quant aux préparatifs de Téhéran pour fermer le détroit d'Ormuz suite à l'agression terroriste israélienne contre l'Iran.
Les deux responsables ont indiqué que « ces préparatifs, jusqu'alors non signalés et découverts par les services de renseignement américains (selon eux), ont eu lieu peu après le lancement par l'entité sioniste de sa première attaque de missiles contre l'Iran le 13 juin ».
Reuters a affirmé, citant des responsables américains, que « nous n'excluons pas la possibilité que les mines soient un stratagème de l'Iran pour nous convaincre de sa volonté de fermer le détroit ».
Le 13 juin, l'entité sioniste, avec le soutien des États-Unis, a lancé une agression flagrante contre l'Iran qui a duré 12 jours, incluant des attaques contre des sites militaires et nucléaires, des installations civiles, et l'assassinat de dirigeants militaires, de scientifiques nucléaires et de civils. L'Iran a riposté en ciblant le quartier général de l'armée et des services de renseignement israéliens avec des missiles balistiques et des drones.
Le détroit d'Ormuz est la seule entrée maritime du Golfe, séparant l'Iran d'un côté du Sultanat d'Oman et des Émirats arabes unis de l'autre. Il relie le Golfe au golfe d'Oman et à la mer d'Arabie dans l'océan Indien.
Selon l'Agence américaine d'information sur l'énergie (EIA), environ 20 % du pétrole mondial transite par le détroit, que l'agence décrit comme « la voie de transit pétrolière la plus importante au monde ». À son point le plus étroit, il mesure 33 kilomètres (21 miles) de large, mais les voies de navigation sont encore plus étroites, ce qui le rend vulnérable aux attaques et aux menaces de fermeture.