
Téhéran – Saba :
Le chef d'état-major des forces armées iraniennes, le général de division Abdolrahim Mousavi, a mis en garde dimanche contre la fragilité du cessez-le-feu et de la cessation de l'agression contre son pays, soulignant son manque de confiance dans le respect des engagements de l'ennemi.
Le général de division Mousavi a déclaré lors d'un entretien téléphonique avec le ministre saoudien de la Défense, Khalid ben Salmane, que l'attaque lancée par l'entité sioniste et les États-Unis sur le territoire iranien est intervenue malgré la retenue iranienne et alors que des négociations indirectes avec Washington étaient en cours, selon les médias iraniens.
Mousavi a expliqué que « ces deux régimes ont une fois de plus prouvé leur manque d'engagement envers toute règle ou norme internationale, comme l'a clairement démontré au monde entier la guerre imposée pendant 12 jours.»
Il a ajouté : « Nous n'avons pas déclenché la guerre, mais nous avons répondu à l'agression de toutes nos forces. Compte tenu de nos doutes profonds quant au respect par l'ennemi de ses engagements, notamment l'accord de cessez-le-feu, nous sommes prêts à réagir avec fermeté en cas de nouvelle agression. »
Le chef d'état-major des forces armées iraniennes, le général de division Abdolrahim Mousavi, a mis en garde dimanche contre la fragilité du cessez-le-feu et de la cessation de l'agression contre son pays, soulignant son manque de confiance dans le respect des engagements de l'ennemi.
Le général de division Mousavi a déclaré lors d'un entretien téléphonique avec le ministre saoudien de la Défense, Khalid ben Salmane, que l'attaque lancée par l'entité sioniste et les États-Unis sur le territoire iranien est intervenue malgré la retenue iranienne et alors que des négociations indirectes avec Washington étaient en cours, selon les médias iraniens.
Mousavi a expliqué que « ces deux régimes ont une fois de plus prouvé leur manque d'engagement envers toute règle ou norme internationale, comme l'a clairement démontré au monde entier la guerre imposée pendant 12 jours.»
Il a ajouté : « Nous n'avons pas déclenché la guerre, mais nous avons répondu à l'agression de toutes nos forces. Compte tenu de nos doutes profonds quant au respect par l'ennemi de ses engagements, notamment l'accord de cessez-le-feu, nous sommes prêts à réagir avec fermeté en cas de nouvelle agression. »