Al-Qods occupée - Saba :
La police israélienne a arrêté au moins quatre manifestants jeudi soir lors d'une manifestation organisée rue Begin à Jaffa (Tel-Aviv), réclamant un accord pour la libération des prisonniers israéliens à Gaza et la fin de la guerre en cours.
Selon les médias israéliens, trois manifestants ont été conduits au commissariat de police de Lev Tel-Aviv, tandis qu'un quatrième a été transféré vers un autre commissariat après avoir été interpellé dans un véhicule de police.
Haaretz a rapporté que les arrestations ont eu lieu après que des manifestants ont bloqué la circulation sur la rue Namir, l'une des artères principales menant à la rue Begin dans le centre-ville.
La manifestation faisait suite à une marche partie de la place Rabin et se dirigeant vers les environs du quartier général de l'armée (la Kiryah). La marche était menée par un groupe de mères de soldats israéliens, qui exigeaient la fin de la guerre à Gaza et le retour des prisonniers. Le chef de l'opposition israélienne, Yaïr Lapid, a déclaré qu'il était temps de mettre fin à la guerre à Gaza et que les dirigeants devaient savoir comment changer de stratégie en cas d'échec.
Lapid a ajouté dans un message sur la plateforme X que Tel-Aviv avait échoué dans la bande de Gaza et que la guerre était dans l'impasse, appelant à la fin de la guerre afin de récupérer les prisonniers.
Il a ajouté : « Ce que nous faisons actuellement ne fonctionne pas. La guerre est dans l'impasse. »
Il a poursuivi : « Il est temps de mettre fin à la guerre à Gaza. Les dirigeants doivent savoir quand changer de stratégie lorsqu'elle ne fonctionne plus. »
Il a ajouté : « Il est inacceptable de laisser les combattants de Tsahal à Gaza devenir la cible de nouvelles attaques. »
Il a insisté : « Il est inacceptable de laisser les combattants de Tsahal à Gaza devenir la cible de nouvelles attaques. »
L’opposition israélienne et les familles des prisonniers affirment que Netanyahou poursuit la guerre en réponse à la faction la plus extrême droite de son gouvernement, pour atteindre ses intérêts politiques personnels, en particulier son maintien au pouvoir.
La police israélienne a arrêté au moins quatre manifestants jeudi soir lors d'une manifestation organisée rue Begin à Jaffa (Tel-Aviv), réclamant un accord pour la libération des prisonniers israéliens à Gaza et la fin de la guerre en cours.
Selon les médias israéliens, trois manifestants ont été conduits au commissariat de police de Lev Tel-Aviv, tandis qu'un quatrième a été transféré vers un autre commissariat après avoir été interpellé dans un véhicule de police.
Haaretz a rapporté que les arrestations ont eu lieu après que des manifestants ont bloqué la circulation sur la rue Namir, l'une des artères principales menant à la rue Begin dans le centre-ville.
La manifestation faisait suite à une marche partie de la place Rabin et se dirigeant vers les environs du quartier général de l'armée (la Kiryah). La marche était menée par un groupe de mères de soldats israéliens, qui exigeaient la fin de la guerre à Gaza et le retour des prisonniers. Le chef de l'opposition israélienne, Yaïr Lapid, a déclaré qu'il était temps de mettre fin à la guerre à Gaza et que les dirigeants devaient savoir comment changer de stratégie en cas d'échec.
Lapid a ajouté dans un message sur la plateforme X que Tel-Aviv avait échoué dans la bande de Gaza et que la guerre était dans l'impasse, appelant à la fin de la guerre afin de récupérer les prisonniers.
Il a ajouté : « Ce que nous faisons actuellement ne fonctionne pas. La guerre est dans l'impasse. »
Il a poursuivi : « Il est temps de mettre fin à la guerre à Gaza. Les dirigeants doivent savoir quand changer de stratégie lorsqu'elle ne fonctionne plus. »
Il a ajouté : « Il est inacceptable de laisser les combattants de Tsahal à Gaza devenir la cible de nouvelles attaques. »
Il a insisté : « Il est inacceptable de laisser les combattants de Tsahal à Gaza devenir la cible de nouvelles attaques. »
L’opposition israélienne et les familles des prisonniers affirment que Netanyahou poursuit la guerre en réponse à la faction la plus extrême droite de son gouvernement, pour atteindre ses intérêts politiques personnels, en particulier son maintien au pouvoir.