
Gaza - Saba :
L’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) a mis en garde hier contre la soif extrême qui menace de mort les Palestiniens de la bande de Gaza, suite à l’effondrement des systèmes d’approvisionnement en eau dû aux bombardements israéliens sur les infrastructures et à l’interdiction des importations de carburant depuis mars dernier.
L’agence onusienne a déclaré mercredi soir sur Facebook que les familles palestiniennes de Gaza « risquent de mourir de soif suite à l’effondrement des systèmes d’approvisionnement en eau ».
Elle a ajouté : « Seules 40 % des installations de production d’eau potable fonctionnent encore, et Gaza est au bord d’une sécheresse d’origine humaine.»
L'UNRWA a expliqué que sa capacité à fournir de l'eau avait diminué de moitié par rapport aux quantités fournies pendant la trêve, en raison des bombardements israéliens incessants, des ordres de déplacement forcé et de l'interdiction d'entrée de carburant dans la bande de Gaza par les autorités d'occupation depuis plus de 100 jours. À cet égard, elle a déclaré : « Les puits d'eau sont à court de carburant, ils sont situés dans des zones dangereuses et difficiles d'accès, les canalisations cassées gaspillent l'eau et les camions-citernes n'arrivent souvent pas.»
Elle a appelé à un cessez-le-feu immédiat à Gaza.
Le mois dernier, les municipalités de Gaza ont alerté sur la perturbation de leurs services due à l'épuisement du carburant nécessaire au fonctionnement de plusieurs installations, notamment les puits d'eau.
L’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) a mis en garde hier contre la soif extrême qui menace de mort les Palestiniens de la bande de Gaza, suite à l’effondrement des systèmes d’approvisionnement en eau dû aux bombardements israéliens sur les infrastructures et à l’interdiction des importations de carburant depuis mars dernier.
L’agence onusienne a déclaré mercredi soir sur Facebook que les familles palestiniennes de Gaza « risquent de mourir de soif suite à l’effondrement des systèmes d’approvisionnement en eau ».
Elle a ajouté : « Seules 40 % des installations de production d’eau potable fonctionnent encore, et Gaza est au bord d’une sécheresse d’origine humaine.»
L'UNRWA a expliqué que sa capacité à fournir de l'eau avait diminué de moitié par rapport aux quantités fournies pendant la trêve, en raison des bombardements israéliens incessants, des ordres de déplacement forcé et de l'interdiction d'entrée de carburant dans la bande de Gaza par les autorités d'occupation depuis plus de 100 jours. À cet égard, elle a déclaré : « Les puits d'eau sont à court de carburant, ils sont situés dans des zones dangereuses et difficiles d'accès, les canalisations cassées gaspillent l'eau et les camions-citernes n'arrivent souvent pas.»
Elle a appelé à un cessez-le-feu immédiat à Gaza.
Le mois dernier, les municipalités de Gaza ont alerté sur la perturbation de leurs services due à l'épuisement du carburant nécessaire au fonctionnement de plusieurs installations, notamment les puits d'eau.