
Khalil – Saba :
Les autorités israéliennes ont installé hier mercredi des alarmes incendie à l'intérieur de la mosquée Ibrahimi à Hébron, dans le sud de la Cisjordanie, profitant du bouclage sécuritaire. Les Waqfs d'Hébron ont qualifié cette mesure d'« ingérence illégale » dans sa juridiction.
L'Administration générale des Waqfs d'Hébron, affiliée au ministère palestinien des Waqfs, a déclaré mercredi dans un communiqué que « les autorités israéliennes ont installé des alarmes incendie dans toute la mosquée Ibrahimi, profitant du bouclage de 12 jours imposé sous prétexte de conditions de sécurité ».
Elle a considéré cette mesure comme « une violation flagrante et une ingérence illégale dans la juridiction du ministère des Waqfs et des Affaires religieuses, seul organe autorisé à administrer la mosquée », selon l'agence Anadolu. Le Waqf d'Hébron a souligné que cette mesure « fait suite à l'obstruction continue de l'ennemi israélien au projet de réseau d'incendie palestinien et à la récente fermeture et au verrouillage illégaux des armoires électriques ».
Le 11 juin, le ministère palestinien des Awqaf a signalé que les autorités israéliennes avaient verrouillé les panneaux électriques de la mosquée Ibrahimi, menaçant de couper l'alimentation des sources d'éclairage vitales du complexe.
L'administration du Waqf a appelé à une intervention urgente pour mettre fin à ces violations répétées contre la mosquée Ibrahimi, qui a rouvert ses portes plus tôt dans la journée après 12 jours de fermeture sous prétexte de « problèmes de sécurité ».
La mosquée Ibrahimi est située dans la vieille ville d'Hébron, au sud de la Cisjordanie, et est entièrement sous contrôle israélien. Environ 400 colons israéliens y vivent, gardés par environ 1 500 soldats israéliens.
En 1994, Israël a divisé la mosquée, la réservant à 63 % aux Juifs et à 37 % aux Musulmans, à la suite d'un massacre commis par un colon juif qui a entraîné la mort de 29 fidèles palestiniens. La salle d'appel à la prière se trouve dans la partie réservée aux Juifs.
Les autorités israéliennes ont installé hier mercredi des alarmes incendie à l'intérieur de la mosquée Ibrahimi à Hébron, dans le sud de la Cisjordanie, profitant du bouclage sécuritaire. Les Waqfs d'Hébron ont qualifié cette mesure d'« ingérence illégale » dans sa juridiction.
L'Administration générale des Waqfs d'Hébron, affiliée au ministère palestinien des Waqfs, a déclaré mercredi dans un communiqué que « les autorités israéliennes ont installé des alarmes incendie dans toute la mosquée Ibrahimi, profitant du bouclage de 12 jours imposé sous prétexte de conditions de sécurité ».
Elle a considéré cette mesure comme « une violation flagrante et une ingérence illégale dans la juridiction du ministère des Waqfs et des Affaires religieuses, seul organe autorisé à administrer la mosquée », selon l'agence Anadolu. Le Waqf d'Hébron a souligné que cette mesure « fait suite à l'obstruction continue de l'ennemi israélien au projet de réseau d'incendie palestinien et à la récente fermeture et au verrouillage illégaux des armoires électriques ».
Le 11 juin, le ministère palestinien des Awqaf a signalé que les autorités israéliennes avaient verrouillé les panneaux électriques de la mosquée Ibrahimi, menaçant de couper l'alimentation des sources d'éclairage vitales du complexe.
L'administration du Waqf a appelé à une intervention urgente pour mettre fin à ces violations répétées contre la mosquée Ibrahimi, qui a rouvert ses portes plus tôt dans la journée après 12 jours de fermeture sous prétexte de « problèmes de sécurité ».
La mosquée Ibrahimi est située dans la vieille ville d'Hébron, au sud de la Cisjordanie, et est entièrement sous contrôle israélien. Environ 400 colons israéliens y vivent, gardés par environ 1 500 soldats israéliens.
En 1994, Israël a divisé la mosquée, la réservant à 63 % aux Juifs et à 37 % aux Musulmans, à la suite d'un massacre commis par un colon juif qui a entraîné la mort de 29 fidèles palestiniens. La salle d'appel à la prière se trouve dans la partie réservée aux Juifs.