Téhéran – Saba :
Le chef d'état-major des forces armées iraniennes, le général de division Abdolrahim Mousavi, a déclaré lundi que le président américain Donald Trump avait décelé des signes de faiblesse et d'effondrement chez le Premier ministre de l'entité sioniste, le criminel de guerre recherché par la Cour pénale internationale, Benyamin Netanyahou, et avait décidé de lui donner une respiration artificielle suite à son agression contre l'Iran.
Dans une déclaration relayée par les médias iraniens, le général de division Mousavi a souligné que le châtiment infligé au criminel Netanyahou se poursuivrait avec force jusqu'à son incapacité totale.
Il a ajouté : « Nous prendrons des mesures proportionnées aux actions des États-Unis contre nous. Trump, en violation de toutes les lois internationales, a pénétré dans notre espace aérien et a attaqué trois points sur notre sol sacré, causant des dommages à certains sites.»
Il a poursuivi : « Quelle que soit l'ampleur des pertes, une simple violation de cette souveraineté ne restera pas sans réponse. Cette décision de Trump est le fruit de son désespoir et visait à sauver son agent dans la région, l'entité sioniste, et plus particulièrement le criminel Netanyahou. Il a décelé des signes de faiblesse et d'effondrement dans l'entité sioniste et a décidé, par cette action, de lui fournir une respiration artificielle. »
Le chef d'état-major des forces armées iraniennes a souligné : « C'était une grave erreur, et nous avons mis en garde à plusieurs reprises contre ses conséquences. Tout comme nous continuerons de punir Netanyahou jusqu'à ce qu'il atteigne un état d'impuissance, nous répondrons à cette agression américaine de manière proportionnée. »
Tôt dimanche, l'Iran a subi une attaque américaine brutale visant ses installations nucléaires de Fordou, Natanz et Ispahan. Cette attaque soutenait l'agression sioniste en cours contre le pays depuis le 13 juin, qui a tué des dizaines de civils, de dirigeants militaires et de scientifiques, et a ciblé des installations civiles, militaires et nucléaires.
Le chef d'état-major des forces armées iraniennes, le général de division Abdolrahim Mousavi, a déclaré lundi que le président américain Donald Trump avait décelé des signes de faiblesse et d'effondrement chez le Premier ministre de l'entité sioniste, le criminel de guerre recherché par la Cour pénale internationale, Benyamin Netanyahou, et avait décidé de lui donner une respiration artificielle suite à son agression contre l'Iran.
Dans une déclaration relayée par les médias iraniens, le général de division Mousavi a souligné que le châtiment infligé au criminel Netanyahou se poursuivrait avec force jusqu'à son incapacité totale.
Il a ajouté : « Nous prendrons des mesures proportionnées aux actions des États-Unis contre nous. Trump, en violation de toutes les lois internationales, a pénétré dans notre espace aérien et a attaqué trois points sur notre sol sacré, causant des dommages à certains sites.»
Il a poursuivi : « Quelle que soit l'ampleur des pertes, une simple violation de cette souveraineté ne restera pas sans réponse. Cette décision de Trump est le fruit de son désespoir et visait à sauver son agent dans la région, l'entité sioniste, et plus particulièrement le criminel Netanyahou. Il a décelé des signes de faiblesse et d'effondrement dans l'entité sioniste et a décidé, par cette action, de lui fournir une respiration artificielle. »
Le chef d'état-major des forces armées iraniennes a souligné : « C'était une grave erreur, et nous avons mis en garde à plusieurs reprises contre ses conséquences. Tout comme nous continuerons de punir Netanyahou jusqu'à ce qu'il atteigne un état d'impuissance, nous répondrons à cette agression américaine de manière proportionnée. »
Tôt dimanche, l'Iran a subi une attaque américaine brutale visant ses installations nucléaires de Fordou, Natanz et Ispahan. Cette attaque soutenait l'agression sioniste en cours contre le pays depuis le 13 juin, qui a tué des dizaines de civils, de dirigeants militaires et de scientifiques, et a ciblé des installations civiles, militaires et nucléaires.