
Sanaa - Saba :
Le vice-ministre de la Justice et des Droits de l'Homme, le juge Ibrahim al-Shami, a discuté hier lundi avec la présidente du Comité national des femmes, Dr Ghada Abu Talib, des mécanismes visant à améliorer les conditions de détention des femmes et à élaborer des lois.
L'entretien a porté sur les moyens de promouvoir les droits des femmes et de garantir leur dignité, notamment sur les plans juridique, des droits de l'Homme et judiciaire. Il a également été question des efforts déployés par les groupes de travail conjoints du ministère et du Comité pour étudier les questions relatives aux femmes et élaborer des solutions adaptées, notamment pour les femmes détenues et celles ayant purgé leur peine.
La réunion a également abordé les mécanismes de suivi des conditions de détention pour femmes, les moyens d'apporter un soutien judiciaire et juridique aux détenues, la facilitation des procédures et des traitements pour les détenues libérées afin d'assurer leur suivi, et la création d'un comité de réforme familiale pour aider les femmes à surmonter les difficultés sociales après leur libération.
Au cours de la réunion, le vice-ministre de la Justice et des Droits de l'Homme a souligné l'importance de la mise en œuvre de la législation relative aux questions féminines, en mettant l'accent sur l'amélioration des conditions de détention des femmes et des débitrices.
Il a souligné que les femmes yéménites jouissent de tous les droits garantis par la charia islamique, la Constitution yéménite et les lois pertinentes, soulignant la nécessité de renforcer l'application pratique des lois et règlements.
Le juge Al-Shami a passé en revue les efforts du ministère pour fournir une assistance juridique aux femmes, ainsi que les visites de terrain effectuées par la direction du ministère et le personnel de la Commission nationale des droits de l'Homme dans les prisons afin d'évaluer la situation humanitaire des femmes détenues.
Il a souligné que la direction du ministère étudierait les propositions soumises par le Comité national des femmes et soumettrait les recommandations nécessaires pour modifier les lois afin de répondre aux besoins des femmes, en mettant l'accent sur les dispositions spécifiques aux détenues.
Pour sa part, la présidente du Comité national des femmes a salué les efforts du ministère de la Justice et des Droits de l'Homme pour soutenir les questions relatives aux femmes et élaborer une législation garantissant leurs droits.
Elle a estimé que cette rencontre reflétait une réelle volonté de renforcer la coopération entre les deux parties afin de garantir la justice et l'égalité aux femmes yéménites, pilier fondamental de la construction de la société.
Au cours de la réunion, Ali Tayseer, chef du secteur des droits de l'Homme au ministère de la Justice et des Droits de l'Homme, Wafaa Farea, directrice du département juridique du Comité national des femmes, et la directrice de la planification de la Commission nationale des droits de l'Homme, ont souligné l'importance de sensibiliser aux droits des femmes, notamment en milieu rural, par le biais de programmes éducatifs fondés sur les enseignements de l'Islam.
Le vice-ministre de la Justice et des Droits de l'Homme, le juge Ibrahim al-Shami, a discuté hier lundi avec la présidente du Comité national des femmes, Dr Ghada Abu Talib, des mécanismes visant à améliorer les conditions de détention des femmes et à élaborer des lois.
L'entretien a porté sur les moyens de promouvoir les droits des femmes et de garantir leur dignité, notamment sur les plans juridique, des droits de l'Homme et judiciaire. Il a également été question des efforts déployés par les groupes de travail conjoints du ministère et du Comité pour étudier les questions relatives aux femmes et élaborer des solutions adaptées, notamment pour les femmes détenues et celles ayant purgé leur peine.
La réunion a également abordé les mécanismes de suivi des conditions de détention pour femmes, les moyens d'apporter un soutien judiciaire et juridique aux détenues, la facilitation des procédures et des traitements pour les détenues libérées afin d'assurer leur suivi, et la création d'un comité de réforme familiale pour aider les femmes à surmonter les difficultés sociales après leur libération.
Au cours de la réunion, le vice-ministre de la Justice et des Droits de l'Homme a souligné l'importance de la mise en œuvre de la législation relative aux questions féminines, en mettant l'accent sur l'amélioration des conditions de détention des femmes et des débitrices.
Il a souligné que les femmes yéménites jouissent de tous les droits garantis par la charia islamique, la Constitution yéménite et les lois pertinentes, soulignant la nécessité de renforcer l'application pratique des lois et règlements.
Le juge Al-Shami a passé en revue les efforts du ministère pour fournir une assistance juridique aux femmes, ainsi que les visites de terrain effectuées par la direction du ministère et le personnel de la Commission nationale des droits de l'Homme dans les prisons afin d'évaluer la situation humanitaire des femmes détenues.
Il a souligné que la direction du ministère étudierait les propositions soumises par le Comité national des femmes et soumettrait les recommandations nécessaires pour modifier les lois afin de répondre aux besoins des femmes, en mettant l'accent sur les dispositions spécifiques aux détenues.
Pour sa part, la présidente du Comité national des femmes a salué les efforts du ministère de la Justice et des Droits de l'Homme pour soutenir les questions relatives aux femmes et élaborer une législation garantissant leurs droits.
Elle a estimé que cette rencontre reflétait une réelle volonté de renforcer la coopération entre les deux parties afin de garantir la justice et l'égalité aux femmes yéménites, pilier fondamental de la construction de la société.
Au cours de la réunion, Ali Tayseer, chef du secteur des droits de l'Homme au ministère de la Justice et des Droits de l'Homme, Wafaa Farea, directrice du département juridique du Comité national des femmes, et la directrice de la planification de la Commission nationale des droits de l'Homme, ont souligné l'importance de sensibiliser aux droits des femmes, notamment en milieu rural, par le biais de programmes éducatifs fondés sur les enseignements de l'Islam.