
Moscou-Saba :
Le directeur du Fonds d’investissement direct russe, Kirill Dmitriev, a déclaré ce lundi que les États-Unis subiraient une forte hausse des prix de l’essence si l’Iran fermait le détroit d’Ormuz.
Dimanche, Dmitriev a écrit sur son compte X sur les réseaux sociaux, selon l’agence de presse Novosti, que « les prix du pétrole sont déterminés à l’échelle mondiale, et si le détroit d’Ormuz est fermé, les États-Unis ne seront pas à l’abri ».
Il a ajouté : « Personne n’est à l’abri d’un choc pétrolier mondial, et les prix de l’essence grimperont.»
L'Iran avait menacé de fermer le détroit d'Ormuz en représailles au bombardement américain de sites nucléaires iraniens, tôt dimanche 22 juin.
Esmail Kowsari, membre de la Commission de la sécurité nationale et de la politique étrangère du Parlement iranien, a déclaré que le Parlement iranien estimait que le détroit d'Ormuz devait être fermé, mais que la décision finale devait être approuvée par le Conseil de sécurité nationale iranien.
Le directeur du Fonds d’investissement direct russe, Kirill Dmitriev, a déclaré ce lundi que les États-Unis subiraient une forte hausse des prix de l’essence si l’Iran fermait le détroit d’Ormuz.
Dimanche, Dmitriev a écrit sur son compte X sur les réseaux sociaux, selon l’agence de presse Novosti, que « les prix du pétrole sont déterminés à l’échelle mondiale, et si le détroit d’Ormuz est fermé, les États-Unis ne seront pas à l’abri ».
Il a ajouté : « Personne n’est à l’abri d’un choc pétrolier mondial, et les prix de l’essence grimperont.»
L'Iran avait menacé de fermer le détroit d'Ormuz en représailles au bombardement américain de sites nucléaires iraniens, tôt dimanche 22 juin.
Esmail Kowsari, membre de la Commission de la sécurité nationale et de la politique étrangère du Parlement iranien, a déclaré que le Parlement iranien estimait que le détroit d'Ormuz devait être fermé, mais que la décision finale devait être approuvée par le Conseil de sécurité nationale iranien.