
Algérie - Saba :
Le député algérienne Moussa Kharfi a souligné hier dimanche que les frappes aériennes contre l’Iran, qu’elles soient directes, par l’intermédiaire d’intermédiaires ou coordonnées par les services de renseignement, représentent une escalade extrêmement dangereuse dans la région.
Dans une déclaration à Sputnik, il a déclaré que l’entité sioniste (‘Israël’) considère le projet nucléaire iranien comme une menace existentielle et agit avec le soutien direct ou implicite des États-Unis, sous le slogan d’une « frappe préventive ».
Il a souligné que laisser l’ennemi agir sans retenue ouvre la porte à de nombreux risques, notamment l’expansion du conflit dans la région et dans le monde.
Il a déclaré que l'action israélienne détruit ce qui reste du droit international, car elle a frappé un État souverain sans l'autorisation de l'ONU, faisant de la « force » le seul critère et sapant l'idée d'un ordre mondial fondé sur le droit.
Il a souligné qu'avec cette politique, Washington envoie des messages dangereux, notamment que le droit international est soumis aux intérêts, et non à la justice ; que les États-Unis d’Amérique sont prêts à saper les institutions de l'ONU si elles entrent en conflit avec leur stratégie ; et que l'ordre mondial unipolaire demeure, même s'il est fracturé. Washington ne tolérera pas un système alternatif dirigé par la Chine et la Russie. Il a conclu en déclarant : « Laisser l'ennemi mettre en œuvre sa stratégie sans contrôle pourrait conduire à la désintégration progressive du système de sécurité collective et transformer le Moyen-Orient en un champ de bataille permanent. »
Le député algérienne Moussa Kharfi a souligné hier dimanche que les frappes aériennes contre l’Iran, qu’elles soient directes, par l’intermédiaire d’intermédiaires ou coordonnées par les services de renseignement, représentent une escalade extrêmement dangereuse dans la région.
Dans une déclaration à Sputnik, il a déclaré que l’entité sioniste (‘Israël’) considère le projet nucléaire iranien comme une menace existentielle et agit avec le soutien direct ou implicite des États-Unis, sous le slogan d’une « frappe préventive ».
Il a souligné que laisser l’ennemi agir sans retenue ouvre la porte à de nombreux risques, notamment l’expansion du conflit dans la région et dans le monde.
Il a déclaré que l'action israélienne détruit ce qui reste du droit international, car elle a frappé un État souverain sans l'autorisation de l'ONU, faisant de la « force » le seul critère et sapant l'idée d'un ordre mondial fondé sur le droit.
Il a souligné qu'avec cette politique, Washington envoie des messages dangereux, notamment que le droit international est soumis aux intérêts, et non à la justice ; que les États-Unis d’Amérique sont prêts à saper les institutions de l'ONU si elles entrent en conflit avec leur stratégie ; et que l'ordre mondial unipolaire demeure, même s'il est fracturé. Washington ne tolérera pas un système alternatif dirigé par la Chine et la Russie. Il a conclu en déclarant : « Laisser l'ennemi mettre en œuvre sa stratégie sans contrôle pourrait conduire à la désintégration progressive du système de sécurité collective et transformer le Moyen-Orient en un champ de bataille permanent. »