Washington-Saba :
Des médias américains ont rapporté hier dimanche que l’administration du président Donald Trump se préparait à une riposte iranienne et que les prochaines 48 heures étaient particulièrement préoccupantes.
Citant des responsables américains anonymes, NBC a déclaré : « L’administration Trump se prépare à une éventuelle contre-réaction iranienne et les prochaines 48 heures sont particulièrement préoccupantes.»
Les responsables ont déclaré à la chaîne qu’il n’était pas encore clair si les ripostes iraniennes cibleraient des installations extérieures ou intérieures.
Le Parlement iranien avait précédemment déclaré que Téhéran avait anticipé une attaque contre la centrale nucléaire de Fordow et l’avait évacuée, et que celle-ci n’avait pas subi de dommages irréparables. L’Organisation iranienne de l’énergie atomique a également confirmé que Téhéran n’avait pas l’intention d’interrompre le développement de son programme nucléaire après les frappes.
De leur côté, les membres du Congrès américain ont critiqué les frappes. Le représentant républicain Thomas Massie a qualifié l'attaque d'inconstitutionnelle, tandis que la représentante démocrate Alexandria Ocasio-Cortez de New York a estimé qu'elle justifiait une procédure de destitution contre le président.
Les médias américains ont rapporté hier que les États-Unis ont utilisé une trentaine de missiles Tomahawk pour frapper des sites nucléaires iraniens la nuit dernière, lancés depuis des sous-marins.
Fox News a rapporté dimanche, sans révéler la source de l'information, que les cibles de ces frappes étaient des infrastructures nucléaires situées dans les villes de Natanz et d'Ispahan.
Samedi soir, les États-Unis ont lancé une agression flagrante contre l'Iran, ciblant trois installations nucléaires iraniennes à Natanz, Fordow et Ispahan. Le président américain Donald Trump a déclaré que l'objectif de ces frappes était de limiter les capacités nucléaires de l'Iran, soulignant que Téhéran devait accepter de « mettre fin à cette guerre », sous peine de voir l'Iran subir des conséquences plus graves.
L'attaque américaine a suscité des réactions négatives à l'échelle internationale, le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, la qualifiant de « dangereuse escalade dans la région et de menace directe pour la paix et la sécurité internationales ».
Le ministre cubain des Affaires étrangères, Bruno Rodríguez Parrilla, a également condamné l'agression américaine contre l'Iran, la qualifiant d'« acte criminel irresponsable qui viole le droit international et a des conséquences imprévues ».
En revanche, le député républicain Thomas Massie a critiqué les frappes américaines, arguant qu'elles violent la Constitution, tandis que la représentante démocrate de New York, Alexandria Ocasio-Cortez, a qualifié l'incident de « justification à une procédure de destitution ».
Des médias américains ont rapporté hier dimanche que l’administration du président Donald Trump se préparait à une riposte iranienne et que les prochaines 48 heures étaient particulièrement préoccupantes.
Citant des responsables américains anonymes, NBC a déclaré : « L’administration Trump se prépare à une éventuelle contre-réaction iranienne et les prochaines 48 heures sont particulièrement préoccupantes.»
Les responsables ont déclaré à la chaîne qu’il n’était pas encore clair si les ripostes iraniennes cibleraient des installations extérieures ou intérieures.
Le Parlement iranien avait précédemment déclaré que Téhéran avait anticipé une attaque contre la centrale nucléaire de Fordow et l’avait évacuée, et que celle-ci n’avait pas subi de dommages irréparables. L’Organisation iranienne de l’énergie atomique a également confirmé que Téhéran n’avait pas l’intention d’interrompre le développement de son programme nucléaire après les frappes.
De leur côté, les membres du Congrès américain ont critiqué les frappes. Le représentant républicain Thomas Massie a qualifié l'attaque d'inconstitutionnelle, tandis que la représentante démocrate Alexandria Ocasio-Cortez de New York a estimé qu'elle justifiait une procédure de destitution contre le président.
Les médias américains ont rapporté hier que les États-Unis ont utilisé une trentaine de missiles Tomahawk pour frapper des sites nucléaires iraniens la nuit dernière, lancés depuis des sous-marins.
Fox News a rapporté dimanche, sans révéler la source de l'information, que les cibles de ces frappes étaient des infrastructures nucléaires situées dans les villes de Natanz et d'Ispahan.
Samedi soir, les États-Unis ont lancé une agression flagrante contre l'Iran, ciblant trois installations nucléaires iraniennes à Natanz, Fordow et Ispahan. Le président américain Donald Trump a déclaré que l'objectif de ces frappes était de limiter les capacités nucléaires de l'Iran, soulignant que Téhéran devait accepter de « mettre fin à cette guerre », sous peine de voir l'Iran subir des conséquences plus graves.
L'attaque américaine a suscité des réactions négatives à l'échelle internationale, le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, la qualifiant de « dangereuse escalade dans la région et de menace directe pour la paix et la sécurité internationales ».
Le ministre cubain des Affaires étrangères, Bruno Rodríguez Parrilla, a également condamné l'agression américaine contre l'Iran, la qualifiant d'« acte criminel irresponsable qui viole le droit international et a des conséquences imprévues ».
En revanche, le député républicain Thomas Massie a critiqué les frappes américaines, arguant qu'elles violent la Constitution, tandis que la représentante démocrate de New York, Alexandria Ocasio-Cortez, a qualifié l'incident de « justification à une procédure de destitution ».