
Ramallah - Saba :
L'Autorité palestinienne des affaires des prisonniers a mis en garde hier, jeudi, contre le danger de continuer à empêcher les avocats de rendre visite aux détenus par les autorités sionistes.
Selon l'agence de presse palestinienne WAFA, cette interdiction réduit les chances de connaître leur état de santé compte tenu de la propagation des maladies et des épidémies, ainsi que des mesures répressives auxquelles ils sont soumis.
L'Autorité a annoncé lundi dernier que l'administration pénitentiaire sioniste avait décidé d'annuler les visites des avocats aux détenus jusqu'à nouvel ordre. Cette décision fait suite aux circonstances exceptionnelles que vivent les détenus depuis le début du génocide, qui accentuent leur isolement et accroissent leur anxiété et les risques pour leur sort.
Cette mesure s'inscrit dans le prolongement de la politique d'isolement total pratiquée contre les détenus depuis le début du génocide. Les familles sont privées de visites, la Croix-Rouge internationale est également exclue, et les détenus sont dépouillés de tous leurs biens, qui leur auraient permis de suivre les événements à l'extérieur des prisons. Cela les contraint à vivre dans l'isolement le plus dur et le plus intense depuis des années.
L'Autorité palestinienne des affaires des prisonniers a mis en garde hier, jeudi, contre le danger de continuer à empêcher les avocats de rendre visite aux détenus par les autorités sionistes.
Selon l'agence de presse palestinienne WAFA, cette interdiction réduit les chances de connaître leur état de santé compte tenu de la propagation des maladies et des épidémies, ainsi que des mesures répressives auxquelles ils sont soumis.
L'Autorité a annoncé lundi dernier que l'administration pénitentiaire sioniste avait décidé d'annuler les visites des avocats aux détenus jusqu'à nouvel ordre. Cette décision fait suite aux circonstances exceptionnelles que vivent les détenus depuis le début du génocide, qui accentuent leur isolement et accroissent leur anxiété et les risques pour leur sort.
Cette mesure s'inscrit dans le prolongement de la politique d'isolement total pratiquée contre les détenus depuis le début du génocide. Les familles sont privées de visites, la Croix-Rouge internationale est également exclue, et les détenus sont dépouillés de tous leurs biens, qui leur auraient permis de suivre les événements à l'extérieur des prisons. Cela les contraint à vivre dans l'isolement le plus dur et le plus intense depuis des années.