Téhéran – Saba :
L’ambassadeur et représentant permanent d’Iran auprès des Nations Unies, Amir Saeed Iravani, a affirmé mardi que la République islamique n’hésiterait pas un instant à défendre sa souveraineté, son intégrité territoriale et son peuple.
Lors d’une session du Conseil de sécurité de l’ONU consacrée à la situation au Moyen-Orient, Iravani a mis en garde contre la poursuite des attaques israéliennes contre l’Iran, soulignant que l’Iran n’avait déclenché aucune guerre et que sa récente riposte était défensive, limitée et dissuasive, selon l’agence de presse Tasnim.
Il a qualifié la récente attaque de l’entité sioniste contre l’Iran de violation flagrante de la Charte des Nations Unies et des principes du droit international.
Il a ajouté : « Ces attaques terroristes répétées ont visé des infrastructures civiles et des installations nucléaires pacifiques sous la supervision de l’Agence internationale de l’énergie atomique, et si elles se poursuivent, elles pourraient avoir des conséquences catastrophiques.»
Il a expliqué que l’Iran, conformément à l’article 51 de la Charte des Nations Unies, a exercé son droit naturel à la légitime défense.
Il a poursuivi : « La réponse de la République islamique d’Iran a été purement défensive, limitée et proportionnée, et n’a visé que des objectifs militaires et économiques liés à l’agression.»
Iravani a souligné que l’Iran n’a pas déclenché la guerre, mais que c’est l’entité sioniste qui a lancé ce processus avec le feu vert des États-Unis.
Il a ajouté : « La revendication israélienne de défense préventive est dénuée de fondement juridique, et si cette rhétorique se normalise, elle portera atteinte à l’un des principes fondamentaux de la Charte des Nations Unies, à savoir l’interdiction du recours à la force.»
Il a critiqué la dualité des politiques de certains pays occidentaux, comme les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, déclarant : « Les expériences amères à Gaza, au Liban, en Syrie et au Yémen ont prouvé une fois de plus que le Conseil de sécurité a failli à ses devoirs les plus fondamentaux et s’est montré incapable de contenir l’agresseur.»
Iravani a averti : « Si le Conseil de sécurité ne prend pas de mesures décisives, la République islamique d’Iran continuera résolument à défendre son peuple et son territoire. C’est non seulement notre droit, mais aussi notre responsabilité. »
L’ambassadeur et représentant permanent d’Iran auprès des Nations Unies, Amir Saeed Iravani, a affirmé mardi que la République islamique n’hésiterait pas un instant à défendre sa souveraineté, son intégrité territoriale et son peuple.
Lors d’une session du Conseil de sécurité de l’ONU consacrée à la situation au Moyen-Orient, Iravani a mis en garde contre la poursuite des attaques israéliennes contre l’Iran, soulignant que l’Iran n’avait déclenché aucune guerre et que sa récente riposte était défensive, limitée et dissuasive, selon l’agence de presse Tasnim.
Il a qualifié la récente attaque de l’entité sioniste contre l’Iran de violation flagrante de la Charte des Nations Unies et des principes du droit international.
Il a ajouté : « Ces attaques terroristes répétées ont visé des infrastructures civiles et des installations nucléaires pacifiques sous la supervision de l’Agence internationale de l’énergie atomique, et si elles se poursuivent, elles pourraient avoir des conséquences catastrophiques.»
Il a expliqué que l’Iran, conformément à l’article 51 de la Charte des Nations Unies, a exercé son droit naturel à la légitime défense.
Il a poursuivi : « La réponse de la République islamique d’Iran a été purement défensive, limitée et proportionnée, et n’a visé que des objectifs militaires et économiques liés à l’agression.»
Iravani a souligné que l’Iran n’a pas déclenché la guerre, mais que c’est l’entité sioniste qui a lancé ce processus avec le feu vert des États-Unis.
Il a ajouté : « La revendication israélienne de défense préventive est dénuée de fondement juridique, et si cette rhétorique se normalise, elle portera atteinte à l’un des principes fondamentaux de la Charte des Nations Unies, à savoir l’interdiction du recours à la force.»
Il a critiqué la dualité des politiques de certains pays occidentaux, comme les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, déclarant : « Les expériences amères à Gaza, au Liban, en Syrie et au Yémen ont prouvé une fois de plus que le Conseil de sécurité a failli à ses devoirs les plus fondamentaux et s’est montré incapable de contenir l’agresseur.»
Iravani a averti : « Si le Conseil de sécurité ne prend pas de mesures décisives, la République islamique d’Iran continuera résolument à défendre son peuple et son territoire. C’est non seulement notre droit, mais aussi notre responsabilité. »