Genève - Saba :
Le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies se réunit aujourd'hui, lundi, à Genève, dans un contexte d'escalade des crises mondiales.
Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Volker Türk, prendra la parole au début de la réunion au siège de l'ONU, dans la ville suisse, et présentera son rapport annuel.
Il devrait réitérer son appel aux gouvernements pour qu'ils intensifient leurs efforts de protection et de promotion des droits de l'homme.
Son bureau, comme de nombreux organismes des Nations Unies, est confronté à une grave pénurie de fonds, plusieurs États membres réorientant leurs priorités budgétaires des institutions internationales vers les dépenses militaires.
Le Conseil examinera une centaine de rapports d'experts indépendants enquêtant sur des situations de crise dans le monde, notamment en Afghanistan, en République démocratique du Congo, au Myanmar, au Soudan et en Palestine. Cette session se poursuivra jusqu'au 9 juillet.
Si le Conseil peut créer des commissions d'enquête, il n'a pas le pouvoir d'imposer des sanctions.
Tous les États membres de l'ONU sont autorisés à participer aux discussions du Conseil en tant qu'observateurs. Cependant, seuls 47 pays, élus par l'Assemblée générale des Nations Unies pour des mandats échelonnés de trois ans, disposent du droit de vote.
Le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies se réunit aujourd'hui, lundi, à Genève, dans un contexte d'escalade des crises mondiales.
Le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, Volker Türk, prendra la parole au début de la réunion au siège de l'ONU, dans la ville suisse, et présentera son rapport annuel.
Il devrait réitérer son appel aux gouvernements pour qu'ils intensifient leurs efforts de protection et de promotion des droits de l'homme.
Son bureau, comme de nombreux organismes des Nations Unies, est confronté à une grave pénurie de fonds, plusieurs États membres réorientant leurs priorités budgétaires des institutions internationales vers les dépenses militaires.
Le Conseil examinera une centaine de rapports d'experts indépendants enquêtant sur des situations de crise dans le monde, notamment en Afghanistan, en République démocratique du Congo, au Myanmar, au Soudan et en Palestine. Cette session se poursuivra jusqu'au 9 juillet.
Si le Conseil peut créer des commissions d'enquête, il n'a pas le pouvoir d'imposer des sanctions.
Tous les États membres de l'ONU sont autorisés à participer aux discussions du Conseil en tant qu'observateurs. Cependant, seuls 47 pays, élus par l'Assemblée générale des Nations Unies pour des mandats échelonnés de trois ans, disposent du droit de vote.