Londres – Saba :
Un groupe d'étudiants, de professeurs et d'anciens élèves de la prestigieuse université britannique d'Oxford a exigé mardi l'abandon des poursuites disciplinaires contre 13 étudiants manifestants arrêtés lors d'un sit-in dans les bureaux du vice-chancelier de l'université il y a plus d'un an, au début de l'agression israélienne contre la bande de Gaza.
Dans un communiqué, le Mouvement d'Oxford pour la Palestine a qualifié la procédure disciplinaire contre les militants de « longue et vague », soulignant qu'elle se poursuit depuis plus de dix mois après l'abandon de l'enquête policière.
Il a ajouté que ces poursuites reposent sur « de fausses accusations avérées de comportement violent et menaçant contre les manifestants, malgré l'existence d'images de caméras de surveillance prouvant le contraire ».
Le mouvement a également souligné que l'arrestation des militants avait été marquée par « des niveaux de violence policière sans précédent ».
Il a ajouté que certains membres du personnel universitaire avaient tenu un « langage raciste et anti-palestinien », suggérant que le keffieh, symbole de la libération palestinienne, était assimilé au terrorisme.
Le 23 mai 2024, la police britannique a affronté des étudiants qui avaient organisé un sit-in dans le bâtiment administratif de l'université d'Oxford.
Des membres du Mouvement d'Oxford pour la Palestine étaient entrés dans le bâtiment administratif de l'université avec l'intention d'organiser un sit-in pour faire pression sur l'administration afin qu'elle « engage un dialogue avec le vice-chancelier de l'université » au sujet des investissements de l'université dans des entreprises liées à l'ennemi sioniste.
Après un siège qui a duré environ deux heures, la police a évacué le bâtiment et arrêté 16 étudiants, selon l'annonce de l'administration de l'université à l'époque.
Un groupe d'étudiants, de professeurs et d'anciens élèves de la prestigieuse université britannique d'Oxford a exigé mardi l'abandon des poursuites disciplinaires contre 13 étudiants manifestants arrêtés lors d'un sit-in dans les bureaux du vice-chancelier de l'université il y a plus d'un an, au début de l'agression israélienne contre la bande de Gaza.
Dans un communiqué, le Mouvement d'Oxford pour la Palestine a qualifié la procédure disciplinaire contre les militants de « longue et vague », soulignant qu'elle se poursuit depuis plus de dix mois après l'abandon de l'enquête policière.
Il a ajouté que ces poursuites reposent sur « de fausses accusations avérées de comportement violent et menaçant contre les manifestants, malgré l'existence d'images de caméras de surveillance prouvant le contraire ».
Le mouvement a également souligné que l'arrestation des militants avait été marquée par « des niveaux de violence policière sans précédent ».
Il a ajouté que certains membres du personnel universitaire avaient tenu un « langage raciste et anti-palestinien », suggérant que le keffieh, symbole de la libération palestinienne, était assimilé au terrorisme.
Le 23 mai 2024, la police britannique a affronté des étudiants qui avaient organisé un sit-in dans le bâtiment administratif de l'université d'Oxford.
Des membres du Mouvement d'Oxford pour la Palestine étaient entrés dans le bâtiment administratif de l'université avec l'intention d'organiser un sit-in pour faire pression sur l'administration afin qu'elle « engage un dialogue avec le vice-chancelier de l'université » au sujet des investissements de l'université dans des entreprises liées à l'ennemi sioniste.
Après un siège qui a duré environ deux heures, la police a évacué le bâtiment et arrêté 16 étudiants, selon l'annonce de l'administration de l'université à l'époque.