
Paris-Saba :
La ville de Nice, dans le sud-est de la France, accueille aujourd'hui, dimanche, la troisième Conférence des Nations Unies sur les océans, en présence des dirigeants mondiaux. Le président français Emmanuel Macron entend en faire un sommet de mobilisation.
Selon l'Agence France-Presse, une cinquantaine de chefs d'État et de gouvernement, dont le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, se réuniront dimanche dans cette ville du sud-est, au bord de la Méditerranée. Un défilé naval aura lieu dans le cadre des célébrations de la Journée mondiale des océans, avant l'ouverture de la conférence demain, lundi.
Les discussions, qui se poursuivront jusqu'au 13 juin, porteront sur l'exploitation minière des fonds marins, le traité international sur la pollution plastique et la réglementation de la surpêche.
Boycott américain
Macron a déclaré à Ouest France que ce sommet visait à « mobiliser les efforts à un moment où les enjeux climatiques sont remis en question par certains », regrettant la non-participation des États-Unis.
Il semblerait que les États-Unis, qui possèdent le plus grand domaine maritime au monde, n'enverront pas de délégation, comme ils l'ont fait lors des négociations sur le climat.
Il convient de noter que fin avril dernier, le président américain Donald Trump a décidé unilatéralement d'ouvrir la voie à l'exploitation minière dans les eaux internationales de l'océan Pacifique, contournant ainsi l'Autorité internationale des fonds marins, un organisme intergouvernemental dont les États-Unis ne sont pas membres en raison de leur non-ratification de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer.
Dans le projet de déclaration finale, négocié depuis des mois, les pays ont reconnu que « les travaux n'avancent pas au rythme ni à l'échelle souhaités ».
La France s'est fixé des objectifs ambitieux pour cette première conférence des Nations Unies organisée sur son territoire depuis la COP21, organisée par Paris en 2015.
Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a déclaré que la France « cherche à rendre cette conférence aussi pertinente pour les océans que l'Accord de Paris l'était pour le climat il y a dix ans ».
La ville de Nice, dans le sud-est de la France, accueille aujourd'hui, dimanche, la troisième Conférence des Nations Unies sur les océans, en présence des dirigeants mondiaux. Le président français Emmanuel Macron entend en faire un sommet de mobilisation.
Selon l'Agence France-Presse, une cinquantaine de chefs d'État et de gouvernement, dont le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, se réuniront dimanche dans cette ville du sud-est, au bord de la Méditerranée. Un défilé naval aura lieu dans le cadre des célébrations de la Journée mondiale des océans, avant l'ouverture de la conférence demain, lundi.
Les discussions, qui se poursuivront jusqu'au 13 juin, porteront sur l'exploitation minière des fonds marins, le traité international sur la pollution plastique et la réglementation de la surpêche.
Boycott américain
Macron a déclaré à Ouest France que ce sommet visait à « mobiliser les efforts à un moment où les enjeux climatiques sont remis en question par certains », regrettant la non-participation des États-Unis.
Il semblerait que les États-Unis, qui possèdent le plus grand domaine maritime au monde, n'enverront pas de délégation, comme ils l'ont fait lors des négociations sur le climat.
Il convient de noter que fin avril dernier, le président américain Donald Trump a décidé unilatéralement d'ouvrir la voie à l'exploitation minière dans les eaux internationales de l'océan Pacifique, contournant ainsi l'Autorité internationale des fonds marins, un organisme intergouvernemental dont les États-Unis ne sont pas membres en raison de leur non-ratification de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer.
Dans le projet de déclaration finale, négocié depuis des mois, les pays ont reconnu que « les travaux n'avancent pas au rythme ni à l'échelle souhaités ».
La France s'est fixé des objectifs ambitieux pour cette première conférence des Nations Unies organisée sur son territoire depuis la COP21, organisée par Paris en 2015.
Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a déclaré que la France « cherche à rendre cette conférence aussi pertinente pour les océans que l'Accord de Paris l'était pour le climat il y a dix ans ».