
Gaza – Saba :
Le Bureau des médias du gouvernement de la bande de Gaza a condamné aujourd’hui vendredi avec la plus grande fermeté les massacres brutaux répétés dans les centres d'aide américains, le dernier en date étant celui commis aujourd'hui par les forces ennemies israéliennes dans un centre du gouvernorat de Rafah.
Dans un communiqué reçu par l'Agence de presse yéménite (Saba), le Bureau a tenu l'ennemi israélien et l'administration américaine pleinement responsables du crime consistant à utiliser la nourriture comme outil de massacre, sous le couvert de ce qu'ils qualifient d'« aide humanitaire ».
Le bureau a déclaré : « Lors d'un nouveau crime commis par les forces ennemies israéliennes le premier jour de l'Aïd al-Adha, ce vendredi, huit civils affamés ont été tués et 61 autres blessés par balles tirées par les forces d'occupation et une compagnie de sécurité américaine près d'un des centres de distribution d'aide « américano-israéliens » du gouvernorat de Rafah. Cela porte le bilan total de ces centres à ce jour à 110 martyrs, 583 blessés et neuf disparus, depuis leur mise en service le 27 mai 2025. »
Le bureau a estimé que « ces "centres" suspects, établis dans des zones rouges ouvertes et exposées, sous le contrôle de l'armée ennemie et de la compagnie de sécurité américaine, se sont transformés en pièges mortels dans lesquels les foules affamées sont attirées, puis les forces d'occupation et la compagnie de sécurité américaine ouvrent délibérément le feu sur elles. Il s'agit d'un crime à part entière au regard du droit international humanitaire, et plus particulièrement de la Convention de 1948 pour la prévention et la répression du crime de génocide. » Il a appelé les Nations Unies, le Conseil de sécurité et toutes les organisations internationales à adopter une position décisive et immédiate pour mettre fin à ces crimes, à ouvrir les points de passage officiels afin de permettre l'acheminement de l'aide humanitaire par l'intermédiaire d'agences neutres des Nations Unies, et à mettre un terme à ce modèle criminel pratiqué ouvertement par l'occupation et l'entreprise de sécurité américaine.
Il a appelé à la formation d'une commission d'enquête internationale indépendante pour documenter ces crimes et traduire leurs auteurs en justice internationale, tenant la communauté internationale responsable du silence suspect qui encourage de nouvelles effusions de sang.
Il a réitéré « notre rejet total des prétendues zones tampons ou couloirs humanitaires établis par l'occupation, et nous mettons en garde contre leur utilisation comme outils de rassemblement de civils dans des lieux de massacre exposés ».
Il a conclu sa déclaration en déclarant : « À l'occasion de l'Aïd, censé être un symbole de paix et de miséricorde, l'ennemi israélien et les Américains font mourir de faim des civils dans la bande de Gaza, sous le regard honteux du monde entier. Ce comportement systématique et criminel de l'occupation est une tache sur l'humanité et ne niera pas le droit de notre peuple à la vie, à la liberté et à la dignité. »
Le Bureau des médias du gouvernement de la bande de Gaza a condamné aujourd’hui vendredi avec la plus grande fermeté les massacres brutaux répétés dans les centres d'aide américains, le dernier en date étant celui commis aujourd'hui par les forces ennemies israéliennes dans un centre du gouvernorat de Rafah.
Dans un communiqué reçu par l'Agence de presse yéménite (Saba), le Bureau a tenu l'ennemi israélien et l'administration américaine pleinement responsables du crime consistant à utiliser la nourriture comme outil de massacre, sous le couvert de ce qu'ils qualifient d'« aide humanitaire ».
Le bureau a déclaré : « Lors d'un nouveau crime commis par les forces ennemies israéliennes le premier jour de l'Aïd al-Adha, ce vendredi, huit civils affamés ont été tués et 61 autres blessés par balles tirées par les forces d'occupation et une compagnie de sécurité américaine près d'un des centres de distribution d'aide « américano-israéliens » du gouvernorat de Rafah. Cela porte le bilan total de ces centres à ce jour à 110 martyrs, 583 blessés et neuf disparus, depuis leur mise en service le 27 mai 2025. »
Le bureau a estimé que « ces "centres" suspects, établis dans des zones rouges ouvertes et exposées, sous le contrôle de l'armée ennemie et de la compagnie de sécurité américaine, se sont transformés en pièges mortels dans lesquels les foules affamées sont attirées, puis les forces d'occupation et la compagnie de sécurité américaine ouvrent délibérément le feu sur elles. Il s'agit d'un crime à part entière au regard du droit international humanitaire, et plus particulièrement de la Convention de 1948 pour la prévention et la répression du crime de génocide. » Il a appelé les Nations Unies, le Conseil de sécurité et toutes les organisations internationales à adopter une position décisive et immédiate pour mettre fin à ces crimes, à ouvrir les points de passage officiels afin de permettre l'acheminement de l'aide humanitaire par l'intermédiaire d'agences neutres des Nations Unies, et à mettre un terme à ce modèle criminel pratiqué ouvertement par l'occupation et l'entreprise de sécurité américaine.
Il a appelé à la formation d'une commission d'enquête internationale indépendante pour documenter ces crimes et traduire leurs auteurs en justice internationale, tenant la communauté internationale responsable du silence suspect qui encourage de nouvelles effusions de sang.
Il a réitéré « notre rejet total des prétendues zones tampons ou couloirs humanitaires établis par l'occupation, et nous mettons en garde contre leur utilisation comme outils de rassemblement de civils dans des lieux de massacre exposés ».
Il a conclu sa déclaration en déclarant : « À l'occasion de l'Aïd, censé être un symbole de paix et de miséricorde, l'ennemi israélien et les Américains font mourir de faim des civils dans la bande de Gaza, sous le regard honteux du monde entier. Ce comportement systématique et criminel de l'occupation est une tache sur l'humanité et ne niera pas le droit de notre peuple à la vie, à la liberté et à la dignité. »