
Paris – Saba :
Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a déclaré vendredi que son pays était déterminé à reconnaître l'État de Palestine.
Ces propos ont été tenus lors de sa participation à une émission télévisée sur RTL, selon l'agence de presse officielle palestinienne.
Barrot a déclaré que la France et l'Arabie saoudite s'engageraient à lever les obstacles à la reconnaissance de l'État de Palestine lors de la Conférence des Nations Unies sur la Palestine, prévue à New York du 17 au 20 juin.
Le ministre des Affaires étrangères, dont le pays copréside la conférence avec l'Arabie saoudite, a souligné que cette reconnaissance de l'État de Palestine « ne sera pas symbolique ».
Il a expliqué que la France, en tant que membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, porte une « responsabilité particulière » concernant la question de la reconnaissance de l'État de Palestine.
Il a poursuivi : « Si nous reconnaissons l’État de Palestine, cela changera certaines choses et rendra l’existence d’un État palestinien plus crédible. »
Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a déclaré vendredi que son pays était déterminé à reconnaître l'État de Palestine.
Ces propos ont été tenus lors de sa participation à une émission télévisée sur RTL, selon l'agence de presse officielle palestinienne.
Barrot a déclaré que la France et l'Arabie saoudite s'engageraient à lever les obstacles à la reconnaissance de l'État de Palestine lors de la Conférence des Nations Unies sur la Palestine, prévue à New York du 17 au 20 juin.
Le ministre des Affaires étrangères, dont le pays copréside la conférence avec l'Arabie saoudite, a souligné que cette reconnaissance de l'État de Palestine « ne sera pas symbolique ».
Il a expliqué que la France, en tant que membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, porte une « responsabilité particulière » concernant la question de la reconnaissance de l'État de Palestine.
Il a poursuivi : « Si nous reconnaissons l’État de Palestine, cela changera certaines choses et rendra l’existence d’un État palestinien plus crédible. »