Al-Qods occupée - Saba :
Ryanair, la compagnie aérienne irlandaise, première compagnie low-cost d'Europe, a reporté le lundi son retour en Palestine occupée à juillet. Le journal israélien Maariv a rapporté que ce retour n'aurait pas lieu avant la fin de l'année, notamment après les déclarations critiques de son PDG.
Selon le journal hébreu, la compagnie aurait dû supporter des frais d'annulation de 3,8 millions de dollars en raison de la guerre en Israël.
Il s'agit du troisième report pour la compagnie aérienne irlandaise. La compagnie aérienne avait précédemment reporté son retour en Palestine occupée au 21 mai, puis au 4 juin, et maintenant au moins jusqu'en juillet.
Le PDG de la compagnie aérienne avait précédemment déclaré : « Nous perdons patience face aux perturbations des vols vers Israël. Nous envisageons de détourner des avions d'Israël vers d'autres destinations et de transférer nos avions opérant à l'aéroport Ben Gourion vers des pays européens si les problèmes de sécurité à l'aéroport ne sont pas résolus.»
Plusieurs compagnies aériennes ont annoncé le report et la suspension de leurs vols à destination et en provenance des aéroports israéliens, irritées par le blocus yéménite persistant du trafic aérien israélien depuis le 4 mai.
Ryanair, la compagnie aérienne irlandaise, première compagnie low-cost d'Europe, a reporté le lundi son retour en Palestine occupée à juillet. Le journal israélien Maariv a rapporté que ce retour n'aurait pas lieu avant la fin de l'année, notamment après les déclarations critiques de son PDG.
Selon le journal hébreu, la compagnie aurait dû supporter des frais d'annulation de 3,8 millions de dollars en raison de la guerre en Israël.
Il s'agit du troisième report pour la compagnie aérienne irlandaise. La compagnie aérienne avait précédemment reporté son retour en Palestine occupée au 21 mai, puis au 4 juin, et maintenant au moins jusqu'en juillet.
Le PDG de la compagnie aérienne avait précédemment déclaré : « Nous perdons patience face aux perturbations des vols vers Israël. Nous envisageons de détourner des avions d'Israël vers d'autres destinations et de transférer nos avions opérant à l'aéroport Ben Gourion vers des pays européens si les problèmes de sécurité à l'aéroport ne sont pas résolus.»
Plusieurs compagnies aériennes ont annoncé le report et la suspension de leurs vols à destination et en provenance des aéroports israéliens, irritées par le blocus yéménite persistant du trafic aérien israélien depuis le 4 mai.