Gaza - Saba :
Le Bureau des médias du gouvernement dans la bande de Gaza a déclaré hier samedi que l'ennemi israélien continue ses crimes en fermant les points de passage, en contrôlant l'aide, en commettant un génocide systématique et en « organisant » la famine des civils pour le 84e jour consécutif.
Le Bureau des médias a expliqué dans un communiqué publié que l'ennemi israélien met en œuvre une politique systématique de famine massive, qui constitue un crime de guerre et un crime contre l'humanité en vertu du droit international, en plus du génocide systématique en cours et des massacres quotidiens incessants.
Il a ajouté : « L'occupation empêche l'entrée de l'aide humanitaire, de la nourriture et des biens, et coupe délibérément les livraisons de carburant, provoquant une fermeture quasi totale des installations vitales, notamment des hôpitaux et des boulangeries. »
Il a ajouté : « Des centaines de milliers de tonnes de secours et d'aide humanitaire se sont accumulées et sont gâtées et pourrissent parce qu'elles ont été empêchées d'entrer pendant des mois, tandis que la population de Gaza souffre d'une famine qui s'aggrave et d'une situation humanitaire extrêmement désastreuse. »
Il a souligné qu'au moins 46 200 camions chargés d'aide et de carburant devaient entrer dans la bande de Gaza pour répondre aux besoins minimaux de la population pendant les 84 jours de siège et de fermeture complète.
Il a souligné que l'ennemi israélien promeut un « récit trompeur » affirmant qu'il a permis l'entrée de « l'aide », alors que la réalité montre que ce qui est réellement entré est une centaine de camions. « C’est-à-dire moins de 1 % des besoins fondamentaux de la population. »
Le responsable des médias gouvernementaux a noté que l'occupation continue de perturber le fonctionnement de plus de 90 % des boulangeries de la bande de Gaza. Cela révèle clairement une politique de « famine » par le biais d’un contrôle délibéré du flux et de la distribution de nourriture.
Il a souligné que la politique de l'ennemi israélien « complique davantage la catastrophe humanitaire à laquelle sont confrontés plus de deux millions de civils à Gaza ».
La déclaration indique : « Les forces d'occupation imposent de sévères restrictions aux déplacements des quelques camions autorisés à entrer, les forçant à emprunter des itinéraires dangereux et des routes surveillées par leurs drones, les rendant vulnérables aux vols commis par des groupes armés, dont certains opèrent au mépris flagrant des forces d'occupation. »
Il a ajouté : « Dans le même temps, l'occupation empêche que ces camions soient sécurisés ou qu'ils bénéficient de la protection nécessaire, et cible même directement les équipes qui travaillent à sécuriser l'aide. »
Il a souligné que l'occupation « oblige les organisations humanitaires internationales à ne pas distribuer l'aide directement aux citoyens, comme ces organisations l'ont déclaré, ce qui aggrave la crise de la faim parmi les groupes les plus vulnérables ».
Le responsable des médias gouvernementaux a déclaré que 58 décès ont été enregistrés en raison de la malnutrition, en plus de 242 décès dus à des pénuries de nourriture et de médicaments, dont la plupart étaient des personnes âgées. Il a également noté que 56 patients souffrant de maladies rénales ont perdu la vie en raison du manque de soins nutritionnels et médicaux.
Il a poursuivi : « En conséquence directe de la fermeture des points de passage, de ce siège et de la famine de la population civile, plus de 300 cas de fausses couches ont été enregistrés parmi les femmes enceintes en raison d'un manque de nutriments nécessaires à la poursuite de la grossesse. »
Il a tenu l’ennemi israélien et les pays participant au génocide pleinement responsables de ces crimes odieux, qui sont perpétrés au vu et au su du monde entier et en direct à la télévision.
Le Bureau des médias a appelé la communauté internationale et les organisations humanitaires à assumer leurs responsabilités morales et juridiques et à intervenir immédiatement et de toute urgence pour sauver les civils de la bande de Gaza de la catastrophe de la famine.
Il a appelé à faire pression sur l'ennemi israélien pour qu'il ouvre les points de passage et permette l'entrée immédiate de quantités suffisantes d'aide humanitaire, et pour qu'il mette fin à la politique silencieuse et bruyante de génocide menée par l'occupation contre eux par la famine et les meurtres quotidiens.
Le Bureau des médias du gouvernement dans la bande de Gaza a déclaré hier samedi que l'ennemi israélien continue ses crimes en fermant les points de passage, en contrôlant l'aide, en commettant un génocide systématique et en « organisant » la famine des civils pour le 84e jour consécutif.
Le Bureau des médias a expliqué dans un communiqué publié que l'ennemi israélien met en œuvre une politique systématique de famine massive, qui constitue un crime de guerre et un crime contre l'humanité en vertu du droit international, en plus du génocide systématique en cours et des massacres quotidiens incessants.
Il a ajouté : « L'occupation empêche l'entrée de l'aide humanitaire, de la nourriture et des biens, et coupe délibérément les livraisons de carburant, provoquant une fermeture quasi totale des installations vitales, notamment des hôpitaux et des boulangeries. »
Il a ajouté : « Des centaines de milliers de tonnes de secours et d'aide humanitaire se sont accumulées et sont gâtées et pourrissent parce qu'elles ont été empêchées d'entrer pendant des mois, tandis que la population de Gaza souffre d'une famine qui s'aggrave et d'une situation humanitaire extrêmement désastreuse. »
Il a souligné qu'au moins 46 200 camions chargés d'aide et de carburant devaient entrer dans la bande de Gaza pour répondre aux besoins minimaux de la population pendant les 84 jours de siège et de fermeture complète.
Il a souligné que l'ennemi israélien promeut un « récit trompeur » affirmant qu'il a permis l'entrée de « l'aide », alors que la réalité montre que ce qui est réellement entré est une centaine de camions. « C’est-à-dire moins de 1 % des besoins fondamentaux de la population. »
Le responsable des médias gouvernementaux a noté que l'occupation continue de perturber le fonctionnement de plus de 90 % des boulangeries de la bande de Gaza. Cela révèle clairement une politique de « famine » par le biais d’un contrôle délibéré du flux et de la distribution de nourriture.
Il a souligné que la politique de l'ennemi israélien « complique davantage la catastrophe humanitaire à laquelle sont confrontés plus de deux millions de civils à Gaza ».
La déclaration indique : « Les forces d'occupation imposent de sévères restrictions aux déplacements des quelques camions autorisés à entrer, les forçant à emprunter des itinéraires dangereux et des routes surveillées par leurs drones, les rendant vulnérables aux vols commis par des groupes armés, dont certains opèrent au mépris flagrant des forces d'occupation. »
Il a ajouté : « Dans le même temps, l'occupation empêche que ces camions soient sécurisés ou qu'ils bénéficient de la protection nécessaire, et cible même directement les équipes qui travaillent à sécuriser l'aide. »
Il a souligné que l'occupation « oblige les organisations humanitaires internationales à ne pas distribuer l'aide directement aux citoyens, comme ces organisations l'ont déclaré, ce qui aggrave la crise de la faim parmi les groupes les plus vulnérables ».
Le responsable des médias gouvernementaux a déclaré que 58 décès ont été enregistrés en raison de la malnutrition, en plus de 242 décès dus à des pénuries de nourriture et de médicaments, dont la plupart étaient des personnes âgées. Il a également noté que 56 patients souffrant de maladies rénales ont perdu la vie en raison du manque de soins nutritionnels et médicaux.
Il a poursuivi : « En conséquence directe de la fermeture des points de passage, de ce siège et de la famine de la population civile, plus de 300 cas de fausses couches ont été enregistrés parmi les femmes enceintes en raison d'un manque de nutriments nécessaires à la poursuite de la grossesse. »
Il a tenu l’ennemi israélien et les pays participant au génocide pleinement responsables de ces crimes odieux, qui sont perpétrés au vu et au su du monde entier et en direct à la télévision.
Le Bureau des médias a appelé la communauté internationale et les organisations humanitaires à assumer leurs responsabilités morales et juridiques et à intervenir immédiatement et de toute urgence pour sauver les civils de la bande de Gaza de la catastrophe de la famine.
Il a appelé à faire pression sur l'ennemi israélien pour qu'il ouvre les points de passage et permette l'entrée immédiate de quantités suffisantes d'aide humanitaire, et pour qu'il mette fin à la politique silencieuse et bruyante de génocide menée par l'occupation contre eux par la famine et les meurtres quotidiens.