Gaza - Saba :
L'Observatoire euro-méditerranéen des droits de l'homme a confirmé hier qu'Israël a intensifié son génocide dans la bande de Gaza après la libération du soldat américano-israélien Idan Alexander.
L'Observatoire des droits de l'homme a déclaré dimanche dans un communiqué que l'armée d'occupation israélienne a tué 81 Palestiniens par jour par des bombardements directs depuis la libération du soldat Alexander, et 17 autres par la famine et le refus de soins médicaux et des nécessités de base pour survivre.
Il a ajouté qu'entre le 12 mai, date de la libération d'Alexandre, et cet après-midi, l'armée d'occupation a tué 564 Palestiniens par des bombardements directs et 122 autres à cause de la famine et des privations.
Il a expliqué que l’armée d’occupation a émis environ dix ordres de déplacement forcé au cours de la même période, forçant environ 300 000 personnes à fuir.
L'Observatoire euro-méditerranéen des droits de l'homme a souligné que la réalité a été à l'opposé des espoirs qui avaient accompagné la libération du soldat Alexander, car le rythme des meurtres s'est accéléré et aucune aide n'a été autorisée à entrer.
L'observatoire des droits de l'homme a poursuivi : « Nous avons enregistré des décès quotidiens de personnes malades et âgées dus à la famine après 78 jours de blocus total, dans un contexte de silence international et de déclarations américaines qui ne se sont pas traduites en actes. »
Il a expliqué que l'annonce par l'armée d'occupation du début d'une incursion terrestre dans le nord et le sud de la bande de Gaza menace la vie de centaines de milliers de Palestiniens, que ce soit par le meurtre direct ou par la famine.
Il a souligné que mettre un terme au crime de génocide et aux violations contre les civils sont des obligations légales qui ne peuvent être soumises à aucune négociation ni à aucun arrangement politique ou sécuritaire.
L’Observatoire euro-méditerranéen des droits de l’homme a appelé la communauté internationale à imposer des sanctions économiques, diplomatiques et militaires à Israël pour ses violations systématiques et graves du droit international.
Les forces ennemies ont renouvelé leur agression sur la bande de Gaza depuis l'aube du 18 mars 2025, avec des frappes aériennes à travers la bande de Gaza, entraînant le martyre de plus de 3 193 citoyens et la blessure de 8 993 autres, annulant un accord de cessez-le-feu avec le Hamas et les factions de résistance qui avait duré environ 60 jours après sa conclusion grâce à la médiation américaine, égyptienne et qatarie.
Avec le soutien américain, l'armée ennemie israélienne commet un génocide à Gaza depuis le 7 octobre 2023, faisant plus de 172 000 morts et blessés, en majorité des enfants et des femmes, et plus de 14 000 disparus.
L'Observatoire euro-méditerranéen des droits de l'homme a confirmé hier qu'Israël a intensifié son génocide dans la bande de Gaza après la libération du soldat américano-israélien Idan Alexander.
L'Observatoire des droits de l'homme a déclaré dimanche dans un communiqué que l'armée d'occupation israélienne a tué 81 Palestiniens par jour par des bombardements directs depuis la libération du soldat Alexander, et 17 autres par la famine et le refus de soins médicaux et des nécessités de base pour survivre.
Il a ajouté qu'entre le 12 mai, date de la libération d'Alexandre, et cet après-midi, l'armée d'occupation a tué 564 Palestiniens par des bombardements directs et 122 autres à cause de la famine et des privations.
Il a expliqué que l’armée d’occupation a émis environ dix ordres de déplacement forcé au cours de la même période, forçant environ 300 000 personnes à fuir.
L'Observatoire euro-méditerranéen des droits de l'homme a souligné que la réalité a été à l'opposé des espoirs qui avaient accompagné la libération du soldat Alexander, car le rythme des meurtres s'est accéléré et aucune aide n'a été autorisée à entrer.
L'observatoire des droits de l'homme a poursuivi : « Nous avons enregistré des décès quotidiens de personnes malades et âgées dus à la famine après 78 jours de blocus total, dans un contexte de silence international et de déclarations américaines qui ne se sont pas traduites en actes. »
Il a expliqué que l'annonce par l'armée d'occupation du début d'une incursion terrestre dans le nord et le sud de la bande de Gaza menace la vie de centaines de milliers de Palestiniens, que ce soit par le meurtre direct ou par la famine.
Il a souligné que mettre un terme au crime de génocide et aux violations contre les civils sont des obligations légales qui ne peuvent être soumises à aucune négociation ni à aucun arrangement politique ou sécuritaire.
L’Observatoire euro-méditerranéen des droits de l’homme a appelé la communauté internationale à imposer des sanctions économiques, diplomatiques et militaires à Israël pour ses violations systématiques et graves du droit international.
Les forces ennemies ont renouvelé leur agression sur la bande de Gaza depuis l'aube du 18 mars 2025, avec des frappes aériennes à travers la bande de Gaza, entraînant le martyre de plus de 3 193 citoyens et la blessure de 8 993 autres, annulant un accord de cessez-le-feu avec le Hamas et les factions de résistance qui avait duré environ 60 jours après sa conclusion grâce à la médiation américaine, égyptienne et qatarie.
Avec le soutien américain, l'armée ennemie israélienne commet un génocide à Gaza depuis le 7 octobre 2023, faisant plus de 172 000 morts et blessés, en majorité des enfants et des femmes, et plus de 14 000 disparus.