
Moscou-Saba :
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré hier qu'il était difficile de parler de reprise du partenariat avec l'OTAN alors que l'alliance participe activement aux opérations de combat contre la Russie.
"Il est difficile de parler de la reprise de toute forme de partenariat ou de tout type de dialogue à un moment où l'OTAN mène une véritable guerre contre la Russie", a ajouté Peskov dans un communiqué rapporté vendredi par Russia Today.
Des responsables de la sécurité qui travaillaient auparavant dans des agences et structures de sécurité de l'OTAN ont confirmé que le « rapprochement » entre Washington et Moscou accroît les inquiétudes des pays de l'OTAN et les amène à considérer attentivement les risques liés au partage de renseignements avec Washington.
Politico a rapporté, citant d'anciens responsables, que les tentatives du président américain Donald Trump d'améliorer les relations avec la Russie ont accru les doutes sur la coopération en matière de renseignement entre les pays de l'OTAN et Washington.
Le rapport souligne que « le partage de renseignements au sein de l'OTAN est depuis longtemps entaché par la méfiance entre les membres traditionnels de l'alliance et les pays d'Europe centrale et orientale qui l'ont rejointe après l'effondrement de l'Union soviétique. Cette méfiance s'est aggravée depuis le début de l'opération militaire russe en Ukraine, en raison des positions prorusses de pays comme la Hongrie et la Slovaquie, et des tentatives de Trump d'améliorer les relations avec Moscou, ce qui ébranle l'alliance et incite les pays à envisager les risques liés au partage de renseignements avec Washington. »
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré hier qu'il était difficile de parler de reprise du partenariat avec l'OTAN alors que l'alliance participe activement aux opérations de combat contre la Russie.
"Il est difficile de parler de la reprise de toute forme de partenariat ou de tout type de dialogue à un moment où l'OTAN mène une véritable guerre contre la Russie", a ajouté Peskov dans un communiqué rapporté vendredi par Russia Today.
Des responsables de la sécurité qui travaillaient auparavant dans des agences et structures de sécurité de l'OTAN ont confirmé que le « rapprochement » entre Washington et Moscou accroît les inquiétudes des pays de l'OTAN et les amène à considérer attentivement les risques liés au partage de renseignements avec Washington.
Politico a rapporté, citant d'anciens responsables, que les tentatives du président américain Donald Trump d'améliorer les relations avec la Russie ont accru les doutes sur la coopération en matière de renseignement entre les pays de l'OTAN et Washington.
Le rapport souligne que « le partage de renseignements au sein de l'OTAN est depuis longtemps entaché par la méfiance entre les membres traditionnels de l'alliance et les pays d'Europe centrale et orientale qui l'ont rejointe après l'effondrement de l'Union soviétique. Cette méfiance s'est aggravée depuis le début de l'opération militaire russe en Ukraine, en raison des positions prorusses de pays comme la Hongrie et la Slovaquie, et des tentatives de Trump d'améliorer les relations avec Moscou, ce qui ébranle l'alliance et incite les pays à envisager les risques liés au partage de renseignements avec Washington. »