
Moscou - Saba :
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré dimanche que la Russie rejetait l'idée de déployer des forces européennes de « maintien de la paix » sur le territoire ukrainien.
Interrogé à ce sujet, Peskov a déclaré dans une interview à ABC : « Non, nous ne pouvons pas (accepter des forces européennes de maintien de la paix) ».
Peskov a noté que « l'Ukraine a essayé d'éviter les négociations » sur un règlement, alors que les dirigeants russes ont constamment affirmé leur volonté de mener de telles négociations.
Il a ajouté que le président américain Donald Trump exerce une influence significative sur l'Ukraine et que Moscou espérait qu'il pousserait le régime de Kiev vers l'idée de mener ces contacts.
Peskov a souligné que la Russie ne permettrait pas que des infrastructures de l'OTAN soient situées près de ses frontières, déclarant : « Nous ne pouvons pas permettre que des infrastructures militaires de l'OTAN soient situées près de nos frontières. »
À l'issue du sommet parisien de la « Coalition des volontaires » du 27 mars, le président français Emmanuel Macron a annoncé que plusieurs membres de la coalition prévoyaient d'envoyer des « forces de dissuasion » en Ukraine.
Le président français a souligné que cette initiative franco-britannique ne remplacera pas les forces ukrainiennes, ni ne servira de « force de dissuasion » servant de force de maintien de la paix. Son objectif sera plutôt de contenir la Russie et elle sera déployée dans des emplacements stratégiques prédéterminés en accord avec les Ukrainiens. Macron a expliqué que l'initiative ne bénéficie pas d'un soutien unanime, mais que sa mise en œuvre ne l'exige pas.
Le service de renseignement extérieur russe avait précédemment rapporté que l'Occident déploierait une soi-disant « force de maintien de la paix » en Ukraine, composée d'environ 100 000 hommes, pour restaurer la capacité de combat de l'Ukraine. L’agence estime que cela constituerait une occupation de facto de l’Ukraine.
Le ministère russe des Affaires étrangères avait précédemment affirmé que les projets de certains pays de l'Union européenne d'envoyer des « forces de maintien de la paix » en Ukraine représentaient une provocation visant à alimenter de fausses illusions parmi les autorités de Kiev.
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré dimanche que la Russie rejetait l'idée de déployer des forces européennes de « maintien de la paix » sur le territoire ukrainien.
Interrogé à ce sujet, Peskov a déclaré dans une interview à ABC : « Non, nous ne pouvons pas (accepter des forces européennes de maintien de la paix) ».
Peskov a noté que « l'Ukraine a essayé d'éviter les négociations » sur un règlement, alors que les dirigeants russes ont constamment affirmé leur volonté de mener de telles négociations.
Il a ajouté que le président américain Donald Trump exerce une influence significative sur l'Ukraine et que Moscou espérait qu'il pousserait le régime de Kiev vers l'idée de mener ces contacts.
Peskov a souligné que la Russie ne permettrait pas que des infrastructures de l'OTAN soient situées près de ses frontières, déclarant : « Nous ne pouvons pas permettre que des infrastructures militaires de l'OTAN soient situées près de nos frontières. »
À l'issue du sommet parisien de la « Coalition des volontaires » du 27 mars, le président français Emmanuel Macron a annoncé que plusieurs membres de la coalition prévoyaient d'envoyer des « forces de dissuasion » en Ukraine.
Le président français a souligné que cette initiative franco-britannique ne remplacera pas les forces ukrainiennes, ni ne servira de « force de dissuasion » servant de force de maintien de la paix. Son objectif sera plutôt de contenir la Russie et elle sera déployée dans des emplacements stratégiques prédéterminés en accord avec les Ukrainiens. Macron a expliqué que l'initiative ne bénéficie pas d'un soutien unanime, mais que sa mise en œuvre ne l'exige pas.
Le service de renseignement extérieur russe avait précédemment rapporté que l'Occident déploierait une soi-disant « force de maintien de la paix » en Ukraine, composée d'environ 100 000 hommes, pour restaurer la capacité de combat de l'Ukraine. L’agence estime que cela constituerait une occupation de facto de l’Ukraine.
Le ministère russe des Affaires étrangères avait précédemment affirmé que les projets de certains pays de l'Union européenne d'envoyer des « forces de maintien de la paix » en Ukraine représentaient une provocation visant à alimenter de fausses illusions parmi les autorités de Kiev.