
Gaza - Saba :
Le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) a rejeté hier un projet israélien visant à imposer la technologie de reconnaissance faciale comme condition d'accès à l'aide dans la bande de Gaza. Considérant que cela viole tous les principes humanitaires, car cela contribue à surveiller les bénéficiaires à des fins de renseignement.
Dans un communiqué publié vendredi, l'UNICEF a exprimé son rejet du plan israélien de distribution d'aide, soulignant qu'il exacerbe les souffrances des civils et les force à se déplacer de force.
L'organisation a souligné que le plan « israélien » poserait des défis terribles à de nombreux groupes pour obtenir de l'aide à Gaza.
L'UNICEF a souligné que l'aide humanitaire ne devrait pas être utilisée comme monnaie d'échange ou pour faire pression sur les civils, notant qu'il est dangereux d'obliger les civils à se rendre dans des zones militaires pour recevoir de l'aide à Gaza.
Elle a expliqué que le plan présenté par Israël à la communauté humanitaire renforce les déplacements forcés à des fins militaires et politiques, notant que le plan israélien ne permettra l'entrée que de 60 camions d'aide humanitaire par jour, soit un dixième de ce qui était autorisé pendant le cessez-le-feu.
Le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) a rejeté hier un projet israélien visant à imposer la technologie de reconnaissance faciale comme condition d'accès à l'aide dans la bande de Gaza. Considérant que cela viole tous les principes humanitaires, car cela contribue à surveiller les bénéficiaires à des fins de renseignement.
Dans un communiqué publié vendredi, l'UNICEF a exprimé son rejet du plan israélien de distribution d'aide, soulignant qu'il exacerbe les souffrances des civils et les force à se déplacer de force.
L'organisation a souligné que le plan « israélien » poserait des défis terribles à de nombreux groupes pour obtenir de l'aide à Gaza.
L'UNICEF a souligné que l'aide humanitaire ne devrait pas être utilisée comme monnaie d'échange ou pour faire pression sur les civils, notant qu'il est dangereux d'obliger les civils à se rendre dans des zones militaires pour recevoir de l'aide à Gaza.
Elle a expliqué que le plan présenté par Israël à la communauté humanitaire renforce les déplacements forcés à des fins militaires et politiques, notant que le plan israélien ne permettra l'entrée que de 60 camions d'aide humanitaire par jour, soit un dixième de ce qui était autorisé pendant le cessez-le-feu.